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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Firmin et aux très Saintes Âmes du 11 Octobre

SAINT DU JOUR
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Date 11 octobre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

 

Saint Firmin

évêque, disciple, ami et biographe de saint Césaire d'Arles (✝ 553)

Originaire de Narbonne, il est disciple et ami de saint Césaire d'Arles. A 22 ans, il est l'un des premiers évêques de l'ancien diocèse d'Uzès dans le Gard. Nous le trouvons parmi les signataires du concile d'Orléans en 541. Sa réputation d'orateur et de théologien s'étendit jusqu'en Italie. Il meurt à l'âge de 37 ans.
Firmin, né à Narbonne, vient à Uzès auprès de son parent Roricius, évêque de cette ville. Un prêtre s'y fait son précepteur et l'instruit longuement des sciences divines et humaines. Il devient cher au vieil évêque à cause de sa science et de sa sainteté. Roricius l'élève au sacerdoce et finalement le prend pour coadjuteur. L'activité de Saint Firmin s'exerce dans les limites du diocèse et au-delà, chez les Gabales en particulier. A son tour, il fait élever Ferréol, son neveu, qu'il désignera pour successeur et qui sera mis au rang des saints, comme lui. (source: Les Saints du diocèse de Nîmes)
Il est fêté en même temps que Firmin, "évêque de Viviers au début du VIIe siècle, qui aurait été le père de Saint Aule et a été de tout temps fêté dans le diocèse de Viviers." (Saint Firmin, évêque - Église catholique en Ardèche)
À Uzès en Gaule Narbonnaise, après 552, saint Firmin, évêque. Disciple de saint Césaire d'Arles, il enseigna à son peuple la parole de vérité.

Martyrologe romain

SAINT JEAN XXIII, PAPE

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Ce pontificat de Jean XXIII qui a duré à peine cinq ans est de ceux qu’on n’oublie pas. Après des années d’expérience à l’étranger et avoir traversé deux guerres, «le pape bon», canonisé en 2014, convoque en 1959 le Concile Vatican II pour donner des réponses aux défis du monde.

Quatrième des 13 enfants, Ange-Joseph Roncalli naît à Sotto il Monte, Bergame, le 25 novembre 1881. En 1892, il entre au séminaire de Bergame, et en 1896, il est admis dans l’Ordre franciscain séculier. De 1901 à 1905 il est élève du Séminaire pontifical romain, et le 1° août 1904 il est ordonné prêtre. Immédiatement il retourne dans sa Bergame natale où il devient secrétaire de Mgr Giacomo Maria Radini Tedeschi.

L’expérience de la guerre

La vie auprès de l’évêque, en l’accompagnant dans ses visites pastorales aux endroits les plus reculés du diocèse, mûrit certainement en lui l’inspiration pastorale qui guidera toujours le futur pape; mais tout s’interrompt brusquement en 1914. L’année au cours de laquelle meurt Mgr Radini Tedeschi, et éclate la première Guerre mondiale. A l’entrée de l’Italie dans le conflit, en 1915 Roncalli est appelé comme sergent de santé, puis devient aumônier militaire en service dans les hôpitaux militaires d’arrière et coordinateur de l’assistance spirituelle et morale des soldats.

Rome au service du Sant Siège

L’entrée officielle de Roncalli au Vatican se fait en 1921, et c’est ici que commence la deuxième phase de sa vie. Appelé à Rome par Benoît XV comme Président pour l’Italie du Conseil central de l’œuvre pontificale pour la Propagation de la Foi, et au bout de quatre ans, le nouveau Pape, Pie XI le nomme Visiteur Apostolique pour la Bulgarie. Ordonné évêque le 19 mars 1925 à Rome, il rejoint Sofia le 25 avril. Nommé ensuite premier Délégué Apostolique, il reste en Bulgarie jusqu’en, 1934; il visite les communautés catholiques et établit des rapports respectueux avec les autres communautés chrétiennes.

La vie à l’étranger en pasteur missionnaire

Pendant plusieurs années Roncalli sera envoyé à l’étranger par le Saint Siège. Le 27 novembre 1935 il est nommé Délégué Apostolique en Turquie et Grèce et administrateur apostolique des Latins à Constantinople. Ce n’était pas une tâche facile. Dans la Nouvelle Turquie devenue Etat confessionnel il y beaucoup à faire pour que les catholiques ne se sentent pas exclus de la société; en Grèce, au contraire, il faut améliorer les relations avec le Patriarche et les métropolites de de l’Eglise orthodoxe. Avec l’éclatement de la deuxième Guerre mondiale, Roncalli se trouve à nouveau dans un autre scenario: le 20 décembre 1944 Pie XII le nomme Nonce Apostolique à Paris. Encore une fois, une tâche délicate: la France à peine sortie de la libération a d’engagé un profond processus de laïcisation de l’Etat. Mais ce qui inspire Roncalli dans chaque nouvelle charge, c’est toujours la recherche de la simplicité de l’Evangile, même au milieu des questions diplomatiques les plus complexes.
Ce qui le soutient , c’est le désir pastoral d’être prêtre en toute situation et ce qui l’anime, c’est la piété sincère qui se transforme chaque jour en un temps prolongé de prière et de méditation.

Pasteur des âmes au siège de Pierre

Comme il arrive parfois, la vie change rapidement. C’est le cas pour Roncalli qui, en 1953, est créé cardinal et aussitôt rappelé en Italie où il devient patriarche de Venise. Il pense donc pouvoir consacrer les dernières années de sa vie au ministère pastoral direct de la cure des âmes dans le chef-lieu vénitien, mais à la mort de Pie XII il est élu pape le 28 octobre 1958. Il choisit le nom Jean XXIII. Au cours de son quinquennat papal, il apparait au monde comme l’image authentique du Bon Pasteur, et avec le surnom de «Pape bon» ou «Pape de la bonté».

Le Concile Vatican II et le magistère de l’Eglise

Aussitôt Jean XXIII fait preuve d’être un innovateur. Il convoque le Synode romain, institue la Commission pour la révision du Code de Droit Canonique, mais surtout, à la surprise générale, le 25 janvier 1959, depuis la Basilique Saint Paul-hors-les Murs, il convoque le Concile Œcuménique Vatican II.
L’objectif n’est pas de changer la doctrine catholique ni de définir de nouvelles vérités de foi, mais de présenter les contenus de la foi à l’homme contemporain, trouver des réponses aux nouveaux problèmes et aux défis posés par la société en évolution. Cohérent avec une attitude qui devait être celle de dialogue et de compréhension, et non pas la contraposition et la condamnation, il appelle parmi les observateurs du Concile aussi des responsables des différentes confessions chrétiennes. Le message de Jean XXIII est également lancé avec force par huit encycliques qu’il publie, dont «Mater et magistra» de 1961 où il rappelle le magistère social de l’l’Eglise 7O ans après la Rerum novarum, et la Pacem in terris de 1963, la première encyclique dans l’histoire à être adressée aussi à tous les hommes de bonne volonté, et où il développe des concepts de paix et d’ordre social juste. Déjà malade depuis quelque temps, Jean XXIII meurt le 3 juin 1963, au lendemain de la Pentecôte. Béatifié par Jean Paul II pendant le Grand Jubilé de 2000, il a été canonisé par le Pape François le 27 avril 2014.
Voici une prière que Jean XXIII récitait habituellement durant la Messe:


Père céleste, Père de Miséricorde, accueille la prière de ton serviteur :
1) En satisfaction et rémission de tous mes péchés;
2) Pour la santé et la force de mon âme, de ma maison et de ceux auxquels me lient les obligations de mon service;
3) En satisfaction et rémission des péchés des gouvernants, des prélats, des âmes consacrées et de tous, afin que tu daignes concéder à tous la grâce de l’Esprit Saint;
4) Pour tous les pécheurs du monde, pour que tu les convertisses et les conduise sur la route du salut;
5) Pour le réconfort des affligés, afin que tu leur donnes le soutien et la vraie patience;
6) Pour le soulagement et la libération des âmes du purgatoire spécialement de celles qui ont droit à ma prière; et enfin, pour éclairer tous les peuples qui n’ont pas reçu la lumière de l’Evangile et, pour nos frères séparés, pour que tous te connaissent et t’aiment, Père Tout-puissant , qui, avec le Fils et le Saint Esprit, est béni dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il

11 Octobre
  
Saint Nicaise et ses Compagnons

Martyrs
(Ier et IIe siècles)

Saint Nicaise et ses Compagnons
Saint Nicaise et ses Compagnons

Suivant la tradition, saint Nicaise, dont le nom grec signifie victorieux, vit le jour en Grèce. D'après de très anciens documents, il naquit à Athènes et fut converti, avec le grand saint Denis, par le savant discours de saint Paul devant l'Aréopage. Après avoir séjourné quelques temps près du grand Apôtre, saint Nicaise, avec saint Denis, travailla en Grèce au salut des âmes, puis s'embarqua avec le même Saint pour Rome. Le Pape saint Clément les envoya dans les Gaules, avec d'autres missionnaires, pour continuer l'évangélisation de ce pays, commencée avec succès par des envoyés de saint Pierre lui-même.

Tandis que saint Denis fixa son siège à Paris, Nicaise se dirigea vers le pays de Rouen. Mais cette ville, qui le vénère encore aujourd'hui pour son premier pontife, ne devait pas le voir dans ses murs; car il reçut en route la couronne du martyre. Il emmenait avec lui le prêtre Quirin et le diacre Égobile.

Vers Pontoise, les habitants leur promirent d'accepter l'Évangile, s'ils les délivraient d'un dragon qui infestait ce pays. Alors Quirin marcha vers le dragon, le lia sans peine et le conduisit devant le peuple émerveillé; là, le monstre expira, par l'ordre du Saint. A cette vue, bon nombre d'idolâtres se convertirent à la foi du Christ, et trois cent dix-huit d'entre eux reçurent le baptême.

Le bruit de ce prodige s'étant répandu dans le pays d'alentour, les conversions se multiplièrent, et les habitants de Meulan, de Mantes, de Monceaux, commencèrent à ouvrir les yeux à la lumière de l'Évangile. Les apôtres chassèrent aussi plusieurs démons qui tourmentaient les habitants de la contrée. Mais la voix du Ciel les appelait plus loin. Nicaise, Quirin et Égobile reprirent leur marche vers Rouen.

A la Roche-Guyon, ils convertirent par leur prédication une noble dame, nommée Pience, et un prêtre des idoles, appelé Clair. Ce dernier était aveugle; ils lui rendirent en même temps la vue de l'âme et celle du corps. Ce fut le signal de nombreuses conversions. Les prêtres païens, irrités, conduisirent les trois apôtres au gouverneur, qui, peu auparavant, avait mis à mort saint Denis et ses compagnons; mais, inaccessibles à toutes les menaces, ils subirent courageusement le martyre. On rapporte de ces trois héros de la foi le même fait qui est raconté de saint Denis; il auraient porté leur tête entre leurs mains, après avoir été décapités.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

SAINT PHILIPPE, DIACRE

 

Le premier baptême d’un Ethiopien

Le martyrologe romain fait aujourd’hui mémoire de saint Philippe, non pas l’apôtre, mais le diacre (Ier s.) des Actes des Apôtres, l’apôtre de l’intendant éthiopien qu’il baptise et laisse partir « tout joyeux ». Un apôtre de la joie chrétienne. Qui a peut-être fondé l’évangélisation en auto-stop. Enfin, à l’époque, le char-stop.

Les Actes des Apôtres racontent en effet comment, dans la première communauté chrétienne de Jérusalem, les Apôtres décidèrent de chosir sept diacres pour assurer le “service des tables”, tandis qu’ils se consacreraient à l’annonce de la Parole.

De fait, les chrétiens de langue grecque se lamentaient que leurs veuves étaient délaissées par rapport aux veuves de langue hébraïque.

Les Douze convoquèrent l’assemblée des disciples et recommandèrent de choisir “sept hommes de bonne réputation, remplis d’Esprit et de sagesse” pour ce service. Les Apôtres prièrent et leur imposèrent les mains. Philippe était du nombre. Et Etienne, le premier martyr, victime de la première persécution.

Les « signes » de Philippe en Samarie

Devant la persécution, la communauté chrétienne se dispersa, ce qui suscita la première évangélisation de la Samarie: Philippe y proclama le Christ et il fut suivi par les foules qui recherchaient son enseignement. Les Actes en témoignent: “Tous entendaient parler des signes qu’il opérait ou les voyaient. Les esprits impurs sortaient de beaucoup de possédés en poussant de grands cris. Des paralytiques et des impotents étaient guéris. Grand fut la joie de la ville”. C’est là également que Philippe confond Simon le magicien.

Mais Philippe est tout particulièrement vénéré en Ethiopie pour avoir expliqué un passage du prophète Isaïe au surintendant intendant de la reine Candace, sur la route de Gaza. Un théologien jésuites faisait d’ailleurs observer à ses étudiants en souriant que cet épisode pouvait être considéré come « le fondement biblique de l’auto-stop » ». Pourquoi?

L’évangélisation en auto-stop

Voici le passage des Actes (ch. 8, versets 26-40) et sa lecture contient la réponse: « L’Ange du Seigneur s’adressa à Philippe et lui dit : «Pars et va-t’en, à l’heure de midi, sur la route qui descend de Jérusalem à Gaza; elle est déserte.» Il partit donc et s’y rendit. Justement un Ethiopien, un eunuque, haut fonctionnaire de Candace, reine d’Éthiopie, et surintendant de tous ses trésors, qui était venu en pèlerinage à Jérusalem, s’en retournait, assis sur son char, en lisant le prophète Isaïe. L’Esprit dit à Philippe : «Avance et rattrape ce char.» Philippe y courut, et il entendit que l’eunuque lisait le prophète Isaïe. Il lui demanda : «Comprends-tu donc ce que tu lis ?» – «Et comment le pourrais-je, dit-il, si personne ne me guide ?» Et il invita Philippe à monter et à s’asseoir près de lui. Le passage de l’Écriture qu’il lisait était le suivant :

«Comme une brebis il a été conduit à la boucherie ;
comme un agneau muet devant celui qui le tond,
ainsi il n’ouvre pas la bouche.
Dans son abaissement la justice lui a été déniée.
Sa postérité, qui la racontera ?
Car sa vie est retranchée de la terre.»

 

S’adressant à Philippe, l’eunuque lui dit : «Je t’en prie, de qui le prophète dit-il cela ? De lui-même ou de quelqu’un d’autre?» Philippe prit la parole et, partant de ce texte de l’Écriture, lui annonça la Bonne nouvelle de Jésus.
Chemin faisant, ils arrivèrent à un point d’eau, et l’eunuque dit : «Voici de l’eau. Qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ?» Et il fit arrêter le char. Ils descendirent tous deux dans l’eau, Philippe avec l’eunuque, et il le baptisa. Mais, quand ils furent remontés de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus. Et il poursuivit son chemin tout joyeux. Quant à Philippe, il se trouva à Azot ; continuant sa route, il annonçait la Bonne Nouvelle dans toutes les villes qu’il traversait, jusqu’à ce qu’il arrivât à Césarée. »

Il fut le premier Ethiopien à recevoir le baptême, selon la tradition, il serait mort martyr pour l’amour du Christ. A tout visiteur du monastère Ethiopien de Jérusalem, qui jouxte le Saint-Sépulcre, un moine lit ce passage de l’Ecriture en souvenir de cet événement fondateur de l’Eglise d’Ethiopie. Si l’on tend bien l’oreille, dans cette langue inconnue, on saisit: Philippe, Gaza, Isaïe, Candace, et l’on comprend qu’il s’agit de l’aventure du diacre Philippe.

Anita Bourdin
Autres Fêtes des Saintes Âmes du Jour
Saint Agilbert  Evêque de Paris (✝ 680)
Saint Alexandre Sauli  Barnabite - évêque d'Aléria en Corse, puis de Pavie (✝ 1592)
Saint Anastase l'apocrisiaire  compagnon de saint Maxime le Confesseur (✝ 666)
Saints Andronic, Tarachus et Probus  martyrs célèbres en Orient (✝ v. 304)
Bx Ange Ramos Velasquez  religieux salésien et martyr au cours de la guerre civile espagnole à Barcelone. (✝ 1936)
Sainte Bertille de Maroeuil  Veuve, recluse à Maroeuil, au diocèse d'Arras. (✝ v. 687)
Saint Bruno de Cologne  Evêque de Cologne (✝ 965)
Saint Canice  abbé (✝ v. 599)
Ste Emmanuelle Sainte Soledad Torrès, fondatrice de la Congrégation des Servantes de Marie. (✝ 1887)
Sainte Éthelburge  abbesse de Barking (VIIe siècle)
Saint Firmin  évêque, disciple, ami et biographe de saint Césaire d'Arles (✝ 553)
Saint Germain  (✝ 259)
Saint Gomer  Chevalier à la cour de Pépin-le-Bref (✝ v. 775)
Bienheureux Jacques Griesinger d'Ulm dominicain, artiste peintre-verrier (✝ 1491)
Saint Jean XXIII  Pape (261e) de 1958 à 1963 (✝ 1963)
Saint Meinard  évêque de Lettonie (✝ 1196)
Saint Nicaise  martyr (IIe siècle)
Saint Philippe  diacre 'Apôtre de la Palestine'  (✝ 80)
Saint Philothée Kokkinos  patriarche de Constantinople (✝ 1379)
Sainte Pience  martyre (IIIe siècle)
Saint Pierre Lê Tuy  prêtre et martyr (✝ 1833)
Saint Radzim (Gaudentius)  évêque de Gniezno en Pologne (✝ v. 1011)
Saint Saintin ou Sanctinus  Evêque (IVe siècle)
Saint Sarmata  Abbé en Thébaïde (✝ 357)
Saintes Zénaïde et Philonille  parentes de saint Paul à Tarse (Ier siècle
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