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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Narcisse et aux Saintes âmes du 29 octobre

SAINT DU JOUR
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Date 29 octobre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège 

 

 

29 Octobre
  
Saint Narcisse

Évêque de Jérusalem
(IIe siècle)

Saint Narcisse
Saint Narcisse

Saint Narcisse, né en Palestine, vers la fin du Ier siècle, s'appliqua dès sa jeunesse, avec un grand soin, à l'étude des sciences divines et humaines. Il entra dans l'état ecclésiastique, et l'on put voir en lui le modèle achevé de toutes les vertus sacerdotales; aussi l'appelait-on le saint prêtre. Pendant toute sa vie il fut entouré de l'estime universelle; toutefois ce n'est qu'à l'âge de quatre-vingts ans qu'il fut choisi pour évêque de Jérusalem.

Cette haute dignité lui inspira un nouveau zèle et une nouvelle ferveur, et il gouverna son troupeau avec une vigueur qu'on n'aurait pas dû naturellement attendre de son grand âge. Sa vie austère et pénitente fut toute entière vouée au bien de l'Église. En 195, il présida, avec Théophile de Césarée, un concile tenu relativement à la célébration de la fête de Pâques, et où il fut décidé que cette fête se célébrerait toujours un dimanche, et non le jour où il était d'usage de la célébrer chez les Juifs.

Le Ciel opéra un grand nombre de prodiges par les mains de ce vénérable pontife: on en raconte un particulièrement remarquable. Une veille de Pâques, l'huile manquait aux lampes de son église pour les offices solennels qui avaient alors lieu dans la nuit. Narcisse commanda de tirer de l'eau à un puits qui était proche et de la lui apporter; il la bénit et la fit verser dans les lampes; on s'aperçut alors qu'elle s'était changée en huile, ce qui excita l'admiration des fidèles. On conserva longtemps avec respect des restes de cette huile miraculeuse.

La vénération que ce saint évêque s'était attirée ne put le garantir de la malice des méchants. Trois scélérats l'accusèrent d'un crime atroce et confirmèrent leur calomnie par des imprécations horribles contre eux-mêmes. L'un dit: "Je veux être brûlé vif, ci cela n'est pas vrai!" L'autre: "Je veux être couvert de la lèpre!" Le troisième: "Je consens à perdre la vue!" Narcisse crut devoir céder à l'orage et se retira dans un désert, où il s'ensevelit pendant huit années. Dieu Se chargea de sa vengeance. Ses calomniateurs reçurent le prix de leur crime: le premier périt dans un incendie, avec toute sa famille; le second fut couvert d'une lèpre horrible; le troisième, frappé d'effroi et plein de repentir, pleura son péché au point qu'il en perdit la vue. Narcisse ne put résister plus longtemps aux instances de son peuple et vint reprendre le soin de son Église. Il mourut à l'âge de cent seize ans.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Gaetano Errico
Prêtre et fondateurs de la Congrégation :
« Missionnaires des Sacrés Cœurs »

G

aetano, Gaëtan en français, troisième enfant d'une famille de dix enfants, naît le 19 octobre 1791 à Secondigliano (nord de Naples) de Pasquale et Maria Marseglia ; il reçoit le baptême le lendemain dans la paroisse des saints Côme et Damien avec les prénoms de Gaetano, Cosma et Damiano. Son père dirigeait une fabrique de pâtes et sa mère faisait du tissage.

À l'âge de quatorze ans, il prit conscience de sa vocation religieuse et demanda à rejoindre les Rédemptoristes qui le refusèrent à cause de son trop jeune âge.

A 16 ans, en 1808, il entre au séminaire diocésain de Naples et il est ordonné prêtre en 1815 dans la cathédrale de cette ville.

Pendant 20 ans il exerce son ministère dans l'église paroissiale des Saints Côme et Damien et il est instituteur. Il accomplit une intense activité apostolique, missionnaire et caritative, marquée par la prière et la pénitence. Chaque année, il se retire chez les pères rédemptoristes de Pagani pour ses exercices spirituels.

Pendant une retraite qu'il fit en 1818 chez les Rédemptoristes, il eut une vision : saint Alphonse-Marie de Liguori (fondateur des Rédemptoristes) qui l'incitait à bâtir une église et à fonder une Congrégation.

Il se mit alors à l'ouvrage, récoltant des fonds auprès de la population locale et, le 9 Décembre 1830, l'église Notre-Dame des Douleurs était ouverte. Elle devint par la suite un très important lieu de Pèlerinage en Italie.

Plus tard, une autre apparition lui précise que la nouvelle congrégation doit être instituée en l'honneur des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie. Il se fait alors l'apôtre de leur amour miséricordieux dans toute l'Italie méridionale. Aux Jansénistes qui insistaient trop sur la justice de Dieu, répandant dans les âmes peur et malaise, Gaétan Errico oppose l'annonce de la miséricorde divine. Il ne se lasse pas d'exhorter les prêtres: « Si des âmes arrivent emplies de nombreuses fautes, aidez-les à se relever, encouragez-les à la confiance, dites-leur que le Seigneur les pardonne toutes, si elles se repentent de tout cœur ». Il donne l'exemple en passant des journées entières au confessionnal, prodiguant ses meilleures énergies dans l'accueil et l'écoute des pénitents.

En 1833, il quitte la maison familiale et se retire dans une petite maison qui deviendra le siège de sa fondation: la Congrégation des « Missionnaires des Sacrés Cœurs », laquelle fut approuvée successivement par les évêques en 1838, le roi en 1840 et le Bx Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878) le 7 août 1846. Don Gaetano en fut le premier supérieur général. La Congrégation est aujourd'hui présente en Italie, en Argentine, aux États-Unis, en Inde et en Slovaquie.

Le 29 octobre 1860, à Secondigliano, à 10 heures du matin c'est pour lui l'heure de la Rencontre avec Celui auquel il a donné toute sa vie !

Gaetano Errico a été béatifié le 14 avril 2002, par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) et canonisé le 12 octobre 2008, par le Pape Benoît XVI (Joseph Aloisius Ratzinger).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bse Chiara Luce Badano


Gen du Mouvement des Focolari

 

Contrairement à l’usage courant, le jour de la mémoire n’est pas celui de la naissance au ciel (dies natalis : 7 octobre) mais celui de sa naissance sur terre.

 

C

hiara Badano naît à Sassello, village ligure des Appenins, le 29 octobre 1971, après que ses parents, Ruggero Badano, chauffeur de camions, et Marie-Thérèse Caviglia, l’aient attendu pendant 11 ans.

Elle porte un prénom — Chiara, Claire — qui  la  décrit  parfaitement, avec  ses  grands  yeux  limpides et son sourire doux et communicatif; elle est intelligente et volontaire, pleine de vie, joyeuse et sportive. Sa maman lui apprend — à travers les paraboles de l’Évangile — à parler avec Jésus et à lui dire « toujours oui ». Elle respire la santé, aime la nature et les jeux, mais elle se caractérise dès l’enfance par son amour envers les « derniers », qu’elle couvre d’attentions et de services, en renonçant bien souvent à des moments de détente. Dès le jardin d‘enfants, elle met ses économies dans une petite boîte, pour les « petits Africains » ; plus tard, elle rêvera qu’elle part en Afrique en tant que médecin, pour soigner ces enfants.

Elle est une petite fille normale, mais avec un quelque chose en plus : elle est docile à la grâce et au dessein de Dieu sur elle, qui se dévoilera peu à peu. Le jour de sa première communion, elle reçoit en cadeau les Évangiles. Ce sera pour elle un « magnifique livre » et « un extraordinaire message ». Elle dira : « De même qu’il est facile pour moi d'apprendre l’alphabet, je dois aussi apprendre à vivre l’Évangile ! »

À 9 ans, elle devient une Gen (abréviation de Nouvelle Génération), au sein du Mouvement des Focolari. Elle fait sien cet idéal et peu à peu  y  entraîne  aussi  ses  parents. Dès ce moment,  sa vie sera une ascension constante, dans sa tension à « mettre Dieu à la première place ».

Elle poursuit ses études au Lycée classique, offrant à Jésus chaque difficulté et souffrance.

Mais à 17 ans, à l’improviste, une douleur lancinante à l’épaule gauche révèle, après des examens et des interventions inutiles, un ostéosarcome (la plus courante des tumeurs malignes osseuses primaires) ; un calvaire d’environ deux ans commence. En apprenant le diagnostic, Chiara ne pleure pas, elle ne se rebelle pas : elle reste en silence, et après 25 minutes affleure sur ses lèvres le « oui » à la volonté de Dieu. Elle répétera souvent : « Si tu le veux, Jésus, je le veux moi aussi ».

Elle ne perd pas son sourire lumineux. Elle subit des cures très douloureuses et entraîne ceux qui la côtoient dans ce même Amour. Elle refuse la morphine, car celle-ci lui enlève sa lucidité ; elle offre tout pour l’Église, pour les jeunes, les  non-croyants, le Mouvement, les missions…, en  restant sereine et forte. Elle répète : « Je n’ai plus rien, mais j’ai encore le cœur et avec lui je peux toujours aimer ».

Sa petite chambre, à l’hôpital de Turin et chez elle, est un lieu de rencontre, d’apostolat, d’unité : c’est son église. Les  médecins aussi, certains non pratiquants, sont bouleversés par la paix qui émane d’elle, et plusieurs redécouvrent Dieu. Ils se sentaient « attirés comme par un aimant »  et s’en souviennent encore aujourd’hui ; ils parlent d’elle et l’invoquent.

À sa maman, qui lui demande si elle souffre, elle répond : « Jésus m’enlève, avec du chlore, mes points noirs, et le chlore ça brûle. Ainsi, quand j’arriverai au Paradis, je serai blanche comme la neige ». Elle est convaincue que Dieu l’aime. Elle affirme en effet : « Dieu m’aime immensément » et, après une nuit particulièrement dure, elle arrive à dire : « J’ai beaucoup souffert, mais mon âme chantait… »

Peu avant de  partir pour le Ciel, elle confiera à ses amis qui viennent lui rendre visite pour la consoler, mais qui repartent consolés eux-mêmes : « (...) Vous ne pouvez pas imaginer la relation que j’ai maintenant avec Jésus… Je me rends compte que Dieu me demande quelque chose de plus, de plus grand. Peut-être pourrai-je rester sur ce  lit pendant des années, je n’en sais rien. La seule chose qui m’intéresse, c’est la volonté de Dieu, bien faire celle de l’instant présent : jouer la partition de Dieu. Si on me demandait si je veux marcher (l’avancement de la maladie lui paralyse les jambes, avec des contractions très douloureuses), je dirais que je ne le veux pas, car ainsi je suis plus proche de Jésus ».

Sur l’insistance de beaucoup, Chiara écrit ce billet à la Sainte Vierge : « Maman du Ciel, je te demande le miracle de ma guérison. Mais si cela n’est pas la volonté de Dieu, je te demande la force de ne jamais céder ! » Elle restera fidèle à cet engagement.

Depuis toute petite, elle souhaite « ne pas donner Jésus [à ses amis] avec des mots, mais avec [son] comportement ».

Ce n’est pas toujours facile ; en effet, elle répétera à plusieurs reprises : « Comme c’est dur d’aller à contre-courant ! » Et pour parvenir à surmonter chaque obstacle, elle répète : « C’est pour toi, Jésus ! » Pour bien vivre le christianisme, Chiara participe le plus souvent possible à la messe quotidienne : elle y reçoit Jésus qu’elle aime tant. Elle lit la Parole de Dieu et la médite. Elle réfléchit souvent à l’affirmation de Chiara Lubich : « Je serai sainte si je suis sainte tout de suite ».

À sa maman, qui est préoccupée à l’idée qu’elle la perdra bientôt, elle répète sans cesse :  « Aie confiance en Dieu, ainsi tout est fait ». Et : « Quand je ne serai plus là, suis Dieu et tu trouveras la force d’aller de l’avant ».

Elle accueille avec gentillesse ceux qui viennent lui rendre visite. Elle écoute et offre sa propre douleur, car, dit-elle,  « j’ai de quoi faire ! » Durant ses dernières rencontres avec son évêque, elle démontre un grand amour pour l’Église. Entre-temps, le mal progresse et les douleurs augmentent.

Pas une plainte ; sur ses lèvres : « Avec toi, Jésus ; pour toi, Jésus ! » Chiara se prépare à la rencontre : « C’est l’Époux qui vient me trouver », et elle choisit son habit de noces, les chants et les prières pour « sa » Messe ; la liturgie devra être une « fête », et « personne ne devra pleurer ».

En recevant pour la dernière fois Jésus Eucharistie, elle paraît immergée en Lui et supplie qu’on lui récite « la prière : Viens, Esprit Saint, envoie-nous, du Ciel, un rayon de ta lumière ».

Le nom de « Lumière »

(Luce) lui sera donné par Chiara Lubich, avec qui elle a une relation épistolaire intense et filiale depuis son enfance.

Elle n’a pas peur de mourir. Elle dit à sa maman :

Je ne demande plus à Jésus de venir me

chercher pour m’emmener au Paradis, parce que je veux 

encore lui offrir ma douleur, partager

encore un peu  la croix avec lui ».

 

 Et une pensée spéciale pour les jeunes : « ... Les jeunes sont l’avenir. Moi, je ne peux plus courir, mais j’aimerais leur transmettre le flambeau, comme aux Jeux olympiques. Les jeunes ont une seule vie, et il vaut la peine de bien la vivre ! »

Et l’« Époux » vient la chercher à l’aube du 7octobre 1990, après une nuit de grande souffrance. C’est le jour de la Vierge du Rosaire. Ses derniers mots sont : « Maman, sois heureuse, car je le suis. Ciao ». Encore un cadeau: ses cornées.

À la messe d’enterrement, célébrée par l’Évêque, accourent des centaines de jeunes et de nombreux prêtres. Les membres du Gen Rosso et du Gen Verde font s’élever les chants qu’elle a choisis.

L’exemple lumineux de Chiara  touche de nombreux cœurs de jeunes et de moins jeunes, il les transforme et les oriente vers Dieu. Sa « réputation de sainteté » se répand tout de suite dans le monde entier, produisant de nombreux « fruits ».

Chiara Luce Badano a été béatifiée à Rome - Sanctuaire Madone du Divin Amour - le 25 septembre 2010, en présence d’environ 25.000 personnes, surtout des jeunes venus de 57 pays différents. La cérémonie, joyeuse et toute en profondeur, était présidée par le Card. Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour la cause des Saints, qui représentait le pape Benoît XVI.

Son éminence, dans son homélie, a défini Chiara Luce « Une jeune fille au cœur cristallin » et « Une jeune fille moderne, sportive, positive, qui, dans un monde plein de bien-être, mais aussi souvent malade de tristesse et d’absence de bonheur, nous transmet un message d’optimisme et d’espérance ».

 

Bx Michel (Michele) Rua
Ier successeur de saint Jean Bosco

La date de culte, pour l’église universelle, est le 6 avril ; la Famille Salésienne le commémore le 29 octobre, jour de sa béatification.

M

ichele Rua naît à Turin le 9 juin 1837, dernier de neuf enfants. Son père, Giovanni Battista, contrôleur à la Manufacture d'armes de Turin, décède le 2 août 1845. Veuve, Mme Rua garde son logement à l'intérieur de la Manufacture.

Un dimanche de l'automne 1845, Michel pousse la porte du fameux patronage de don Bosco ; en 1852 il entre à l'Oratoire du Valdocco (quartier de Turin). Deux ans après, il fait partie des premiers à qui don Bosco propose de former la Société salésienne.

Devenu prêtre, le 28 juillet 1860, il est toujours aux côtés de don Bosco, et son vicaire à partir de 1865, si bien qu'à la demande expresse du Saint, le Pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903) le destine, en 1884, à succéder au Fondateur et le confirme comme Recteur majeur en 1888.

Considéré comme la Règle vivante pour sa fidélité et son austérité, don Rua fait preuve d'une paternité pleine de délicatesse, au point d'être appelé « un souverain de la bonté ». Par son action éclairée et prévoyante, mais parfois hardie au plan social, il équipe les oratoires de gymnases et de cercles sociaux ; il devance les lois de l'État pour doter les écoles professionnelles de programmes adaptés ; à côté de l'enseignement classique, il institue l'enseignement technique et commercial ; il érige des pensionnats. La multiplication des confrères et le développement des œuvres le pousse à ouvrir le monde entier aux salésiens et à assurer en particulier les expéditions missionnaires.

Au cours de ses longs voyages de visite aux œuvres salésiennes d'Europe et du Moyen-Orient, il encourage et réconforte les confrères en faisant toujours appel au Fondateur « Don Bosco disait ... Don Bosco faisait ... Don Bosco voulait ... ».

Quand il mourut, à 73 ans, le 6 avril 1910, la Société était passée de 773 à 4.000 salésiens, de 57 à 345 Maisons, de 6 à 34 Provinces dans 33 pays.

Saint Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) le béatifia le 29 octobre 1972 et affirma: « La Famille salésienne [...] a eu en Don Bosco son origine, et en don Rua sa continuité [...]. Il a fait de l'exemple du Saint une école, de sa Règle un esprit, de sa sainteté un modèle [...]. Don Rua a inauguré une tradition ».

 Fêtes des Stes Âmes du Jour
Saint Abraham  ✝ 1077)
Saint Abramio  ermite en Syrie (IVe siècle)
Sainte Achahildis vénérée à Wendelstein en Allemagne (✝ v. 970)
Sainte Anastasie de Rome  (IIIe siècle)
Saint Anne  (VIIIe siècle)
Bienheureux Bérenger  abbé de Formbach (✝ 1108)
Saint Bond  VIIe siècle)
Bse Chiara Luce Badano  jeune fille italienne (✝ 1990)
Saint Colman Mac Duagh  évêque irlandais (✝ v. 632)
Saint Dodon de Wallers  abbé de Wallers (✝ 760)
Sainte Ermelinde  Vierge dans le Brabant (✝ 595)
Sainte Eusébie  vierge et martyre à Bergame (✝ v. 304)
Saint Félicien  martyr à Carthage (IIIe siècle)
St Gaetano Errico  prêtre fondateur de la Congrégation des Missionnaires des Sacrés coeurs de Jésus et de Marie (✝ 1860)
Saint Honorat Evêque de Verceil (✝ 397)
Vble Ignazio Beschin  prêtre franciscain italien (✝ 1952)
Saint Ingaud  vénéré à Montreuil-sur-Mer (VIIe siècle)
Saint Jacques d'Osroene (✝ 521)
Saint James Hannington  (✝ 1885)
Saint Jorioz  (Xe siècle)
Bse Lucie Rucellai Tertiaire dominicaine (✝ 1520)
Saint Mazeran  fondateur du prieuré d'Escolles (XIe siècle)
Vénérable Pietro Uccelli  missionnaire (✝ 1954)
Saint Theudère  Moine à Vienne, en Dauphiné (✝ 575)
Saint Timothée  (✝ 1820)
Saint Zénobe  Martyr à Antioche, en Syrie (✝ 304)
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