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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Informations N°1

Information du jour N°1

 

Les étranges similitudes du Covid avec la « grippe russe » de 1889

CHRONIQUE. À la fin du XIXe siècle, une épidémie a tué un million et demi de personnes dans le monde. Certains évoquent un coronavirus proche du Sars-CoV-2.

À la fin du XIXe siècle, une épidémie a tué un million et demi de personnes dans le monde. Certains évoquent un coronavirus proche du Sars-CoV-2.

L’étude des épidémies passées affine la grille de lecture de celle que nous subissons de plein fouet depuis presque dix-huit mois. Si l’épidémie de Sars-CoV-2 n’est en rien comparable à celle de la grippe espagnole survenue au début du XXe siècle, elle présente de troublantes similitudes avec celle de la grippe dite « russe », survenue en 1889 et qui s’est étirée par vagues successives jusqu’en 1895. Une publication de la Society for Applied Microbiology fait la synthèse de travaux réalisés et publiés sur cette grippe russe mal nommée. Une autre publication avait précédemment creusé ce sujet...

Affaire du "cannibale" de Tarascon : Romain, 13 ans, décapité par un schizophrène

Le dimanche 18 juillet 2021, les policiers de Tarascon découvrent dans une maison du centre-ville le corps d’un adolescent de 13 ans décapité. Arthur André, l’auteur présumé des faits, était schizophrène et a été abattu par la police. A-t-il pu faire d'autres victimes ?

Arthur André, 32 ans, est le voisin que vous ne voudriez pas avoir. Physiquement effrayant avec sa peau blanche presque translucide et son regard patibulaire. Sa grande maison de 350 m2, plantée au 41 rue Lubières, dans le centre de Tarascon, est sale. Un mélange de crasse et de boue recouvre le carrelage grisâtre. Schizophrène, il est livré à lui-même. Sa propre mère a tenté tant qu’elle a pu de contenir ses crises de folie. En vain. Elle a quitté cette maison il y a plusieurs années pour fuir la violence de son fils.

Arthur André ne travaille pas et passe l’essentiel de ses journées cloîtré chez lui. Lorsqu’il sort, les riverains évitent de le regarder dans les yeux, terrifiés à l’idée qu’il puisse s’en prendre à eux. Et ils ont de quoi avoir peur. Chaque nuit, ils sont réveillés par ses hurlements de bête et des bruits sourds. Comme s’il se cognait la tête contre les murs. La porte de la maison voisine porte encore les stigmates des coups de marteau qu’Arthur lui a portés.

« IL AVAIT FRANCHI UN STADE »

Les habitants de la rue Lubières ne comptent plus le nombre de fois où ils ont appelé la police. Ils se souviennent de ce jour où ils l’ont croisé avec une hache puis avec des couteaux de boucher, en train de marcher en plein centre-ville. Ils tremblent encore lorsqu’ils parlent de la petite chienne qui vivait avec lui. Un labrador qu’il battait à coups de bâton et qui a disparu du jour au lendemain.

Plusieurs fois, les habitants ont cru qu’ils avaient enfin réussi à s'en débarrasser. D’abord en 2016 puis en mars 2020, lorsque la justice l’a condamné pour violences. Mais à chaque libération, Arthur est revenu dans le quartier et son agressivité n’a cessé de croître.

Depuis sa dernière sortie de prison, en ce printemps 2021, Arthur André était soupçonné d’avoir incendié un immeuble désaffecté, mitoyen à sa maison, dans lequel il avait pris l'habitude de stocker ses déchets. Depuis peu, il s’était aussi mis à jeter des objets par sa fenêtre, des canettes vides et même sa propre télévision. « Il avait franchi un stade. La police municipale avait renforcé les patrouilles dans son quartier », précise le maire de Tarascon, Lucien Limousin.

« DANGEREUX ET PEU RÉADAPTABLE »

L’élu attendait un nouveau dérapage pour pouvoir prendre un arrêté d’hospitalisation sous contrainte. Et ce nouveau dérapage n’a pas tardé à survenir. Le 9 juillet dernier, la police est appelée une énième fois par les voisins d’Arthur. L’homme est en train de transformer des canettes en cocktails Molotov. Il est interpellé et placé en garde à vue. Un psychiatre le rencontre au commissariat. Ses conclusions sont sans appel : « Arthur André est dangereux et très peu réadaptable. » Le maire le fait interner.

La municipalité pense que l’homme ne reviendra pas de sitôt. Une planche de contre-plaqué est vissée sur sa porte pour éviter que la maison ne soit fouillée. Mais cinq jours plus tard, le jeudi 15 juillet, Arthur André est de retour. Il casse la planche installée par la mairie, pour entrer chez lui. Soixante-douze heures seulement après son internement, un autre psychiatre a estimé qu’il n’y avait pas lieu de prolonger son hospitalisation.

ROMAIN A DISPARU

Ce samedi 17 juillet 2021, dans la rue Lubières, les habitants n’ont pas vraiment la tête à critiquer la décision de ce psychiatre. Un évènement plus urgent vient de se produire. Romain, un adolescent de 13 ans, a disparu. Ses copains de quartier le cherchent partout. « Le dernier contact que j’ai eu avec lui remonte au vendredi 16. Il devait être 23 h. Il m’a demandé sur Snapchat si j’avais un morceau de cannabis à lui dépanner. Je lui ai dit non. Ensuite je n’ai plus eu de nouvelles », raconte un de ses amis.

Romain est un enfant difficile, suivi depuis l’enfance par services sociaux et scolarisé en Itep [Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique], une classe dédiée aux jeunes ayant des troubles psychologiques. Dans les foyers qu’il a fréquentés, Romain comptait toujours parmi les cas les plus compliqués. Il multipliait les fugues, les colères. Il finissait toujours par se faire renvoyer. Récemment, un juge pour enfant avait décidé de tenter une nouvelle fois de le domicilier chez sa mère, espérant qu’il cesse de fuguer et qu’il puisse évoluer positivement.

Ce samedi 17 juillet, sa mère se demande si son fils n’est pas parti retrouver des amis du côté de Redessan, dans le Gard, où il a grandi. Elle s’inquiète car il ne lui a pas dit où il allait. Mais au fond d’elle, elle pense qu’il finira bien par revenir. Romain revient toujours. D’autant qu’il a prévu de bientôt fêter ses 14 ans.

UNE BÂCHE NOIRE, DU SANG ET DES MOUCHES

Dimanche 18 juillet, une chaleur écrasante s’abat sur Tarascon. Axel, un jeune du quartier, a passé la matinée avec un copain à rechercher Romain. Il est bientôt 13 h lorsqu’il passe devant la maison d’Arthur André. Le schizophrène se tient devant sa porte : « Eh, les jeunes, ça vous dirait de gagner un peu de pognon ? hèle-t-il. Venez donc nettoyer ma maison. »

Axel connaît l’instabilité de son voisin, mais il ne travaille pas et gagner un petit billet ne serait pas de trop. Les deux amis entrent dans cette maison, lugubre. Arthur est toujours aussi étrange. D’abord il propose un morceau de gâteau, « fait maison » dit-il. Tout le monde refuse. Puis il s’installe sur la table de sa cuisine et se met à manipuler une tronçonneuse, neuve, qu’il tente de monter, sans y parvenir.

Rapidement, la serpillière qu’utilise Axel est trop sale pour être utilisée. Il monte à l’étage pour la frotter dans la baignoire. Le jeune ouvre la porte de la salle de bains. Devant lui une bâche noire, recouvre une forme ressemblant à un corps humain. Il y a du sang partout et des mouches. Axel comprend. Il vient de découvrir la victime d’un homicide.

Le jeune homme inspire un grand coup. Il ne doit pas paniquer. Si Arthur se rendait compte du moindre changement dans son comportement, nul ne sait comment il pourrait réagir. Axel frotte sa serpillière aussi vite que possible, redescend et reprend son ménage, comme si de rien n’était. Arthur André a bien vu le jeune monter dans la salle d’eau. Il s’approche alors de lui : « Tu gardes ça pour toi, sinon toi ou ton pote vous y passez ! » menace-t-il avec son regard froid. « Ne t’inquiète pas, ce ne sont pas mes affaires », bredouille Axel.

Il est maintenant 21 h. Axel réussit à quitter cette maison de l’horreur, vivant. Il compose le 17. Il évoque un « homicide », « un corps », « un mort ». La police semble ne pas le croire. La première patrouille ne viendra sur place qu’à 23 heures.

UNE CROIX GRAVÉE SUR UN CORPS DÉCAPITÉ

La nuit est tombée sur Tarascon lorsque les gyrophares bleus se reflètent sur les murs du 41 rue Lubières. Les policiers qui descendent de voiture sont saisis d’emblée par une musique violente, type hard rock, qui provient de la maison d’Arthur André. Un policier lève la tête. Arthur prend la fuite par les toits. Une équipe se lance à sa poursuite. Une autre pénètre dans la maison plongée dans l’obscurité.

À la lueur de leurs torches, les enquêteurs découvrent la tronçonneuse qui trône sur la table de la cuisine. À côté, dans un mixeur, flotte un morceau de viande encore sanguinolent. De la viande humaine, diront les analyses. Un policier débranche la chaîne hi-fi. Les enquêteurs poursuivent cette visite dans un silence tout aussi pesant. Dans les escaliers, ils remarquent la présence de sang. Ils en trouvent aussi dans le bureau à l’étage, où un mur entier en paraît recouvert. La pièce voisine, quant à elle, est recouverte de suie. Arthur André a dessiné dessus des poupées à la bouche cousue avec inscrit en dessous le mot « Kill ».

Au premier étage, sous une porte, un policier devine une lumière chancelante. Il l’ouvre et se retrouve dans la salle de bains. La bâche est toujours là, éclairée par une bougie. Sous cette bâche se trouve le corps sans tête de Romain. Sur son torse nu, une croix chrétienne a été gravée au couteau. Un de ses bras et certaines parties de ses jambes ont été découpés à la scie à métaux. À quelques mètres de ce tronc abîmé se trouve un sceau. À l’intérieur : la tête de l’adolescent disparu trois jours plus tôt. Elle a été séparée de son corps d’un coup de hache. L’autopsie conclura à des mutilations post-mortem. Romain a été tué de plusieurs coups violents portés à l’arrière de son crâne et sur son thorax.

D'AUTRES VICTIMES ?

Le quartier est bouclé, la police judiciaire de Marseille appelée en renfort. Les techniciens d’investigations criminelles commencent leurs relevés. Dans le même temps, d’autres policiers tournent dans les rues de Tarascon à la recherche du suspect.

Il est 3 h du matin ce lundi 19 juillet quand Arthur André est repéré par un habitant. Il se trouve dans une impasse à quelques centaines de mètres de chez lui. Un policier d’une vingtaine d’années le met en joue avec son arme de service. Il lui demande de ne pas bouger, mais l’homme n’écoute pas et avance d’un pas déterminé dans sa direction. Le jeune policier ouvre le feu. Arthur André, touché au flanc, s’effondre au sol. L’agent qui a ouvert le feu est aujourd’hui mis en examen pour « violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Il a été laissé libre sous contrôle judiciaire.

Après la découverte du corps de Romain, le procureur de la république de Tarascon a ouvert une information judiciaire pour homicide. L’enquête visera notamment à s’assurer que l’adolescent de 13 ans est bien la seule victime de cet individu. À Tarascon, les habitants se demandent si le schizophrène n’a pas également fait disparaître Lila Belamri, une femme de 50 ans qui faisait le ménage chez lui. Elle s’est évaporée le 26 mars dernier.

Saint-Mathieu-de-Tréviers : le riverain qui ne supportait plus les miaulements tirait sur les chats

A Saint-Mathieu-de-Tréviers, dans l'Hérault, plusieurs chats ont perdu la vie. Le "tireur" a été identifié par les gendarmes.

Plusieurs chats avaient été pris pour cible dans un quartier de Saint-Mathieu-de-Tréviers, entre le 22 et le 29 juillet dernier.

Deux chats retrouvés morts par balle

Deux avaient été retrouvés morts par balle dans la nuit du 28 au 29 juillet et une chatte a été euthanasiée après une blessure paralysante à la colonne vertébrale. Les radios effectuées ont révélé la présence d’un ou plusieurs impacts de balle. Des plombs d’environ 5 mm de longueur et de 3-4 mm de diamètre.

Le tireur identifié

Un autre animal a survécu à ces actes de cruauté. L’enquête a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Mathieu-de-Tréviers. Après quelques jours, le tireur a été identifié. Il a été entendu à la gendarmerie, il s’agit d’un riverain qui ne supportait plus les miaulements et les bagarres entre chats du quartier. Équipé d’une carabine à plombs avec laquelle il tirait les pigeons, il s’en est pris aux félins.

L'arme détruite

L’arme a été détruite par les gendarmes et il revient au parquet de décider des suites judiciaires à donner à cette affaire.

 

Les lieux où le pass sanitaire devient obligatoire ce lundi

MODE D’EMPLOI. Restaurants, trains, hôpitaux, centres commerciaux… L’usage du précieux sésame anti-Covid s’étend largement ce 9 août.

Déjà obligatoire pour accéder aux lieux de culture et de loisirs, le pass sanitaire est désormais requis, dès ce lundi 9 août, dans les restaurants – même en terrasse –, les trains et les avions pour les trajets de longue distance, les établissements de santé et certains centres commerciaux. La loi étendant son usage a été promulguée au journal officiel vendredi 6 août, après avoir été approuvée par le Conseil constitutionnelqui en a toutefois censuré certaines dispositions.

Pour accéder à ces lieux, il faut donc pouvoir présenter l’un des trois justificatifs admis pour le pass sanitaire en France : la preuve d’un schéma vaccinal complet (sept jours après la dernière injection), un résultat négatif de moins de 72 heures d’un test PCR, d’un test antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de santé, ou une preuve d’infection passée au Covid-19 datant de moins de six mois. L’usage du pass sanitaire est possible jusqu’au 15 novembre inclus, précise la loi. Au-delà, il faudra un nouveau vote du Parlement.

Pass sanitaire pour enfants le 30 septembre

Pour les restaurants, la vente à emporter, la restauration collective et les restaurants de routiers ne sont pas concernés. Dans les établissements de santé, le pass sanitaire ne sera pas requis en cas d’urgence : il ne doit pas bloquer l’accès aux soins. Son usage se fera essentiellement dans le cas de consultations programmées à l’hôpital, ou pour les visites. Quant aux centres commerciaux, c’est aux préfets que reviendra la décision de définir lesquels devront exiger un pass sanitaire.

Le gouvernement a promis « une semaine de rodage » et de « tolérance » pour que les professionnels se fassent au contrôle du pass sanitaire. À partir du 30 août, les salariés travaillant dans ces lieux devront aussi avoir le leur, sous peine d’une suspension de contrat (le Conseil constitutionnel ayant censuré la possibilité d’une rupture anticipée de contrat). Pour les soignants, c’est la vaccination qui sera obligatoire dès le 15 septembre. Quant aux enfants de 12 à 17 ans, le pass sanitaire ne s’appliquera pour eux qu’à partir du 30 septembre. L’échéance, initialement fixée au 30 août, a été repoussée d’un mois.

Covid-19: des cas positifs détectés sur le Costa Smeralda à Marseille

Six cas positifs appartenant à deux familles ont été détectés sur le bateau de croisière de la compagnie Costa croisières.

COVID-19 - Plusieurs cas positifs au Covid-19 et des cas contacts ont été détectés sur un bateau de croisière qui a accosté ce dimanche 8 août à Marseille et les personnes concernées placées à l’isolement, ont indiqué à l’AFP des sources concordantes confirmant une information de France 3.

“Nous avons six cas positifs appartenant à deux familles et un même nombre de cas contacts”, a indiqué à l’AFP le service communication de la compagnie Costa croisières, précisant que ces personnes faisaient partie d’un groupe de 180 touristes qui effectuait une croisière d’une semaine en Méditerranée avec des escales en Espagne et en Italie.

Ces personnes avaient toutes été dépistées négatives par des tests antigéniques dimanche dernier, lors de leur embarquement à Marseille à bord du Costa Smeralda, un navire d’une capacité d’environ 6000 personnes réduite de 70% au maximum par mesure de précaution contre le virus.

Selon le protocole sanitaire, un second test des passagers avait été réalisé à mi-parcours mais c’est une personne fiévreuse qui a finalement donné l’alerte et son entourage a immédiatement été testé, a indiqué Costa croisières.

Les cas positifs n’ont pas souhaité descendre en Italie

Les cas positifs et cas contacts identifiés n’ont pas souhaité descendre en Italie et ont alors été placés à l’isolement dans une partie du bateau prévue à cet effet jusqu’au retour à Marseille, où ils ont été pris en charge par des ambulances jusqu’à leur domicile, selon la compagnie.

“La compagnie a pris attache avec l’ARS dès vendredi pour nous informer de la situation”, a indiqué l’Agence régionale de santé (ARS) dans un communiqué, précisant avoir rappelé au croisiériste “les préconisations” à respecter “pour la gestion de cette situation”.

“La compagnie a confirmé l’isolement des personnes concernées et de leurs contacts à risque dès la découverte de leur positivité et avoir mis en oeuvre le débarquement sécurisé de ces personnes à leur arrivée à Marseille”, a-t-elle précisé.

L’ARS appelle chacun à “la vigilance et à la responsabilité” en “cette période de forte circulation virale” où, souligne-t-elle, “la vaccination reste la solution la plus efficace”.

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