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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Denis et aux Saintes âmes du 9 octobre

SAINT DU JOUR
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Date 09 octobre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

SAINT DENIS, ÉVÊQUE,

ET SES COMPAGNONS

MARTYRS DE PARIS

Au III siècle Denis est le premier évêque de Paris auquel est dédiée l’Abbaye de S. Denis. Envoyé pour évangéliser la Gaule ensemble avec le diacre Rustique et le presbytre Eleuthère; ces deux derniers sont décapités. L’évêque ramène leurs têtes à Paris avant d’être lui aussi martyrisé.

saint Denis, premier évêque de paris

 

Saint Denis premier évêque de ParisSaint Denis premier évêque de Paris
Saint tutélaire de la basilique-cathédrale de Saint-Denis, Denis demeure un personnage assez peu connu. Envoyé par le Pape pour évangéliser la Gaule, Denis aurait été le premier Évêque de Paris. Il fût probablement décapité au cours du IIe siècle. De nombreux textes en grande partie légendaires évoquent son martyre. Que savons-nous du personnage de Denis ? A-t-il vécu au Ier siècle ou au IIIe siècle de notre ère ? Quelle est son lien avec la ville de Saint-Denis ?

St Denis et ses biographes

 et ses biographes

L'histoire de saint Denis est connue par de nombreux textes anciens. Le récit de sa vie et de sa Passion (récit du martyre) a été écrit et réécrit tout au long du Moyen Âge par de nombreux biographes successifs, qui ont ainsi transformé peu à peu l'histoire en légende. Les premières versions présentent Denis comme le premier évêque de Paris mais elles ne s'accordent pas sur l'époque à laquelle il a vécu. Ces contradictions susciteront des polémiques pendant des siècles...

Un évêque missionnaire

Selon la Passion la plus ancienne, écrite vers 500, Denis a été envoyé de Rome en Gaule comme évêque missionnaire par le pape saint Clément, successeur de l'apôtre Pierre, qui fut en fonction de 92 à 101.

Arrivé à Paris avec deux disciples, Rustique et Éleuthère, Denis y construit la première cathédrale, prêche aux habitants et les convertit au christianisme. En ces temps de persécution des chrétiens, les autorités romaines ne tardent pas à remarquer son action. Soumis à un interrogatoire, Denis et ses compagnons se déclarent chrétiens et sont mis à mort, décapités par le glaive du bourreau. Pour empêcher que leurs dépouilles ne soient jetées dans la Seine, une aristocrate romaine encore païenne, Catulla, décide de s'en emparer par la ruse et de les ensevelir dans un champ de sa propriété.

Plus tard, des chrétiens édifient en ce lieu une basilique, dont les fondements se trouvent encore sous le sol de l'actuelle basilique cathédrale de Saint-Denis. Toutefois, d'après les archéologues, ils ne datent pas du Ier siècle mais de la fin du IVe siècle...

Un culte précoce

Vers 500, le culte de Denis est déjà en plein essor. La basilique sert de lieu de sépulture, comme en témoignent les découvertes archéologiques. Depuis la fin du IVe siècle, de nombreux aristocrates se font enterrer dans l'édifice ou à l'extérieur, dans l'environnement immédiat du lieu de culte, persuadés que l'inhumation ad sanctos, auprès des saints, leur assurera le salut éternel...

Vers 520, le biographe de sainte Geneviève de Paris attribue à celle-ci l'initiative de la fondation d'une nouvelle basilique à Saint-Denis. À la fin du VIe siècle, le chroniqueur Grégoire de Tours accorde foi à l'histoire de Denis mais préfère situer les faits deux siècles plus tard, au IIIe siècle, sous l'empereur Dèce (249-251), ce qui paraît plus crédible sur le plan historique. Pourtant, les récits ultérieurs continueront à dater le martyre du Ier siècle sous le règne de l'empereur romain Domitien (81-96).

Le lien ainsi établi entre saint Denis et l'apôtre Pierre via saint Clément de Rome permet au siège épiscopal parisien de revendiquer son apostolicité, soit son lien direct avec les apôtres du Christ.

 

​​​​​​​

SAINT ABRAHAM, PATRIARCHE

Premier des grands patriarches d’Israël, Abraham recevra les meilleures bénédictions pour avoir accepté même le sacrifice de son unique fils Isaac, sauvé par l’ange envoyé par Dieu. Nous sommes au XIX siècle a. JC; Abraham part d’Ur avec sa femme Sara et son neveu Lot pour suivre le Seigneur.  

Abraham est un descendant direct de Sem, un des trois fils de Noé; il vit avec son père Terah et toute sa famille à Ur en Chaldée, ville de la Basse Mésopotamie, l’actuel Iraq. Son aventure de découverte progressive et amitié avec l’unique vrai Dieu est le début de l’histoire des Patriarches d’Israël, qui couvre la période entre le XIX et le XVII siècle av. JC et est racontée dans le livre de la Genèse.

L’homme de la foi

Le vieux Terah part d’Ur ensemble avec son fils Abraham, la femme de ce dernier Sara et son neveu Lot, fils du son frère défunt Aran, et ils prennent la direction du pays de Canaan. Arrivés à Haran ils s’y établissent pour longtemps. A la mort de Terah, à l’âge de 205 ans, Dieu surgit dans la vie d’Abraham en l’appelant à une mystérieuse mission, à laquelle il répond avec une foi profonde. A 75 ans il prend avec lui sa femme et son neveu et se reprend la route avec son bétail et ses serviteurs, et en bédouin il traverse la Palestine sans que Dieu lui révèle sa destination. A un certain point Abraham et Lot se séparent; pendant que ce dernier se dirige vers la vallée du Jourdain, et s’établit près de Sodome, Abraham reste au pays de Canaan, où le Seigneur lui parle de nouveau

L’amitié avec Dieu

Certains rois orientaux commencent à faire des incursions en Palestine; ils confisquent les biens de Lot et le tiennent prisonnier lui et sa femme. Abraham réussit à les libérer et à récupérer les biens. Dieu est toujours avec lui et lui confirme la promesse de la nombreuse descendance qu’il lui donnera. Alors Sarah, la femme d’Abraham, déjà très âgée, donne à son mari l’esclave Agar, et de leur union naît Ismaël. Abraham scelle son alliance avec Dieu en initiant la pratique de la circoncision à laquelle il soumet tous les garçons de la famille. Dieu apparaît de nouveau à Abraham près du chêne de Mambré, sous l’apparence de trois anges,qui lui annoncent la maternité de Sarah, mais aussi la destruction des villes pécheresses de Sodome et Gomorrhe. De cette destruction sont épargnés Lot et sa femme qui, en désobéissant à Dieu, se retourne pour regarder l’incendie en cours et est transformée en un bloc de sel.

Le Père de tous les croyants

Quelque temps après, Sarah met au monde Isaac et fait renvoyer de la maison Agar et Ismaël. Abraham en est très peiné, mais le Seigneur lui promet une nombreuse descendance aussi pour Ismaël. Voici que survient le moment le plus dramatique de la vie d’Abraham; le Seigneur lui demande de lui sacrifier son fils Isaac, celui qu’il avait tant attendu et que Dieu lui-même lui avait donné. Au moment où Abraham veut tuer son fils, un ange envoyé par le Seigneur arrête sa main en épargnant ainsi la vie d’Isaac justement en raison de la foi immense et obéissance dont Abraham a fait preuve. Le patriarche mourra à 175 ans au pays de Canaan, alors que d’Isaac et d’Ismaël descendront respectivement les peuples juifs et arabes.

 

Saint Jean (Giovanni) Leonardi
Prêtre et fondateur des :
« Clercs réguliers de la Mère de Dieu » (o.m.d.)

G

iovanni Leonardi naît en 1541, à Diecimo, un village de la petite république de Lucques (aujourd'hui en Toscane). Ses parents sont de modestes propriétaires terriens.

En 1567 il se rend dans la capitale pour y devenir pharmacien. Il se joint à une association de jeunes s'engageant à une vie radicalement évangélique, dirigée par un père dominicain. Abandonnant la pharmacie il se met à l'étude de la théologie.

Ordonné prêtre en 1572, il se consacre à la formation chrétienne des jeunes dans sa paroisse de Lucques puis fonde une « Compagnie de la Doctrine chrétienne », dont le but est de faire passer par l'enseignement les prescriptions du concile de Trente dans la vie des paroisses.

En 1574, cette communauté devient l'institut religieux des « Clercs réguliers de la Mère de Dieu ». Leur but est de travailler à l'approfondissement de la foi et de la dévotion.

Son esprit réformateur lui vaut des inimitiés, et il est expulsé de son pays, la République de Lucques. Mais il a le soutien du pape Clément VIII (Ippolito Aldobrandini, 1592-1605) qui l'invite à Rome pour y réformer plusieurs communautés religieuses. Avec ses clercs il travaille à répandre le culte marial, la dévotion aux quarante heures et la communion fréquente. Le sanctuaire de Sainte Marie in Portico leur est confié en 1601 et ils y font renaître le culte marial autour de l'ancienne et vénérable icône.

Le pape, qui l'estime pour ses qualités de fermeté et de discernement, l'emploie à diverses tâches délicates comme la réforme de la congrégation bénédictine de Montevergine. Jean Leonardi fonde ensuite avec Jean Vivès le séminaire de la Propaganda Fide (Propagation de la foi).

Il passe de la terre au ciel le 09 octobre 1609 en se dévouant auprès de ses frères atteints de l'épidémie d'influenza qui sévissait alors à Rome. Il laisse à sa mort deux maisons de Clercs de la Mère de Dieu, une à Lucques et l'autre à Rome. Trois autres furent ouvertes au XVIIe siècle.

L'institut des « Clercs réguliers de la Mère de Dieu » recevra l'approbation pontificale en 1614. La règle définitive de sa communauté n'est publiée qu'en 1851.

Giovanni Leonardi est béatifié en 1861 et canonisé en 1938. Sa dépouille repose dans l'église Sainte Marie in Portico de Rome. Liturgiquement il est commémoré le 9 octobre.
Le 8 août 2006 le pape Benoît XVI l’a déclaré patron des pharmaciens.

 

Saint John Henry Newman
Prêtre anglican converti au catholicisme en 1845
Cardinal, fondateur, théologien
(1801-1890)

Extraits de l’Homélie du Pape BENOÎT XVI
Cofton Park de Rednal - Birmingham
Dimanche 19 septembre 2010

 

Chers Frères et Sœurs dans le Christ,

L'Angleterre a une longue tradition de saints martyrs, dont le témoignage courageux a soutenu et inspiré la communauté catholique durant des siècles ici. Mais il est également juste et bon de reconnaître aujourd'hui la sainteté d'un confesseur, un fils de cette nation qui, bien qu'il n'ait pas été appelé à répandre son sang pour le Seigneur, lui a cependant rendu un témoignage éloquent durant une longue vie consacrée au ministère sacerdotal, et spécialement en prêchant, en enseignant et en écrivant. Il mérite bien de prendre place dans une longue lignée de saints et d'érudits de ces Iles, saint Bède, sainte Hilda, saint Aelred, le bienheureux Dun Scott, pour n'en nommer que quelques-uns. Dans la personne du bienheureux John Henry, cette tradition d'élégante érudition, de profonde sagesse humaine et d'ardent amour du Seigneur a porté des fruits abondants, signe de la présence pleine d'amour de l'Esprit Saint dans les profondeurs du cœur du peuple de Dieu, faisant mûrir d'abondants dons de sainteté.

La devise du Cardinal Newman, « Cor ad cor loquitur », ou « le cœur parle au cœur » nous donne une indication sur la manière dont il comprenait la vie chrétienne : un appel à la sainteté, expérimenté comme le désir profond du cœur humain d'entrer dans une intime communion avec le Cœur de Dieu. Il nous rappelle que la fidélité à la prière nous transforme progressivement à la ressemblance de Dieu. Comme il l'écrivait dans l'un de ses nombreux et beaux sermons, « pour la pratique qui consiste à se tourner vers Dieu et le monde invisible en toute saison, en tout lieu, en toute situation d'urgence, la prière, donc, a ce qu'on peut appeler un effet naturel, en ce qu'elle élève et spiritualise l'âme. L'homme n'est plus ce qu'il était auparavant : progressivement, il s'est imprégné de tout un nouvel ensemble d'idées, il a assimilé de nouveaux principes » (Sermons paroissiaux, IV, p. 203, Le paradoxe chrétien, Cerf, 1986). L'Évangile nous enseigne que personne ne peut servir deux maîtres (Lc 16,13), et l'enseignement du bienheureux John Henry sur la prière montre comment le fidèle chrétien est définitivement pris pour le service du seul véritable Maître, le seul qui puisse prétendre recevoir une dévotion sans conditions à son service (cf. Mt 23,10). Newman nous aide à comprendre ce que cela signifie dans notre vie quotidienne : il nous dit que notre divin Maître a donné à chacun de nous une tâche spécifique à accomplir, « un service précis » demandé de manière unique et à chaque personne individuellement : « J'ai une mission», écrivait-il, je suis un chaînon, un lien entre des personnes. Il ne m'a pas créé pour rien. Je ferai le bien, j'exécuterai la tâche qu'il m'a confié ; je serai un ange de paix, je prêcherai la vérité à la place où je suis [...] si j'observe ses commandements et le sers à la place qui est la mienne ». (Méditations sur la doctrine chrétienne, Ad Solem, Genève 2000, pp. 28-29).

Le service particulier auquel (...) John Henry a été appelé consistait à appliquer son intelligence fine et sa plume féconde sur les nombreuses et urgentes « questions du jour ». Ses intuitions sur le rapport entre foi et raison, sur la place vitale de la religion révélée dans la société civilisée, et sur la nécessité d'une approche de l'éducation qui soit ample en ses fondements et ouverte à de larges perspectives ne furent pas seulement d'une importance capitale pour l'Angleterre de l'époque victorienne, mais elles continuent à inspirer et à éclairer bien des personnes de par le monde. Je voudrais rendre un hommage particulier à sa conception de l'éducation, qui a eu une grande influence pour former l'éthos, force motrice qui soutient les écoles et les collèges catholiques d'aujourd'hui. Fermement opposé à toute approche réductrice ou utilitaire, il s'est efforcé de mettre en place un environnement éducationnel où l'exercice intellectuel, la discipline morale et l'engagement religieux pourraient progresser ensemble. Le projet de fonder une Université catholique en Irlande lui donna la possibilité de développer ses idées à ce sujet, et l'ensemble des discours qu'il a publiés sur « L'idée d'une Université » met en évidence un idéal dont tous ceux qui sont engagés dans la formation académique peuvent continuer à s'inspirer. En effet, quel meilleur objectif pourraient avoir des professeurs de religion que celui que le bienheureux John Henry a présenté dans son célèbre appel en faveur d'un laïcat intelligent et bien formé : « Je désire un laïcat qui ne soit pas arrogant, ni âpre dans son langage, ni prompt à la dispute, mais des personnes qui connaissent leur religion, qui pénètrent en ses profondeurs, qui savent précisément où ils sont, qui savent ce qu'ils ont et ce qu'ils n'ont pas, qui connaissent si bien leur foi qu'ils peuvent en rendre compte, qui connaissent assez leur histoire pour pouvoir la défendre » (The Present position of Catholics in England, IX, 390). En ce jour où l'auteur de ces lignes est élevé à l'honneur des autels, je prie pour que, par son intercession et son exemple, tous ceux qui sont engagés dans l'enseignement et la catéchèse se sentent poussés par la conception qu'il a si clairement exposée devant nous à entreprendre de nouveaux efforts.

S'il est bien compréhensible que l'héritage intellectuel de John Henry Newman ait été l'objet d'une large attention dans la vaste littérature qui illustre sa vie et son œuvre, je préfère, en ce jour, conclure par une brève réflexion sur sa vie de prêtre, de pasteur des âmes. La chaleur et l'humanité qui marquent son appréciation du ministère pastoral sont magnifiquement mises en évidence dans un autre de ses célèbres sermons : « Si des anges avaient été vos prêtres, mes frères, ils n'auraient pas pu souffrir avec vous, avoir de la sympathie pour vous, éprouver de la compassion pour vous, sentir de la tendresse envers vous et se montrer indulgents avec vous, comme nous ; ils n'auraient pas pu être vos modèles et vos guides, et n'auraient pas pu vous amener à sortir de vous-mêmes pour entrer dans une vie nouvelle, comme le peuvent ceux qui viennent du milieu de vous » (« Hommes, non pas Anges : les prêtres de l'Évangile », Discourses to Mixed Congregations, 3). Il a vécu à fond cette vision profondément humaine du ministère sacerdotal dans l'attention délicate avec laquelle il s'est dévoué au service du peuple de Birmingham au long des années qu'il a passées à l'Oratoire, fondé par lui, visitant les malades et les pauvres, réconfortant les affligés, s'occupant des prisonniers. Il n'est pas étonnant qu'à sa mort, des milliers de personnes s'alignaient dans les rues avoisinantes tandis que son corps était transporté vers sa sépulture à moins d'un kilomètre d'ici. Cent vingt ans plus tard, de grandes foules se sont rassemblées à nouveau pour se réjouir de la reconnaissance solennelle de l'Église pour l'exceptionnelle sainteté de ce père des âmes très aimé. Comment pourrions-nous mieux exprimer la joie de ce moment, sinon en nous tournant vers notre Père des cieux dans une vibrante action de grâce, et en priant avec les paroles mêmes que le bienheureux John Henry a mises sur les lèvres du chœur des anges dans le ciel :

Loué soit le Très Saint dans les hauteurs
Et loué soit-Il dans les profondeurs ;
Très admirable en toutes Ses paroles ;
Infaillible en toutes Ses voies!
(Le songe de Gerontius).

John Henry Newman a été canonisé à Rome, place Saint-Pierre, le dimanche 13 octobre 2019 par le pape François.

NB. Saint John Henry Newman, est fêté, dans le calendrier liturgique catholique, le 9 octobre et non le jour anniversaire de sa mort, le 11 août. Ce jour étant déjà celui de la fête de sainte Claire d'Assise, c'est le 9 octobre, date de l'accueil officiel dans l'Église catholique de John Henry Newman, qui a été retenu.

 

Les Fêtes des Saintes âmes du Jour
Abraham  Ancien Testament - Patriarche du peuple Juif (✝ v. 1850 av. J.-C.)
Saint Andronic (Ve siècle)
Sainte Athanasie
Sainte Austregilde  mère de saint Loup de Sens (VIIe siècle)
Saint Bernard de Rodez  abbé en Rouergue (✝ 1110)
Saint Deusdedit  abbé du Mont-Cassin (✝ v. 834)
Saints Diodore, Diomède et Didyme  martyrs en Syrie (date ?)
Saint Domnin  martyr sur la voie Claudienne (✝ v. 304)
Saint Domnin  ermite en Italie (✝ 610)
Saint Etienne l'Aveugle  (✝ 1476) 
 Saint Gemin  (✝ 815)
Saint Ghislain  Abbé près de Mons (✝ v. 680)
Saint Goswin  (✝ 1165)
Saint Gunther  Ermite (✝ 1045)
Saints Innocent et huit compagnons  martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1937)
Saint Jean de Prousse  martyr en Bithynie (XIVe siècle)
Saint Jean Leonardi  prêtre, fondateur des Clercs de la Mère de Dieu (✝ 1609)
Bienheureux Jean Lobedau  (✝ 1264)
Vénérable Jerzy Ciesielski  laïc polonais (✝ 1970)
Saint John Henry Newman  cardinal (✝ 1890)
Saint Louis Bertrand  Frère prêcheur à Valence, en Espagne (✝ 1581)
Saints Martyrs de Turón (Asturies)  1934 - 1937
Sainte Olle  vénérée près de Cambrai (IXe siècle)
Vénérable Pie XII  Pape (260e) de 1939 à 1958 (✝ 1958)
Saint Pierre le Militaire  (IXe siècle)
Sainte Publia  moniale à Antioche (IVe siècle)
Sainte Sara  Ancien Testament : épouse du prophète Abraham (XIXe siècle av. J.-C.)
Saint Savin  ermite au pays de Bigorre (VIIIe siècle)
Bienheureuse Sibylle  (XIIIe siècle)
Saint Théofroy  (✝ 690
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