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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Adelphe et aux autres Saintes Âmes du 11 septembre

Saint Adelphe
troisième abbé de Remiremont (✝ 670)


Il avait reçu toute sa formation au monastère de Luxeuil, puis il entra à l'abbaye d'Habendum (Remiremont) qu'avait fondée son oncle, saint Romaric. Il se retira à l'abbaye de Luxeuil après avoir gouverné l'abbaye de Remiremont dans les Vosges.

 

"Amé ou Aimé naît à Grenoble vers 570. Adolescent, il entre à l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune (Suisse). Il y vit pendant trente ans en moine exemplaire, puis se retire comme ermite dans une grotte. Saint Eustase le décide à l'accompagner à Luxeuil.
D'une mission prêchée à Metz, il ramène Romaric. Vers 620, Amé et Romaric gagnent le Mont Habend (futur Saint Mont). Sous la règle de Saint Colomban, ils y fondent deux monastères de moines et de moniales. 'La louange perpétuelle' est assurée par sept chœurs de religieuses. Amé en est le premier abbé.
Il meurt le 13 septembre 629. Romaric, devenu prêtre, lui succède. Il s'éteint à son tour le dimanche 8 décembre 653.

Adelphe devient le 3e abbé. C'est le début de l'évangélisation du pays de Remiremont. Le 13 novembre 1049, le pape lorrain Saint Léon IX canonise les 'Corps Saints' par la translation de leurs reliques."
Au monastère de Luxeuil en Bourgogne, vers 670, le trépas de saint Adelphe, abbé de Remiremont, qui racheta par une profusion de larmes un bref moment de discorde.

Martyrologe romain

Dieu ami des humbles
tu as appelé les saints Amé, Romaric et Adelphe
à mener une vie fraternelle
dans la prière et le partage ;
Fais-nous la grâce de vivre comme eux
attentifs les uns aux autres,
à l'écoute de l'Esprit que tu nous a donné.

Saint Jean-Gabriel Perboyre

Prêtre de la Congrégation de la Mission
Martyr en Chine
(1802-1840) 

Jean-Gabriel Perboyre naît à Mongesty, près de Cahors, dans la France méridionale, le 6 janvier 1802. Il est l'aîné d'une famille de paysans assez aisés dont six des huit enfants entreront en religion.
On le destinait à reprendre la ferme, mais il accompagne son frère Louis, âgé de neuf ans, qui doit continuer ses études à Montauban, afin de l'aider à s'acclimater à la vie du pensionnat. L'école avait été fondée et est dirigée par son oncle Jacques, lazariste, qui avait traversé la tourmente révolutionnaire comme prêtre réfractaire. Devant ses aptitudes, on lui demande de rester aussi au pensionnat.

À la fin de ses études, il suit une mission prêchée par un lazariste et il entre dans la Compagnie de la Mission en 1818. Justement son oncle vient de créer un séminaire, car il n'y en avait plus depuis la Révolution ; Jean-Gabriel est son premier élève.
Il prononce ses vœux en 1820 et en 1823, avant même d'être ordonné, il est nommé professeur à Montdidier, près d'Amiens, où il réussit très bien auprès des jeunes, créant un comité de classe, organisant la visite des pauvres.

Il est ordonné prêtre en 1826 à la Rue du Bac. On l'envoie alors à Saint-Flour dans le Cantal comme professeur de théologie, où il réussit si bien que son évêque le demande comme directeur du Séminaire. Notons qu'il avait suivi les idées de La Mennais sur l'éducation, mais quand celui-ci est condamné (1832), il s'incline. Il est nommé en 1832 assistant du Directeur du Séminaire interne de Paris, c'est le noviciat des Lazaristes. C'est l'époque où l'on ramène les reliques du bienheureux François-Régis, martyrisé en Chine. Cela fait naître en lui le désir de le suivre sur cette voie, d'autant plus que son frère Louis est mort avant d'arriver en Chine.

En 1835, on accepte enfin de le laisser partir pour la Chine. (Le médecin qui s'y était opposé revient sur son verdict…après une nuit blanche!). Son long et pénible voyage dure de mars 1835 à la mi-août 1836, où il arrive à son Poste dans la Province du Ho Nan. Il accomplit plusieurs missions sur ce territoire très vaste. L'année suivante il est Curé dans la Province du Hou Péi.

En 1839, il est livré par un catéchumène. Il subit plusieurs séances de torture qui font de lui un être pantelant, mais il refuse de piétiner la croix. Ses bourreaux sont impressionnés par sa politesse et son calme. Condamné, il doit attendre encore longtemps la confirmation du verdict par l'Empereur. Il meurt par strangulation sur un gibet en forme de croix, le vendredi après-midi 11 septembre 1840. Les chrétiens réussissent par un subterfuge à prendre son corps et l'enterrent à côté du bienheureux François-Régis qui avait été martyrisé 20 ans auparavant.

Jean-Gabriel Perboyre a été béatifie le 10 novembre 1889 par le pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903) et canonisé, à Rome, par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), le 2 juin 1996.

Bse Maria Pierina De Micheli
 

Fille de l’Immaculée Conception
de Buenos Aires

L’Église a décidé de rappeler la bienheureuse plus que dans le jour de sa mort, ou « dies natalis » selon la formule canonique, dans le jour de sa naissance (et de son baptême) : le 11 septembre.

Maria Pierina naît le 11 Septembre 1890, à Milan, de Cesare De Micheli et Luigia Radice ; est baptisée, le même jour, avec les noms de Giuseppina, Franceschina, Giovanna et Maria.
Dés l’âge de douze ans, celle qui devait devenir Mère Maria Pierina De Micheli, pressentit la  relation particulière qu’elle aurait avec le Visage du Christ, qu’elle embrassa alors sur un crucifix.
Dès son jeune âge Giuseppina (Maria Pierina) s'est sentie appelée à être une sœur, une religieuse épouse du Christ. En 1912, les « Filles de l'Immaculée Conception » sont venues de Buenos Aires (Argentine) et s'installent à Milan, non loin de la maison de la famille De Micheli. 

Le 15 Octobre 1913, à l'âge de 23 ans, Giuseppina est acceptée chez les « Filles de l'Immaculée Conception »  comme novice. Le 16 mai 1916, elle fait sa profession et prend le nom de sœur Maria Pierina.
 Depuis son noviciat elle « sentit le vrai contact du Visage du Christ », un vendredi saint. Elle devint plus tard la Mère provinciale de son Ordre, pour l’Italie, en restant apôtre de la Sainte Face, aussi discrète qu’infatigable.

Le Christ, lui aurait dit un jour :
« Je voudrais que ma Face, qui reflète les souffrances et l’amour de mon Cœur, soit plus honorée ; qui me contemple me console ». Et une autre fois : « Toutes les fois que l’on contemplera ma Face, je répandrai l’amour dans les cœurs, et, par cette contemplation, on obtiendra le salut de beaucoup d’âmes… En contemplant mon Visage, les âmes participeront à mes souffrances et sentiront le besoin d’aimer et de réparer ».

Lors d’une apparition, la Vierge tenait un scapulaire représentant la Sainte Face, qu’elle désigna comme « gage de miséricorde et remède divin » aux maux de l’humanité ; elle lui demanda avec insistance de diffuser cette Sainte Face et de l’honorer particulièrement le dernier mardi avant le carême. Deux ans plus tard, Mère Maria Pierina put ainsi faire frapper et répandre une médaille, réalisée à partir du Visage du Saint Suaire de Turin.
Mère Maria Pierina quitta sa demeure terrestre, pour la rencontre avec Dieu, à Centonara di Artò (Italie), le 26 juillet 1945.

Maria Pierina De Micheli a été béatifiée le dimanche 29 mai 2010, en la basilique Sainte-Marie-Majeure, à Rome, par le card. Angelo Amato s.d.b., préfet de la Congrégation pour les causes des saints, qui représentait le pape Benoît XVI.

Autres Fêtes du Jour


Saint Almire  ermite manceau (✝ v. 560)
Saint Bodon  évêque de Toul (✝ v. 660)
Bienheureux Bonaventure de Barcelone  Franciscain (✝ 1684)
Saint Daniel  évêque (✝ 554)
Saint Élie  ermite en Calabre (✝ 960)
Saint Emilien  évêque de Verceil en Italie (VIe siècle)
Saint Euphrosynos le cuisinier  ermite orthodoxe (IXe siècle)
Saints Felix et Regula  Martyrs à Zurich (IIIe siècle)
Bienheureux Francesco Giovanni Bonifacio  prêtre italien martyr (✝ 1946)
Bienheureux François Mayaudon  prêtre et martyr sur l'île Madame (✝ 1794)
Bienheureux Gaspard, François et Pierre  martyrs de Nagasaki (✝ 1622)
Saint Glen  saint breton (VIe siècle)
Saint Jean-Gabriel Perboyre  Lazariste, martyr en Chine (✝ 1840)
Vble Jeanne Chézard de Matelmystique - fondatrice de l'Ordre du Verbe Incarné (✝ 1670)
Bienheureux Joan Roig i Diggle  martyr en Espagne (✝ 1936)
Bienheureux Louis de Thuringe  (✝ 1227)
Saint Marcel  premier apôtre connu du Velay (VIe siècle)
Bienheureuse Marie Céleste Crostarosa  fondatrice des Soeurs du Rédempteur (✝ 1755)
Saint Paphnuce  évêque en Egypte (✝ 360)
Saint Patient  Evêque de Lyon (✝ v. 480)
Vénérable Paul Smolikowski  prêtre polonais (✝ 1926)
Bx Pierre d'Alcantara et Joseph-Marie Segura Penadès  martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Pierre de Nicée  (✝ 826)
Saints Prote et Hyacinthe  Martyrs à Rome (✝ 257)
Saint Sacerdos  Evêque de Lyon. (✝ 552)
Sainte Spérandie  abbesse bénédictine à Cingoli (✝ 1276)
Sainte Vinciane  vénérée en Belgique (VIIe siècle)

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