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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Théodore et aux très Saintes âmes du 9 Novembre

SAINT DU JOUR
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Date 09 novembre

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

(1) SAINT THÉODORE 

SOLDAT, MARTYR

Originaire d’Orient, Théodore est un soldat romain de foi chrétienne qui, au temps de l’empereur Massemin, se trouve avec sa légion à Amasea, en Anatolie. Il lui est ordonné de sacrifier aux dieux: en réponse il détruit le

Le saint du jour est un moine byzantin du monastère Saint-Sabas,

en Palestine. Il est mort en prison en 842 pour avoir pris parti contre l'empereur qui voulait interdire le culte des icônes.

(2) St Théodore Soldat, martyr à Euchaïta,
dans le Pont (✝ v. 304)

martyr à Amasée en Turquie d'Asie. Soldat romain, il fut décapité en raison de sa foi. Sa vie, déjà exemplaire, fut embellie avec le temps. On lui attribua l'exploit d'avoir mis à mort un dragon, comme saint Georges et saint Dimitri.
Apparition de Notre-Seigneur à saint Théodore - ostensions de Saint-JunienTous trois d'ailleurs sont les "trois grands soldats martyrs" des Orientaux.
"Théodore, soldat romain, né en Syrie vers l'an 270, se convertit au christianisme, et ameutant la foule par ses prédications, fit mettre le feu au temple de Cybèle qui fut complètement détruit. L'empereur Dioclétien le fit enfermer aussitôt à Amaséa, ville de la province du Pont en Asie Mineure. Une nuit, garrotté étroitement dans sa prison et gardé à vue, le gouverneur vint l'interroger une dernière fois avant de le livrer au supplice.
Le Seigneur lui apparut dans la prison au milieu d'un nuage entouré de deux anges portant, l'un une couronne et l'autre la palme des martyrs. Saint Théodore fut exécuté et eut la tête tranchée, le 9 novembre de l'an 301."
(sources: 
Soixante et onzièmes ostensions septennales de Saint-Junien -Haute-Vienne- en 2009)

temple de Cybèle, en allant ainsi au-devant du martyre. 

(3) Saint Théodore  Soldat, Martyr († 304)
Saint Théodore
Saint Théodore

Saint Théodore, jeune soldat romain, est un des plus célèbres martyrs de l'Orient. Il naquit en Syrie, à la fin du IIIe siècle; il ne faut pas le confondre avec un autre Théodore, vieux soldat et martyr, dont la fête arrive le 7 février. Théodore faisait partie d'une légion romaine qui avait établi son quartier d'hiver dans la ville d'Amasia, où les édits persécuteurs étaient exécutés sévèrement.

Le jeune soldat, plein de l'amour de Jésus-Christ, dédaigna, malgré le péril, de cacher sa foi, et, au contraire, il se fit une gloire de la professer publiquement; aussi fut-il présenté comme chrétien au tribun de sa légion. Celui-ci lui demanda comment il osait professer une religion proscrite sous peine de mort: "Je ne connais point vos idoles, répondit-il; j'adore Jésus-Christ, Fils unique de mon Dieu. Je vous abandonne mon corps; vous pouvez le déchirer, le mettre en pièces, le livrer aux flammes. Si mes discours vous offensent, coupez-moi la langue. Dès que Dieu l'exige, je suis prêt à faire le sacrifice de chacun de mes membres." Le tribun et les juges, affectant d'être touchés de compassion pour sa jeunesse, se contentèrent de le menacer et le laissèrent en liberté.

Théodore ne songea qu'à gagner des âmes à Jésus-Christ, à fortifier les autres confesseurs de la foi et à les animer au martyre; il poussa même le courage jusqu'à mettre le feu au temple de la déesse Cybèle. Ce fut en vain qu'on essaya de lui faire exprimer quelques regrets à ce sujet: il brava toutes les menaces, comme il se rit de toutes les promesses. Il fut alors fouetté très cruellement et enfermé dans un cachot, sans nourriture, pour y mourir de faim. La nuit, le Sauveur vint le visiter, lui promit de le nourrir d'un aliment invisible et le fortifia pour le dernier combat. Cette visite donna à Théodore tant de joie, qu'il se mit à chanter les louanges de Dieu, et des Anges vêtus de blanc vinrent unir leurs voix à la sienne. Les geôliers et les gardes, le juge lui-même, furent témoins du miracle sans se convertir. On lui fit alors de belles promesses, et on lui dit que, s'il feignait seulement la moindre soumission, on le mettrait en liberté. Ayant répondu à ces nouvelles sollicitations avec une fermeté invincible, Théodore est alors déchiré avec des crochets de fer, on lui brûle les côtes avec des torches ardentes, puis on le condamne à être brûlé vif. Le vaillant soldat, placé sur le bûcher, se munit du signe de la Croix, et bientôt sa belle âme s'envola au Ciel.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

 

Dédicace de la Basilique du Latran

Basilique saint Jean de Latran, à Rome

Basilique saint Jean de Latran Eglise cathédrale de l'évêque de Rome, elle est à ce titre, "mère et tête de toutes les églises" du monde chrétien. Elle fut édifiée par l'empereur Constantin, vers 324, peu après la fin des grandes persécutions, à côté du palais des "Laterani" une grande famille romaine. Cinq conciles y tinrent leurs assises.

Fête de la dédicace de la basilique du Latran, construite en l'honneur du Christ Sauveur par l'empereur Constantin, comme siège de l'évêque de Rome. La célébration de son anniversaire est, dans toute l'Église latine, un signe de dilection (*) et d'unité avec le siège de Pierre.

(*)la dilection est un terme de dévotion qui signifie: tendresse, amour, charité.

 

Dédicace de la Basilique du Saint-Sauveur

En l'an 324

Dédicace de la Basilique du Saint-Sauveur
Basilique du Saint-Sauveur

L'usage d'avoir des lieux spécialement destinés à la prière et au culte remonte à l'origine du monde. Toutefois, le premier temple consacré au vrai Dieu ne fut bâti que vers l'an 3000 après la création, à Jérusalem, par le roi Salomon. Ce prince en fit la dédicace l'an 3004; la cérémonie dura huit jours, et les Juifs en renouvelèrent chaque année la mémoire. Aux premiers siècles du christianisme, l'Église persécutée ne put bâtir de temples et dut célébrer les divins mystères dans des maisons particulières ou dans les catacombes, sur les tombeaux des martyrs. Mais quand la paix fut donnée aux chrétiens, on vit bientôt surgir de toutes parts des temples magnifiques en l'honneur du seul vrai Dieu, sur les ruines des temples du paganisme.

Le Christ et Sa Croix rendirent Constantin victorieux de son rival Maxence. Ne marchandant pas sa reconnaissance, le grand empereur mit fin aux persécutions sanglantes, donna la liberté à l'Église et promulgua une loi par laquelle il permettait aux chrétiens de bâtir des églises dans tout son empire. Donnant lui-même l'exemple, Constantin fit construire un baptistère en 334, à l'endroit où le pape saint Sylvestre l'avait baptisé. Il fit aussi édifier les somptueuses basiliques de Ste-Croix-de-Jérusalem, réplique de celle du St-Sépulcre, et la basilique St-Pierre qu'il érigea sur le tombeau du prince des apôtres. Le pieux empereur fit également bâtir sur l'emplacement du palais des Laterani, pour servir d'église patriarcale et pontificale, la basilique du Saint-Sauveur, appelé aussi St-Jean de Latran.

Le Pape saint Sylvestre fit, en 324, la dédicace de l'église de Saint-Sauveur, aujourd'hui Saint-Jean-de-Latran, à Rome. En France, l'usage s'est généralisé de célébrer, dans les premiers jours de ce même mois, l'anniversaire de la dédicace de toutes les églises. Cette fête mérite de notre part un respect tout spécial: après la fête de l'Église du Ciel et de l'Église du purgatoire, c'est, en quelque sorte, la fête de l'Église de la terre. L'office de ce jour est d'une beauté remarquable et nous montre dans nos temples, d'après la Sainte Écriture, la maison de la prière, la maison de Dieu, un lieu saint et terrible, une image de la céleste Jérusalem, la porte du Ciel.

Tout, en effet, dans ces saints lieux, est fait pour nous inspirer la plus profonde vénération: les Fonts sacrés du baptême, où nous avons été régénérés; le saint Tribunal, où le pardon divin descend sur nos âmes, à la parole du prêtre; la Chaire de vérité, du haut de laquelle la parole de Dieu se fait entendre; la Table Sainte, où nous recevons le pain des anges; l'Autel, où S'immole l'Agneau qui efface les péchés du monde; le Tabernacle, où réside le Roi immortel des siècles; enfin les croix, les tableaux, les images, les emblèmes religieux qui ornent les murailles. Il n'est pas jusqu'aux pierres de ces édifices vénérables qui ne parlent à nos âmes et ne nous rappellent que nous sommes les pierres vivantes du Temple mystique l'Esprit-Saint Lui-même.

Comment se fait-il donc que nos temples soient si déserts, qu'on y entre avec un esprit si mondain, qu'on s'y tienne d'une manière si vulgaire ou si dissipée, qu'on y prie si machinalement, qu'on néglige tant de moyens de salut offerts par Dieu dans ces asiles sacrés? Faisons réparation au Seigneur, et n'oublions jamais la sainteté de nos églises.

Résumé O.D.M.

Bx Luigi Beltrame Quattrocchi
Père de famille exemplaire

Luigi Beltrame Quattrocchi naît le 12 janvier 1880 à Catane en Sicile, Luigi est le fils de Carlo Beltrame et de Francesca Vita. Il portera aussi le nom de Quattrocchi à la suite de la demande d'un beau-frère de Carlo qui, n'ayant pas d'enfants, tenait à ce que son neveu porte le sien.

La famille s'installa à Rome en 1892, et Luigi s'inscrivit à la faculté de jurisprudence, la Sapienza où, en 1902 il soutint une thèse sur le thème l'erreur de fait dans le droit pénal.
Il réussit ensuite un concours national lui ouvrant le chemin de la profession d'avocat et épouse Maria Corsini le 25 novembre 1905.
Outre son travail et sa vie de famille, Luigi s'implique dans un apostolat actif et prend part à la vie associative catholique.

En 1916 il travaille avec l'association scoute naissante l'ASCI, devenant en 1917 président du secteur Roma V et en 1918 membre du Commissariato Centrale.
En 1919 il fonde le groupe scout « Reparto Scout Roma XX », qu'il dirige jusqu'en 1923.
En 1921, il devient Conseiller général de l'ASCI jusqu'en 1927.

Au moment du Fascisme en Italie, comme il avait refusé de prendre sa carte du parti, son avancement professionnel fut stoppé.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il cacha des Juifs, et d'autres personnes poursuivies par le régime en place. À la fin de la guerre, en 1946, il fut nommé vice-avocat général de l'État Italien.
Luigi mourut le 9 novembre 1951, d'un infarctus, sa veuve lui survivra 14 ans.

Maria Corsini naît le 24 juin 1884 à Florence. Son père Angelo Corsini était capitaine de grenadiers, sa mère était Giulia Salvi.
Mariée le 25 novembre 1905 à Luigi Beltrame Quattrocchi, elle se consacra à l'éducation de ses enfants, aux soins de ses parents âgés, tout en ayant une vie spirituelle intense.
Elle meurt le 26 août 1965 à Serravalle di Bibbiena dans une maison construite pour elle par son époux. Elle écrivit son dernier livre à l'âge de 71 ans.

La vie commune de Luigi Beltrame Quattrocchi et Maria Corsini

S'étant rencontrés en 1900 ils se fiancèrent en mars 1905, et se marièrent le 25 novembre de la même année à la Basilique Sainte-Marie-Majeure. Leur vie était très pieuse, et très équilibrée. Tous les jours, ils assistaient à la Messe et y communiaient.
Maria expliquait : « La journée commençait ainsi: messe et communion ensemble. Sortis de l'église, il me disait bonjour comme si la journée ne commençait que maintenant. On achetait le journal, puis on montait à la maison. Lui à son travail, moi à mes occupations, mais chacun pensant sans cesse à l'autre. Nous nous retrouvions à l'heure des repas. Avec quelle joie j'attendais, puis je l'entendais mettre la clé dans la serrure, chaque fois bénissant le Seigneur de toute mon âme. Nous avions alors des conversations sereines qui se faisaient joyeuses et espiègles, la main dans la main. Nous parlions un peu de tout. Ses remarques étaient toujours perspicaces. Il était toujours bienveillant. ».

Ils élevaient tous les deux leurs enfants dans la piété mais aussi la joie et la détente, discutant ensemble très souvent, partageant à la fois des moments de prière et de loisirs. Tous les soirs, tous récitaient le chapelet. Tous les mois, ils faisaient une retraite ensemble à la Basilique Saint-Paul-hors-les-murs en compagnie d'Alfredo Ildefonso Schuster, proclamé bienheureux en 1996.
Mais ils faisaient aussi de longues promenades, et ouvraient l'esprit de leurs enfants par de fréquentes conversations artistiques et culturelles.
Leur maison était ouverte à tous, ils étaient toujours prêts à aider et à accueillir quiconque ayant besoin de leur sourire et de leur foi.
Maria faisait le catéchisme et participait à de nombreux mouvements d'action catholique. Pendant la Guerre, elle s'était engagée volontairement comme infirmière de la Croix-Rouge pour porter secours aux blessés. Plus tard, elle servira pendant la Guerre d'Éthiopie, s'étant spécialisée dans les maladies tropicales.
Luigi, par son attitude, témoignait discrètement de sa foi dans son milieu professionnel. Il accompagnait sa femme dans son action au sein des mouvements catholiques et soutint le mouvement scout quand il se répandit en Italie.

Leur premier fils, Filippo, est né en 1906. Il deviendra prêtre à Rome sous le nom de Don Tarcisio.
Leur second enfant, Stefania, est née en 1908. Elle sera moniale bénédictine à Milan sous le nom de sœur Cécile, longtemps supérieure de son couvent, elle mourra en 1993.
Le troisième enfant, Cesare, est né en 1909, il deviendra moine, d'abord chez les Bénédictins, puis chez les Trappistes, sous le nom de Père Paolino.
La quatrième enfant du couple, Enrichetta, est née après une grossesse difficile. Luigi et Maria refusèrent l'avortement préconisé par le corps médical qui craignait pour la vie de la mère et de l'enfant. La petite fille naquit en bonne santé en avril 1914 et devint à son tour laïque consacrée.

Maria Corsini et Luigi Beltrame Quattrocchi ont été béatifies ensemble (une première dans l'histoire de l'Église) le 21 octobre 2001, à Rome, par Saint Jean-Paul II (Karol Józef  Wojtyła, 1978-2005).

La mémoire individuelle, selon le M.R., correspond au dies natalis de chacun : aujourd’hui pour Luigi Beltrame Quattrocchi et le 26 août pour Maria Corsini.
Fête commune : 25 novembre (Anniversaire de leur mariage). 

Bse Carmen de l'Enfant Jésus


(Carmen del Niño Jesús González Ramos García Prieto)
Fondatrice de la congrégation :

« Hermanas Franciscanas de los Sagrados Corazones»
(Sœurs Franciscaines des Sacrés-Cœurs)

 

Née le 30 juin 1834 à Antequera (Málaga, Espagne) dans une famille chrétienne, enfant généreuse et calme, Maria Carmela González Ramos García Prieto développe une grande dévotion envers la Vierge Marie et l'eucharistie. Elle est aussi appréciée pour son amour des pauvres auxquels elle rend service. Mariée en 1857, avec Joaquín Muñoz del Caño, elle montre sa générosité et sa patience envers son mari pendant 20 ans, jusqu'à ce qu'il lui demande pardon pour sa vie dissolue. Il mourut 4 ans plus tard, elle avait 47 ans.

 Veuve et sans enfant, avec l'aide de son conseiller spirituel, elle ouvre une école dans sa maison pour les enfants pauvres. Quelques personnes partageant son souci se joignent à elle. En 1884, elle fonde la Congrégation des « Sœurs des Sacrés cœurs de Jésus et de Marie ».

Elle affronte avec courage, humilité et charité, les soucis, les oppositions, les calomnies.
De son vivant 11 maisons ouvrirent comme centres d'éducation, jardins d'enfants, cours du soir, maisons de repos pour les malades...

Son but « apprendre à connaître et à aimer Dieu » s'accomplissait.

Elle meurt le 9 novembre 1899 à Antequera.

Proclamée vénérable le 7 avril 1984, elle a été béatifiée le 6 mai 2007, à Antequera, par le Card. José Saraiva Martins, préfet de la Congrégation pour la cause des saints, qui représentait le pape Benoît XVI.

SAINTS MARIE ET NÉON 

MARTYRS, AU CIMETIÈRE DE SAINT CALIXTE SUR LA VIA APPIA

En 257 l’empereur Valérien ordonne une nouvelle persécution de chrétiens. Dans cette spirale de sang finit une famille grecque: Hyppolyte, sa sœur Pauline avec son mari Adria et leurs jeunes enfants Marie et Néon. Au VIII siècle. leurs dépouilles sont transférées dans l’église romaine de S. Agathe.  

Fêtes des Saintes Âmes du Jour
Saint Agrippin de Naples
évêque de Naples (IIIe siècle)
Saint Alexandre
Martyr dans la région de Thessalonique (IVe siècle)
Saint Bénen
archevêque d'Armagh en Irlande (✝ v. 474)
Bienheureuse Carmen de l'Enfant Jésus
fondatrice de la congrégation des soeurs des sacrés coeurs (✝ 1899)
Saint Clément
Consul et martyr. (✝ 89)
Saintes Eustolia et Sopatra
moniales à Constantinople (✝ v. 600)
Saint Euthyme
moine fondateur (✝ 950)
Bienheureux Gabriel Feretti
prêtre franciscain (✝ 1456)
Saint Georges de Lodève
Evêque de Lodève (✝ v. 870)
Bienheureux Georges Napper
prêtre et martyr en Angleterre (✝ 1610)
Bienheureux Grâce de Catharo
religieux augustin (✝ 1508)
Bienheureuse Hélène de Hongrie
(✝ 1270)
Bienheureux Henri Hlebowicz
prêtre de Vilnius et martyr (✝ 1941)
Saint Jean Colobos
père du désert de Scété en Egypte (IVe siècle)
Bienheureuse Jeanne de Signa
solitaire en Toscane (✝ 1307)
Bienheureux Louis Morbioli
pénitent à Bologne (✝ 1485)
Bienheureux Luigi et Maria
père et mère de famille (XXe siècle)
Sainte Matrone
(Ve siècle)
Saint Montan
ermite dans les montagnes du Vivarais (IVe siècle)
Saint Nectaire d'Egine
Moine en Grèce (✝ 1920)
Saints Onésiphore et Porphyre
(✝ 290)
Saint Pabon
(✝ 510)
Saint Syméon le Métaphraste
Hagiographe byzantin (Xe siècle)
Sainte Thomaïs
(Xe siècle)
Saint Ursin
Premier évêque de Bourges (IIIe siècle)
Saint Vanne
évêque de Verdun (✝ v. 525
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