Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Clair et autres Saintes âmes du 10 octobre

Saint Clair
1er évêque de Nantes (IVe siècle)


évêque de Nantes, selon le martyrologe romain, au IVe siècle... ou disciple de saint Pierre et premier apôtre de Bretagne, selon certains...
Saint Clair, 1er évêque de Nantes"Le diocèse de Nantes fut fondé par Saint Clair, premier évêque de Nantes au IIIe siècle arrivé par la Loire, qui joua un rôle important dans l'évangélisation de la Haute-Bretagne." (Une histoire riche - Eglise catholique en Loire Atlantique)
La tradition est unanime pour faire de saint Clair le premier évêque de Nantes. Bien que son culte ne soit attesté qu'au XIe siècle, et que Grégoire de Tours n'en fasse pas mention parmi les saints du pays nantais, c'est au IVe siècle qu'il faut vraisemblablement situer son action pastorale. Aux IXe-Xe siècles, lors des incursions normandes, le corps de saint Clair fut transporté à Angers, comme celui de saint Gohard.
Il y était vénéré dans l'église abbatiale Saint-Aubin.
(Notices des Offices propres de l'Église de Nantes où Saint Clair, premier évêque de Nantes, est fêté le 10 octobre)
A Nantes, au IVe siècle, saint Clair, vénéré comme le premier évêque de la cité.

Martyrologe romain

Saint Daniel Comboni
Évêque missionnaire et fondateur des :

 

 

Daniele Comboni naît à Limone sul Garda (Brescia - Italie) le 15 mars 1831, dans une famille de paysans au service d'un riche seigneur de la région. Son père Louis et sa mère Dominique sont très attachés à Daniel, le quatrième de huit enfants, morts presque tous en bas âge. Ils forment une famille unie, riche de leur foi et de valeurs humaines, mais pauvre en moyens économiques. C'est justement la pauvreté de la famille Comboni qui pousse Daniel à quitter son village pour aller fréquenter l'école à Vérone, auprès de l'Institut de l'Abbé Nicola Mazza.
Ordonné prêtre en 1854, il part trois ans plus tard pour le Soudan. Le choc initial est rude : climat, pauvreté. En assistant à la mort en Afrique d'un jeune compagnon missionnaire, Comboni, au lieu de se décourager, se sent encore plus intérieurement confirmé dans sa décision de continuer sa mission : « Ou l'Afrique ou la mort » dit-il. Pour cette grande entreprise du « salut des âmes les plus abandonnées du monde », il est prêt à tout, même s’il doit revenir en Italie momentanément pour raison de santé.

En 1864, alors qu'il était en prière sur la tombe de S. Pierre à Rome, Daniel est frappé par une illumination fulgurante qui le pousse à élaborer son fameux « Plan pour la régénération de l'Afrique », un projet missionnaire qui peut être synthétisé en une phrase: « Sauver l'Afrique par l'Afrique », fruit de sa confiance sans limites dans les capacités humaines et religieuses des peuples africains.

Plusieurs fois, le Père Comboni revient d’Afrique en Europe et, aidé par sa connaissance des langues, il visite plusieurs pays européens pour faire connaître la mission de l’Afrique Centrale.

Sa foi inébranlable dans le Seigneur et dans l'Afrique le conduit à fonder, respectivement en 1867 et en 1872, les Instituts masculin et féminin de ses missionnaires, connus plus tard sous le nom de « Missionnaires Comboniens » et de sœurs « Missionnaires Comboniennes ».

Entre temps, il assiste au Concile Vatican I comme théologien et fait signer par 70 Pères conciliaires une pétition en faveur de l’évangélisation de l’Afrique Centrale. Les souffrances ne lui sont pas épargnées, ni les calomnies, mais il reçoit la croix avec un esprit de foi.

Évêque de Khartoum en 1877, il affronte, avec ses missionnaires hommes et femmes, la sécheresse et la famine des années 1877-78 qui réduisent de moitié la population locale et épuisent le personnel et l'activité missionnaire.

En 1880, avec toujours le même courage, Mgr Comboni revient en Afrique, pour la huitième et dernière fois, à côté de ses missionnaires, décidé à continuer la lutte contre la plaie de l'esclavage et à consolider l'activité missionnaire avec les africains eux-mêmes. L'année suivante, éprouvé par la fatigue, les morts fréquentes et récentes de ses collaborateurs, l'amertume des accusations et des calomnies, le grand missionnaire tombe malade.

Le 10 octobre 1881, à l'âge de cinquante ans, marqué par la croix qui jamais ne l'a abandonné comme une épouse fidèle et aimée, il meurt à Khartoum, parmi ses gens, conscient que son œuvre missionnaire ne mourra pas. « Je meurs, dit-il, mais mon œuvre, qui est oeuvre de Dieu, ne mourra pas ».

Daniel Comboni a été beatifié le 17 mars 1996 et canonisé le 20 décembre 2002, sur la Place Saint-Pierre de Rome (dans les deux cas), par le même pape, saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).

10 Octobre  
Saint François de Borgia
Jésuite

(1510-1572)

 

Saint François de Borgia était Espagnol et fils de prince. À peine put-il articuler quelques mots, que sa pieuse mère lui apprit à prononcer les noms sacrés de Jésus et de Marie. Âgé de cinq ans, il retenait avec une merveilleuse mémoire les sermons, le ton, les gestes des prédicateurs, et les répétait dans sa famille avec une onction touchante. Bien que sa jeunesse se passât dans le monde, à la cour de Charles-Quint, et dans le métier des armes, sa vie fut très pure et toute chrétienne; il tenait même peu aux honneurs auxquels l'avaient appelé son grand nom et ses mérites.

A vingt-huit ans, la vue du cadavre défiguré de l'impératrice Isabelle le frappa tellement, qu'il se dit à lui-même: "François, voilà ce que tu seras bientôt... A quoi te serviront les grandeurs de la terre?..." Toutefois, cédant aux instances de l'empereur, qui le fit son premier conseiller, il ne quitta le monde qu'à la mort de son épouse, Éléonore de Castro. Il avait trente-six ans; encore dut-il passer quatre ans dans le siècle, afin de pourvoir aux besoins de ses huit enfants.

François de Borgia fut digne de son maître saint Ignace; tout son éloge est dans ce mot. L'humilité fut la vertu dominante de ce prince revêtu de la livrée des pauvres du Christ. A plusieurs reprises, le Pape voulut le nommer cardinal; une première fois il se déroba par la fuite; une autre fois, saint Ignace conjura le danger.

Étant un jour en voyage avec un vieux religieux, il dut coucher sur la paille avec son compagnon, dans une misérable hôtellerie. Toute la nuit, le vieillard ne fit que tousser et cracher; ce ne fut que le lendemain matin qu'il s'aperçut de ce qui lui était arrivé; il avait couvert de ses crachats le visage et les habits du Saint. Comme il en témoignait un grand chagrin: "Que cela ne vous fasse point de peine, lui dit François, car il n'y avait pas un endroit dans la chambre où il fallût cracher plutôt que sur moi." Ce trait peint assez un homme aux vertus héroïques.

Plus l'humble religieux s'abaissait, plus les honneurs le cherchaient. Celui qui signait toutes ses lettres de ces mots: François, pécheur; celui qui ne lisait qu'à genoux les lettres de ses supérieurs, devint le troisième général de la Compagnie de Jésus.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Loth
Ancient Testament : Fils de Harân et neveu d'Abraham

Loth ou Lot (en hébreu : לוט [lō], en grec ancien : Λώτ [Lṓt], en arabe : لوط [Loūṭ]) est un personnage de la Genèse, fils d'Haran et le neveu d'Abraham. Les évènements marquants du récit biblique le concernant incluent son départ de la ville d'Ur avec son oncle Abraham, la destruction de Sodome et Gomorrhe, la transformation de son épouse en statue de sel.

La tradition judéo-chrétienne le classe parmi les patriarches 

 

 

Après avoir quitté Ur en compagnie d'Abraham, Loth arrive sur les bords du Jourdain. Riches en troupeaux, ils se séparent à la suite d'une querelle entre leurs bergers : Abraham reste dans le pays de Canaan et Loth descend vers Sodome1.

Au cours d'un sac de Sodome, Loth est fait prisonnier par Kedorlaomer, roi d'Élam, et ses alliés. Abraham les bat et ramène Loth à Sodome.

 

Loth et ses filles, anonyme, vers 1520-1530, musée du Louvre

.
Un soir, deux anges sont accueillis par Loth dans sa maison à Sodome. Les hommes de Sodome « du garçon au vieillard » entourent la maison en lui demandant qu'il leur livre les deux étrangers pour qu'ils les « connaissent » (Genèse 19:5). Dans ce passage, les habitants de Sodome disent à Loth : « Où sont les hommes qui sont venus chez toi cette nuit ? Amène-les nous pour que nous les connaissions. » (yada’ en hébreu). Sur le seuil, Loth les supplie de ne pas manquer à l'hospitalité et leur propose ses deux filles vierges en échange mais les habitants refusent. Le peuple s'emporte plus encore contre cet émigré qui fait le redresseur de torts. Les deux anges font alors rentrer Loth, ferment la porte et frappent le peuple de cécité. Puis ils déclarent que Dieu va détruire la cité, et disent à Loth de fuir avec sa famille. Il réveille alors ses futurs gendres, mais ils ne le croient pas.

À l'aurore, les deux anges le pressent de partir pour la montagne avec ses filles. Ils leur recommandent de fuir sans se retourner. Loth pense n'atteindre que la ville de Tsoar, que Dieu se résout à épargner. Dès qu'il entre à Tsoar, Dieu fait pleuvoir du soufre et du feu sur Sodome, Gomorrhe, Adama et Seboïm qui sont détruites. Sodome, Gomorrhe, Adama et Seboïm se trouvent près de Lésa à la frontière du territoire des Cananéens, sur les berges méridionales de la mer Morte dans la plaine de Siddim (c'est-à-dire la mer Salée) remplie de puits de bitume. Dans le récit biblique, la femme de Loth se retourne et devient une colonne de sel. Le fait de se retourner est frappé d'interdit dans de nombreuses cultures comme dans le mythe d'Orphée et d'Eurydice rapporté par Platon où Orphée se retournant perd pour toujours son épouse Eurydice. Dans le récit biblique, Jésus demande à ses disciples de ne pas se retourner pour regretter des biens inutiles au salut et de se souvenir de la femme de Loth.

Loth et ses filles se réfugient dans une grotte de la montagne11. Loth et ses deux filles partent de Sodome sans emporter de vin et vont habiter dans une grotte que Dieu a pourvue de vin en abondance. L'aînée, s'inquiétant de ne pas trouver d'hommes dans le pays, enivre son père pour s'accoupler avec lui sans qu'il le sache, et incite sa cadette à faire de même. Les deux filles tombent enceintes : l'aînée donne naissance à Moab, et la cadette à Ben-Ammi.

Exégèse
Les Moabites sont les descendants de Moab, le fils incestueux de la fille aînée de Lot et les Ammonites sont les descendants de Ben Ammi, le fils incestueux de la fille cadette de Loth. Moab eut quatre fils :
Ar, Mayoun, Tarsion et Qanvil ; et Ben-Ammi eut six fils : Gerim, Ishon, Rabbot, Sillon, Aynon et Mayoun. L'auteur biblique du chapitre 19:30-38 du livre de la Genèse élabore le cycle de Loth, qui est adventice dans la tradition patriarcale et qui constitue un récit étiologique pour expliquer l'origine des peuples voisins d'Israël, Moabites et Ammonites, par des actes légendaires des ancêtres respectifs.


Loth dans la tradition chrétienne
Dans l'Évangile selon Luc, les pharisiens demandent à Jésus quand arrivera le royaume de Dieu. Ce dernier donne une réponse vague, parle du retour du Fils de l'Homme qui sera comme le feu et le soufre qui ont anéanti Sodome. Jésus demande qu'on se rappelle la femme de Loth transformée en statue de sel, métaphore pour dire de ne pas retourner à son ancien mode de vie sous risque d'être changé spirituellement en statue de sel.

La deuxième épître de Pierre donne l'exemple antithétique de Loth qui joue face à Sodome et Gomorrhe le même rôle que Noé face au Déluge

Autres Fêtes du Jour

Saint Aldric  Archevêque de Sens (✝ 840)
Saint Amphiloque  (✝ 1122)
Saint André de Totma  fol en Christ (✝ 1673)
Bienheureuse Angèle-Marie Truszkowska  fondatrice des franciscaines de Saint-Félix de Cantalice (✝ 1899)
Saints Cassius et Florent  martyrs en Allemagne (IIIe siècle)
Saint Cerbonius  évêque (✝ v. 575)
Bienheureux Édouard Detkens  prêtre de Varsovie et martyr en Autriche (✝ 1942)
Saints Eulampe et Eulampie  martyrs à Nicomédie (✝ 303)
Saint Foulques  abbé de Fontenelle (✝ v. 845)
Saints Géréon et ses compagnons  martyrs à Cologne (✝ 287)
Saint Hugolin  Moine franciscain martyrisé près de Ceuta, au Maroc (✝ 1227)
Bienheureux Hugues de Macon  (✝ 1151)
Saint Jean de Bridlington  Moine augustin (✝ 1379)
Saint Léon  martyr à Ceuta (✝ 1227)
Bienheureux Léon Wetmanski  évêque et martyr (✝ 1941)
Saint Malo  martyr (IIIe siècle)
Bienheureuse María Catalina Irigoyen Echegaray  religieuse basque espagnole (✝ 1918)
Saint Paulin d'York  Evêque d'York (✝ 644)
Saint Pinyte  Evêque de Cnossos dans l'île de Crète (✝ v. 190)
Sainte Salsa  Martyre en Maurétanie (IVe siècle)
Sainte Tanche  Vierge et martyre au diocèse de Troyes (✝ 637)
Sainte Telchide de Jouarre  Abbesse (✝ v. 667)
Saints Victor et Mallosus  martyrs (IIIe siècle)

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article