Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
22 Octobre 2021
Un mot de la Rédaction
Vayéra
Savoir saisir l’occasion !
Mardi prochain (26 novembre 2021), sera le 20 ‘Hechvane, l’anniversaire de la naissance en 1860 de Rabbi Chalom Dovber, le cinquième Rabbi de ‘Habad-Loubavitch, connu sous l’acronyme « Rabbi Rachab ».
Au cours de l’été 1960, le Rabbi de Loubavitch se rendit à la colonie de vacances Camp Gan Israël, dans le nord de l’État de New York, où il raconta une histoire peu connue sur le Rabbi Rachab :
Il arriva qu’une fois, le Rabbi Rachab quitta Loubavitch en Russie et partit pour Vienne pour y être traité par des médecins. Pendant son séjour à Vienne, le Rabbi annonça soudainement qu’il souhaitait se rendre dans un certain village situé à 100 kilomètres de là. Avant de partir, il s’en fut dans un magasin où il acheta plusieurs vêtements féminins et d’autres articles.
Lorsque le Rabbi Rachab arriva dans la petite ville, il se présenta au domicile d’une veuve qui vivait avec ses deux filles. Il lui donna les objets qu’il avait achetés et un peu d’argent, en lui disant que c’était pour l’aider à marier ses filles. En effet, la veuve était trop pauvre pour le faire.
Au terme de son récit, le Rabbi dit : « Pensez-y : dans une ville éloignée, à 100 kilomètres de Vienne, le Rabbi Rachab trouva une occasion de faire plaisir à D.ieu. En fait, il avait fait ce long voyage uniquement dans ce but. Et il s’était rendu lui-même au magasin pour faire les achats, juste pour qu’une jeune femme pauvre puisse se marier.
« Voici donc la leçon à retenir : quel que soit l’endroit où nous nous trouvons, nous devons toujours chercher une bonne action à accomplir. Car nous en trouverons certainement une, et nous ferons ainsi plaisir à D.ieu. »
À méditer, et à mettre en œuvre !
Chabbat Chalom !
La Rédaction
fr.chabad.org
Une fois toute sa famille réunie en Egypte, Yossef présente ses deux fils à son père, Yaacov, afin que le patriarche les bénisse. Or, il les place de telle façon que Yaacov pose sa main droite sur la tête de l’aîné et la gauche sur celle du cadet. Mais voilà que son père pose sa droite sur Ephraïm, le faisant ainsi surpasser son frère aîné Ménaché ! Fort surpris, Yossef ne comprend pas le geste de son père, d’autant plus que c’est justement le fait d’avoir favorisé un fils parmi d’autres qui lui a valu de pleurer pendant vingt-deux années la disparition de Yossef.
Chez les ‘hassidim ‘habad, on raconte ainsi la parabole suivante…
Un ‘hassid quitta sa famille et se rendit chez l’illustre Rabbi Chalom Dov Ber zatsal - plus connu sous l’acrostiche de « Rachab » - pour une période de quelques semaines afin de tenter de s’élever spirituellement du monde matériel dans lequel il était plongé pendant toute l’année. Il remarqua que le rabbi multipliait ses efforts à rapprocher des Juifs qui, apparemment, n’avaient pas une importance pouvant justifier l’estime et le temps précieux que justement le Rabbi leur accordait.
Il profita donc d’une entrevue avec le Rabbi pour le questionner à ce sujet.
Le rabbi ignora sa question et lui demanda quelle était sa profession. Il répondit qu’il était diamantaire et qu'il voyageait donc de ville en ville pour vendre des gemmes.
Le rabbi lui demanda s’il avait en sa possession quelques pierres et le ‘hassid s’empressa de sortir de sa poche une sacoche qu’il vida sur la table. Les pierres brillaient de mille feux et le ‘hassid attendait, les yeux fixés sur son rabbi…
Ce dernier, après avoir examiné les pierres précieuses, se tourna vers le ‘hassid et lui dit: « Je ne vois pas ce que ces cailloux ont de spécial et pourquoi ils ont une telle valeur ! ».
Le ‘hassid répondit alors au rabbi : « Il faut être spécialisé dans le diamant pour comprendre et pouvoir estimer la valeur de chaque pierre… ».
Ce à quoi le Rabbi rétorqua avec un fin sourire : « Il faut également être spécialiste des âmes afin de savoir les apprécier à leur juste valeur. Des gens simples ont parfois une valeur inestimable pour ceux qui savent que chaque néchama est un joyau ».
Face à ses deux petits-fils, Yaakov pouvait estimer avec une profonde pertinence la vraie valeur de chacun d'eux, et il agit en conséquence...