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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Luc et aux très Saintes Âmes du 18 octobre

SAINT DU JOUR
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Date 18 octobre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

SAINT LUC ÉVANGÉLISTE 

MÉDECIN, PATRON DES ARTISTES

San Luca

Saint Luc est, des Saints Evangélistes, celui qui offre la plus fine description des psychologies, et doit probablement sa réputation de Saint peintre à cette caractéristique précise. On le fête le 18 octobre.  

Un gentil docteur

Un médecin grec, adorateur des idoles, soucieux de ses malades dont il connaît la faiblesse et souvent la misère. Jusqu'au jour où il entend Saint Paul parler de Jésus, qui vient apporter le salut et la résurrection. Pendant 18 ans, il ne quittera plus désormais l'apôtre des nations et le suivit jusqu'à son martyre à Rome en 67.

Evangéliste de la Miséricorde

Il est l'auteur d'un Évangile et du livre des Actes des Apôtres. On y trouve plusieurs termes médicaux pour parler de la maladie de ceux qui s'adressent à Jésus. Soucieux d'authenticité, il nous dit avoir étudié ses sources, comme le médecin écoute son patient pour mieux dire un diagnostic. Modeste et compatissant, il retient plus que les autres Évangélistes tout ce qui marque la bonté du Sauveur : l'enfant prodigue, le bon Samaritain, la brebis perdue, la prostituée qui s'en va pardonnée, le bon larron. Dante dira de lui «Il est le scribe de la miséricorde du Christ». Heureux lui-même d'avoir trouvé le salut, il est, à sa manière, le chantre de l'amour incarné comme saint Jean le sera de l'amour infini de Dieu Trinité.

Aux côtés de Marie

C'est lui qui nous a parlé avec tant de délicatesse de la Mère de Dieu, la toute pure et toujours Vierge Marie dont il nous dit : «Elle méditait toutes ces choses en son cœur» ce qui veut dire qu'avec amour Marie relisait dans sa mémoire les faits et gestes du Seigneur, pour en approfondir toute la signification, comme saint Luc l'a fait en écoutant saint Paul et en nous transmettant cet évangile de la bonté de notre Père du ciel.

Patron des Médecins

Homme cultivé, il maniait le grec avec dextérité et avait étudié la médecine. C'est la raison pour laquelle il a été, tôt, choisi comme patron des médecins, de même que les deux frères, saint Côme et saint Damien, morts martyrs en Syrie.

Né, comme on le rapporte, à Antioche d’une famille païenne, médecin, il se convertit à la foi du Christ et devint le compagnon très cher de l’Apôtre saint Paul. Dans son Évangile, il exposa avec soin tout ce que Jésus a fait et enseigné, en scribe de la miséricorde du Christ, et, dans les Actes des Apôtres, il se fit l’historien des débuts de la vie de l’Église jusqu’au premier séjour de saint Paul à Rome.

Saint Pierre d’Alcantara
Prêtre o.f.m.
(1499-1562)

P

edro Garavito naît en 1499 à Alcantara, petite ville de la province espagnole d'Estramadure, où son père était gouverneur.

À quatorze ans, il perdit son père, sa mère se remaria et il partit étudier les arts libéraux, la philosophie et le droit canon à l'université de Salamanque où il décida d'entrer chez les Frères Mineurs dont il reçut l'habit, en 1515, au couvent de Los Majaretes.

En 1519 il est choisi comme gardien du couvent de Badajoz ; ordonné prêtre en 1524, il commença une si brillante carrière de prédicateur qu'on l'appela à la cour du Portugal. Élu provincial de son Ordre (province Saint-Gabriel) en 1538, il instaure un régime très austère et, son mandat terminé, il se retire dans un désert, à l'embouchure du Tage, où il fonde un couvent d'ermites (1542).

Rappelé dans sa province (1544), il y fonde, près de Lisbonne, un couvent qui sera le germe d'une province nouvelle (1550). Lors d'un voyage à Rome, il reçoit l'approbation du pape Jules III (Giovanni Maria Ciocchi Dal Monte, 1550-1555) pour expérimenter une réforme radicale, sous la juridiction des mineurs observants dont le commissaire général le nomme commissaire général des mineurs réformés d'Espagne (1556). En 1559 le pape Paul IV (Giovanni Pietro Carafa, 1555-1559) lui donne tous pouvoirs pour ériger de nouveaux couvents.

Pierre d'Alcantara mourut au couvent d'Arenas (province d'Avila) le 18 octobre 1562. « Mes fils, dit-il, ne pleurez pas. Le temps est venu pour le Seigneur d'avoir pitié de moi. Il ne vous oubliera point. Pour moi, je ne suis plus nécessaire » ; au frère qui voulait remonter sa couverture, il dit : « Laisse-moi, mon fils, il y a encore du danger. Si les cèdres du Liban tremblent, que fera le roseau ? » Il se mit à genoux pour recevoir le viatique ; le lendemain, à quatre heures du matin, il reçut l'extrême-onction, embrassa et bénit tous ses frères, puis, immobile, se recueillit longuement. « Ne voyez-vous point, mes frères, la Très Sainte Trinité, avec la sainte Vierge et le glorieux évangéliste ? » Il expira doucement en murmurant des psaumes. Il fut inhumé près de l'autel de l'église des franciscains d'Arénas.

Pierre d'Alcantara, calme et prudent, pauvre et généreux, obéissant et humble, pénitent et accueillant, disponible et magnanime fut un des grands orateurs sacrés du Siècle d'Or espagnol.

Grégoire XV (Alessandro Ludovisi, 1621-1623), qui l'appelait docteur et maître éclairé en théologie mystique, béatifia Pierre d'Alcantara par la bulle In sede Principis Apostolorum (18 avril 1622) ; le décret de canonisation fut rendu, le 28 avril 1669, sous Clément IX (Giulio Rospigliosi, 1667-1669) et Clément X (Emilio Altieri, 1670-1676) donna la bulle de canonisation le 11 mai 1670 (Romanorum gesta pontificum).

Saint Amable de Riom

Prêtre en Auvergne (✝ v. 475)

ou Aimable.
Curé de la ville de Riom dans le Puy de Dome, dans le centre de la France, Dieu lui avait donné, selon son compatriote, Grégoire de Tours, un pouvoir de guérison. L'on dit même qu'un jour, faute d'une patère, il accrocha son manteau à un rayon de soleil. Faute de trouver où poser sa vie en ce monde, nous pouvons la poser sur la lumière divine.
Il est fêté en Auvergne puisqu'il aurait été chantre à la cathédrale de Clermont, puis prêtre de paroisse. L'histoire qui peut être plus sûre de son existence, est moins certaine de tout ce qu'on lui a fait vivre par la suite. Il est également fêté le 13 juin et le 1er novembre.
Saint Amable, Riom"Grégoire de Tours, appelé le père de l'histoire, écrit en parlant de ce prêtre de Riom qui sera proclamé bienheureux par la voix du peuple après sa mort en 475: 'Il exista dans la province d'Arverne un certain Amabilis d'une admirable sainteté. Il était prêtre du bourg de Riom et excellait par ses grandes vertus. On dit qu'il commanda souvent aux serpents.' Par ailleurs, cet historien, venu prier dans l'église bâtie par Amable,  fut le témoin oculaire de deux miracles." (source: La fête de Saint Amable - Notre Dame des Sources au pays Riomois dans le diocèse de Clermont)
Autres liens:
Basilique Saint-Amable à Riom 63200.
- Dans la chapelle axiale, on retrouve une châsse de saint Amable datant de 1814. (Ville de Riom)
- ...décédé en 475, il continua même dans la mort à accomplir des miracles. D'après la légende, on l'associait souvent à la lutte contre le démon et à l'éloignement du feu et des serpents. Une fois enseveli dans la cathédrale de Clermont, il aurait conservé ses pouvoirs fabuleux. Son corps est rapatrié vers 640 dans le nouveau chœur de l'église Saint-Benigne de Riom par Saint Gal, archidiacre de Clermont. Changeant de nom à cette occasion, l'église Saint-Benigne ne fut désormais connue que sous le nom de Saint-Amable. Attirant une foule de pèlerins, le tombeau, qui se trouvait dans la crypte, permettait au curé du village de maintenir le culte des reliques. (Archipicture)
À Riom en Auvergne, au Ve siècle, saint Amable, prêtre.

Martyrologe romain

Sainte Gwendoline

Mère de saint Guénolé (Ve siècle)

ou Gwenn, elle fut la mère de saint Guénolé, l'un des saints bretons les plus vénérés. C'est surtout au travers de ses enfants que se révèle sa sainteté.
Fêtée par certains le 14 octobre, comme abbesse de Llanwyddelan, Gwynedd, Pays de Galles, VIe et VIIe siècles.
"D'après la tradition, Fragan et son épouse Gwenn quittèrent vers 460 l'île de Bretagne et débarquèrent sur la côte nord de l'Armorique. Ils s'installèrent sur les rives du Gouët, à l'endroit appelé aujourd'hui Ploufragan. Deux enfants leur étaient déjà nés, Guethenoc et Jacut; le troisième, Gwenolé, naîtra en Armorique. Le culte de sainte Gwenn est pratiquement inexistant, aucune chapelle n'est en son nom dans le diocèse de Quimper. La chapelle Saint-Vennec en Briec conserve une statue de sainte Gwen et de ses trois garçons, et la paroisse de Saint-Frégant garde, dans son nom, le souvenir du père de saint Gwennolé." (source: diocèse de Quimper et Léon)

Les Fêtes des Saintes Âmes du Jour
Saint Amable de Riom  Prêtre en Auvergne (✝ v. 475)
Saint Asclépiade  évêque d'Antioche (✝ 218)
Sainte Blanche  Soeur de sainte Nonna (Ve siècle)
Sainte Blanche  Martyre (✝ v. 492)
Vénérable Francesco Caruso  prêtre diocésain italien (✝ 1951)
Saints Gabriel et Kermidolis  (✝ 1522)
Sainte Gwendoline   Mère de saint Guénolé (Ve siècle)
Saints Hermès et Taxe  Martyrs en Moldavie à Galatz (VIe siècle)
Saint Julien l'Ermite  (IVe siècle)
Saint Just d'Auxerre  (✝ 287)
Vble Marie de Saint-François  fondatrice des Franciscaines de Notre Dame des Victoires (✝ 1916)
Saint Marynos  (IVe siècle)
Saint Monon  ermite dans les Ardennes (✝ v. 636)
Saint Paul de la Croix  (✝ 1775)
Saint Pierre d'Alcantara  Franciscain espagnol (✝ 1562)
Saint Pierre de Tsetinie  (✝ 1830)
Saints Procule, Eutyque et Acuce  martyrs en Italie (IVe siècle)
Sainte Tryphonia de Rome  veuve et martyre (IIIe siècle)
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