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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Clément et aux très Saintes Âmes du 23 novembre

SAINT DU JOUR
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Date 23 novembre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint Siège 

Saint Clément I
Pape (4ème) de 88 à 97

et martyr († 100)

 

Clément était né à Rome. Riche, instruit, ardent à chercher la vérité, il trouva dans la religion chrétienne la satisfaction entière des exigences de sa raison et des aspirations de son âme. Non seulement il se fit chrétien, mais il seconda les apôtres dans la prédication de l'Évangile ; et saint Paul, dans son épître aux Philippiens, rappelant les travaux de Clément, assure que son nom est écrit au Livre de vie. Cet attachement de Clément aux apôtres, ce zèle qu'il montra pour la foi, l'ont fait appeler par les Pères homme apostolique.

Élevé à l'épiscopat par saint Pierre, il devait être son troisième successeur, vers l'an 91. Il vit la chute et la mort de Néron, ainsi que la prise et la ruine de Jérusalem. Sous l'empereur Vespasien, Clément fut conduit au tribunal du préfet, qui demeura émerveillé de la sagesse de ses réponses ; mais la volonté de l'empereur était nette : « Que Clément sacrifie aux dieux ou soit exilé en Chersonèse ! » Quelle ne fut pas la joie du saint exilé, de trouver dans ce lointain pays deux mille chrétiens ! La consolation de ces chrétiens fut indicible : « Dieu, leur dit l'humble pontife, m'a fait une grâce dont je n'étais pas digne, en m'envoyant au milieu de vous partager vos couronnes. »

Les généreux confesseurs de la foi, au milieu de leurs rudes travaux, étaient souvent privés d'eau et devaient aller la chercher à une très forte distance. Plein de confiance en Dieu, Clément dit aux chrétiens : « Prions le Seigneur, qui a fait jaillir l'eau d'un rocher du désert ; il nous viendra en aide. » Il se mit donc en prière, et bientôt, levant les yeux, il aperçut sur la colline un agneau blanc comme la neige, qui de son pied droit indiquait une source d'eau vive jaillissant soudain. À partir de ce jour, les martyrs eurent de l'eau en abondance. La nouvelle de ce miracle fit une grande impression dans tout le pays, les conversions se multiplièrent, des églises se bâtirent, et quelques années plus tard le paganisme était complètement détruit.

Saint Clément nous a laissé dans ses lettres le plus charmant tableau de ses missions apostoliques. Ce fut seulement sous Trajan, après plus de vingt ans d'exil, que le saint Pape, devenu très suspect à cause de son zèle et de ses succès, fut jeté à la mer, une ancre au cou. Les chrétiens priaient sur la plage. La mer se retira, chose inouïe, d'une lieue et demi, et le corps du martyr parut à découvert, dans une chapelle de marbre construite par les anges. Les marins ont pris saint Clément pour patron.

SAINTE FÉLICITÉ

VEUVE ET MARTYRE ROMAINE


Selon la tradition, Félicité est une riche veuve chrétienne et persécutée pour cela sous l’empereur Antonin. Mère de sept enfants, elle les soutient spirituellement durant le martyre qu’elle partage avec eux vers 165. Elle est enterrée au cimetière Maxime de la via Salaria Nuova.  
Commémorés le 23 novembre par le Martyrologe Romain et le 10 juillet au niveau local.

Félicité était une dame romaine distinguée par sa vertu et par sa naissance. Mère de sept enfants, elle les éleva dans la crainte du Seigneur. Après la mort de son mari, elle servit Dieu et ne s'occupa plus que de bonnes œuvres. Ses exemples, ainsi que ceux de sa famille, arrachèrent plusieurs païens à leurs superstitions, en même temps qu'ils encourageaient les chrétiens à se montrer dignes de leur vocation. Les prêtres païens, furieux de l'abandon de leurs dieux, la dénoncèrent.

Elle comparut, avec ses pieux enfants, devant le juge, qui l'exhorta à sacrifier aux idoles, mais reçut en réponse une généreuse confession de foi :

« Malheureuse femme, lui dit-il alors, comment avez-vous la barbarie d'exposer vos enfants aux tourments et à la mort ? Ayez pitié de ces tendres créatures, qui sont à la fleur de l'âge et qui peuvent aspirer aux premières charges de l'État.

- Mes enfants, reprit Félicité, vivront éternellement avec Jésus-Christ, s'ils sont fidèles ; ils doivent s'attendre à d'éternels supplices, s'ils sacrifient aux idoles. Votre pitié apparente n'est donc qu'une cruelle impiété. » Se tournant ensuite vers ses enfants :

« Regardez, leur dit-elle, regardez le Ciel, où Jésus-Christ vous attend avec ses saints. »

Le juge, prenant les enfants séparément, essaya d'ébranler leur constance. Il commença par Janvier ; mais il en reçut cette réponse :

« Ce que vous me conseillez de faire est contraire à la raison ; le Sauveur Jésus, je l'espère, me préservera d'une telle impiété. »

Félix, le second, fut ensuite amené. Comme on le pressait de sacrifier, il répondit : « Il n'y a qu'un seul Dieu, et c'est à Lui que nous devons offrir le sacrifice de nos cœurs ; employez tous les artifices, tous les raffinements de la cruauté, vous ne nous ferez pas trahir notre foi ! »

Les autres frères, interrogés, répondirent avec la même fermeté. Martial, qui parla le dernier, dit : « Tous ceux qui ne confessent pas que Jésus-Christ est le vrai Dieu seront jetés dans un feu qui ne s'éteindra jamais. »

L'interrogatoire fini, Félicité et ses sept fils souffrirent la peine du fouet et furent ramenés en prison ; bientôt ils achevèrent leur sacrifice de différentes manières : Janvier fut frappé jusqu'à la mort avec des fouets garnis de plomb ; Félix et Philippe furent tués à coups de massue ; Sylvain fut jeté, la tête en bas, dans un précipice ; Alexandre, Vital et Martial eurent la tête tranchée.

Félicité, mère de ces nouveaux Macchabées, subit le martyre la dernière.

SAINT COLOMBAN,

ABBÉ DE LUXEUIL ET DE BOBBIO


S. Colomban, XV siècle
 

L’ Irlandais célèbre de l’histoire est Colomban. A 20 ans, il est un moine rigoureux et ascète. A 50 il devient missionnaire et avec 12 compagnons il évangélise en France, Suisse et le nord de l’Italie, fondant des communautés et réorganisant la vie ecclésiale. Sa Règle monastique est un modèle.   

Formé à Bangor (Irlande) par le rude saint Gomball, Colomban emmena une douzaine de moines à sa suite pour aller évangéliser la Meuse et les bords du Rhin.

Il se fixa ensuite à Luxeuil (Franche-Comté) et y fonda une abbaye qui compta bientôt plus de trois cents moines. Il fonda aussi un autre monastère à Fontaines, à 6 km de Luxeuil. Dans ces deux monastères, la règle était très rude : silence, jeûne, abstinence et obéissance absolue.

Saint Séverin de Paris
Ermite à Paris (✝ v. 540)


Touché par le désir de mener une vie contemplative, il s'enferma dans une petite cellule sur les bords de la Seine. Il eut de nombreux disciples dont saint Cloud et les Parisiens qui venaient nombreux se recommander à ses prières. Il fut enterré au lieu même de son ermitage qui est devenu la paroisse parisienne de Saint Séverin, et dont l'église demeure encore un asile de silence comme un ermitage dans ce quartier débordant de vie.


À Paris, au VIe siècle, saint Séverin,  vécut reclus dans une cellule, tout entier occupé à la contemplation de Dieu.

Saint Séverin de Paris (v. 540) est un ermite ayant vécu au VIème siècle à Paris.
Attiré par la vie contemplative, il passa une grande partie de sa vie enfermé dans une cellule, sur les bords de Seine, priant et méditant. Son exemple attira de nombreux Parisiens, qui se firent ses disciples et le prirent pour modèle de dévotion, de piété et d'humilité. Saint Cloud fut l'un d'entre eux. Il est enterré sur son lieu d'ermitage, devenu la paroisse de Saint-Séverin (Paris 5e). Selon les sources, il est fêté le 23 novembre selon le martyrologe romain actuel1 ou anciennement le 27 novembre

Martyrologe romain

Dictons
A Saint Séverin, chauffe tes reins
Quand en novembre, la pluie noie la terre, ce sera du bien pour tout l'hiver.
Saint Séverin tout droit mène aux premiers froids. 

Fêtes des Saintes Âmes du Jour


Bienheureux Adalbert moine (XIe siècle)
Saint Alle  abbé (VIIe siècle)
Saint Amphiloque  évêque à Iconium en Asie Mineure (✝ v. 394)
Sainte Cécile Yu So-sa  martyre (✝ 1839)
Saint Clément  premier évêque de Metz (IIIe siècle)
Saint Colomban  abbé de Luxeuil et de Bobbio (✝ 615)
Sainte Félicité  Veuve et martyre romaine (✝ v. 165)
Saint Grégoire d'Agrigente  Evêque d'Agrigente en Sicile (✝ v. 603)
Saint Lamain  martyr (date ?)
Sainte Lucrèce  Vierge et martyre à Mérida (✝ 304)
Bse Marguerite de Savoie Tiers-Ordre de Saint Dominique (✝ 1464)
Bienheureuse Marie-Cécile martyre espagnole (✝ 1936)
Bienheureux Miguel Augustin Pro  jésuite martyr au Mexique (✝ 1927)
Sainte Mustiole  martyre à Chiusi en Toscane (IIIe siècle)
Saint Paulin  (✝ 505)
Vénérable Pelagio Sauter  prêtre au Brésil (✝ 1961)
Saint Phalier  Ermite originaire de Limoges (✝ 525)
Sainte Rachilde  Recluse allemande (✝ 946)
Saint Sisine  évêque et martyr (IVe siècle)
Saint Trond  Prêtre en Hesbaye, Belgique (✝ v. 690)
Sainte Vulfétrude  Abbesse à Nivelles, nièce de sainte Gertrude (✝ 669)

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