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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Albert et aux très Saintes Âmes du 15 novembre

Saint Albert Le Grand
Évêque et docteur de l'Église
(1193-1280)

Albert le Grand naît aux environs d'Augsbourg de parents riches. Dès son enfance, il montra dans ses études une rare perspicacité ; le goût des sciences lui fit abandonner les traditions chevaleresques de sa famille et le conduisit à l'université de Padoue où il sut tempérer son ardeur pour l'étude par une vive piété.

À l'âge de trente ans, encore incertain de son avenir, mais inspiré par la grâce, il alla se jeter aux pieds de la très Sainte Vierge, et crut entendre la céleste Mère lui dire : « Quitte le monde et entre dans l'ordre de Saint Dominique. » Dès lors, Albert n'hésita plus, et malgré les résistances de sa famille, il entra au noviciat des Dominicains. Tels furent bientôt ses progrès dans la science et la sainteté, qu'il dépassa ses maîtres eux-mêmes.

Muni du titre de docteur en théologie, il fut envoyé à Cologne, où sa réputation lui attira pendant longtemps de nombreux et illustres disciples. Mais un seul suffirait à sa gloire, c'est saint Thomas d'Aquin.

Ce jeune religieux, déjà tout plongé dans les plus hautes études théologiques, était silencieux parmi les autres au point d'être appelé par ses condisciples : « le Bœuf muet de Sicile ». Mais Albert les fit taire en disant : « Les mugissements de ce bœuf retentiront dans le monde entier. »

De Cologne, Albert fut appelé à l'Université de Paris avec son cher disciple. C'est là que son génie parut dans tout son éclat et qu'il composa un grand nombre de ses ouvrages. Plus tard l'obéissance le ramène en Allemagne comme provincial de son Ordre ; il dit adieu, à sa cellule, à ses livres, à ses nombreux disciples, et voyage sans argent, toujours à pied, à travers un immense territoire pour visiter les nombreux monastères soumis à sa juridiction. Il était âgé de soixante-sept ans quand il dut se soumettre à l'ordre formel du pape et accepter, en des circonstances difficiles, le siège épiscopal de Ratisbonne ; là, son zèle infatigable ne fut récompensé que par de dures épreuves où se perfectionna sa vertu.

Rendu à la paix dans un couvent de son Ordre, il lui fallut bientôt, à l'âge de soixante-dix ans, reprendre ses courses apostoliques. Enfin il put rentrer définitivement dans la retraite pour se préparer à la mort. On s'étonne que, parmi tant de travaux, de voyages et d'œuvres de zèle, Albert ait pu trouver le temps d'écrire sur les sciences, la philosophie et la théologie des ouvrages qui ne forment pas moins de vingt et un volumes in-folio, et on peut se demander ce qui a le plus excellé en lui du savant, du saint ou de l'apôtre.

Il mourut âgé de quatre-vingt-sept ans, le 15 novembre 1280 ; son corps fut enterré à Cologne dans l'église des dominicains. Il lui a fallu attendre jusqu'au 16 décembre 1931 les honneurs de la canonisation et l'extension de son culte à l'Église universelle. En proclamant sa sainteté, le pape Pie XI y ajouta le titre si glorieux et si bien mérité de docteur de l'Église.

 

 

Bse Marie de la Passion

 

Vierge et fondatrice :

« Franciscaines Missionnaires de Marie »

 

Hélène Marie Philippine de Chappotin de Neuville, en religion Marie de la Passion, naît le 21 mai 1839 à Nantes, en France, d'une noble famille chrétienne. Dès l'enfance, elle manifesta des dons naturels éminents et une foi profonde.

 En avril 1856, alors qu'elle suit les exercices spirituels, elle fait une première expérience de Dieu qui l'appelle à une vie de donation totale. La mort imprévue de sa mère en retarde cependant la réalisation. En décembre 1860, avec le consentement de l'évêque de Nantes, elle entre au monastère des clarisses où l'attire l'idéal de simplicité et de pauvreté de saint François.

 Encore postulante, le 23 janvier 1861, elle fait une profonde expérience de Dieu qui l'invite à s'offrir en victime pour l'Église et pour le Pape. Cette expérience marquera toute sa vie. Peu de temps après, elle tombe gravement malade et doit quitter le monastère. Quand son rétablissement est complet, son confesseur l'oriente vers la Société de Marie Réparatrice. Admise en mai 1864, elle reçoit, le 15 août de la même année, à Toulouse, l'habit religieux avec le nom de Marie de la Passion.

En mars 1865, encore novice, elle est envoyée en Inde dans le Vicariat apostolique du Maduré, confié à la Compagnie de Jésus. Là les Réparatrices travaillent à la formation des sœurs d'une congrégation autochtone, ainsi qu'à d'autres activités apostoliques. C'est donc au Maduré que Marie de la Passion prononce ses vœux temporaires le 3 mai 1866.

Ses dons et ses vertus la font désigner comme supérieure locale, puis, en juillet 1867, comme supérieure provinciale des trois couvents des Réparatrices. Sous sa direction les œuvres d'apostolat se développent, la paix – troublée par des tensions antérieures – est rétablie, la ferveur et la régularité refleurissent dans les communautés.

En 1874 elle fonde une nouvelle maison à Ootacamund, dans le vicariat de Coimbatore, confié aux Missions Étrangères de Paris. Cependant, au Maduré les dissensions s'aggravent au point qu'en juin 1876 vingt religieuses, parmi lesquelles Marie de la Passion, se voient obligées de se séparer de la Société de Marie Réparatrice. Elles se réunissent à Ootacamund sous la juridiction du Vicaire apostolique de Coimbatore, Mgr Joseph Bardou, M.E.P.

En novembre 1876, Marie de la Passion se rend à Rome pour régulariser la situation des vingt sœurs séparées et obtient du bienheureux Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878), le 6 janvier 1877, l'autorisation de fonder un nouvel Institut, spécifiquement destiné aux missions, sous le nom de « Missionnaires de Marie ».

 Suivant une suggestion de Propaganda Fide, Marie de la Passion ouvre à Saint-Brieuc, en France, un noviciat qui accueille très vite de nombreuses vocations. En avril 1880, puis en juin 1882, la Servante de Dieu se rend à Rome pour résoudre les difficultés qui menacent d'entraver la stabilité et la croissance du jeune Institut. Le dernier voyage, en juin 1882, marque une étape importante dans sa vie : elle est autorisée à ouvrir une maison à Rome et, par des circonstances providentielles, retrouve l'orientation franciscaine que Dieu lui avait indiquée vingt-deux ans plus tôt. En effet, le 4 octobre 1882, dans l'église d'Aracœli, elle est reçue dans le tiers ordre de saint François. Elle entre alors en relation avec le Serviteur de Dieu, Père Bernardin de Portogruaro, ministre général de l'ordre des Frères Mineurs, qui, par la suite, la soutiendra dans ses épreuves, avec une paternelle sollicitude.

En mars 1883, Marie de la Passion est destituée de sa fonction de Supérieure de l'Institut, à cause de fortes oppositions. Mais, à la suite de l'enquête ordonnée par Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903), son innocence est pleinement reconnue et elle est réélue au chapitre de juillet 1884.

L'Institut des Missionnaires de Marie commence alors à se développer rapidement : le 12 août 1885 est émis le Décret de louange et celui d'affiliation à l'ordre des Frères mineurs ; les constitutions sont approuvées ad experimentum le 17 juillet 1890 et définitivement le 11 mai 1896. Et, au-delà de tout obstacle et de toute frontière, des missionnaires ne cessent d'être envoyées jusqu'aux terres les plus lointaines et périlleuses.

Le zèle missionnaire de la fondatrice ne connaît pas de limites pour répondre aux appels des pauvres et des abandonnés. La promotion de la femme et la question sociale l'intéressent particulièrement ; avec intelligence et discrétion, elle offre aux pionniers en ce domaine une collaboration qu'ils apprécient grandement.

Son intense activité puise son dynamisme dans la contemplation des grands mystères de la foi. Tout, pour Marie de la Passion, se ramène à l'Unité-Trinité de Dieu, Vérité-Amour, qui se donne à nous à travers le mystère pascal du Christ. Unie à ces mystères, elle vit sa vocation d'offrande dans une dimension ecclésiale et missionnaire. Jésus Eucharistie est pour elle « le grand missionnaire » et Marie, dans la disponibilité de son « Ecce », trace la voie de la donation sans réserve à l'œuvre de Dieu. Elle ouvre ainsi à son Institut les horizons de la mission universelle qui s'accomplit avec l'esprit évangélique de François d'Assise dans la simplicité, la pauvreté et la charité.

Elle a grand soin, non seulement de l'organisation extérieure des œuvres, mais aussi et surtout de la formation spirituelle de ses religieuses. Douée d'une extraordinaire capacité de travail, elle trouve le temps de rédiger de nombreux écrits de formation, tandis que, par une fréquente correspondance, elle suit ses missionnaires dispersées dans le monde, les invitant avec insistance à une vie de sainteté. En 1900, l'Institut reçoit le sceau du sang dans le martyre de sept franciscaines Missionnaires de Marie, béatifiées en 1946 et canonisées au cours du Grand Jubilé de l'an 2000. Ce martyre est pour Marie de la Passion, en même temps qu'une grande douleur une immense joie, une émotion intense d'être la mère spirituelle de ces missionnaires qui ont su vivre l'idéal de leur vocation jusqu'à l'effusion du sang.

Usée par les fatigues des incessants voyages et du labeur quotidien, Marie de la Passion, après une brève maladie, meurt à Sanremo le 15 novembre 1904, laissant plus de deux mille religieuses et quatre-vingt six maisons insérées en quatre continents. Sa dépouille mortelle repose dans un oratoire privé de la maison généralice de l'Institut des Franciscaines Missionnaires de Marie à Rome.

Mère Marie de la Passion a été béatifiée, le 20 octobre 2002, par saint Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).

 

Saint Malo d'Aleth
Malo, évêque en Bretagne (✝ v. 649)
ou Saint Maclou.

 

Saint Malo, statuette en grès émaillé, CRIl serait né au pays de Galles quand l'inspiration lui vint d'évangéliser les Bretons non loin de la ville d'Aleth qui désormais porte son nom. Mais des querelles lui firent quitter son troupeau et remettre à un autre sa charge d'évêque. Il s'achemina vers l'Aquitaine et c'est en Saintonge qu'il termina son pèlerinage terrestre. Saint-Malo-35400.
Illustration: statuette en grès émaillé créée par André Bizette-Lindet.
- L'église Saint Maclou à Bully (diocèse d'Arras) doit son nom à Maclou ou Malo qui est né fin du VIe siècle dans le pays de Galles et mort vers 640 à Saintes en Charente-Maritime. Sa fête est célébrée le 15 novembre. Son buste, en habit d'évêque, faux reliquaire en chêne du XVIIIe siècle, est dans le chœur.
- A Rouen, l'église Saint-Maclou est dédiée à un saint breton nommé aussi Malo. La construction de cette église, considérée par les historiens d'art comme un joyau de l'art gothique flamboyant, a débuté en 1437 et se situe sur la paroisse Saint-Marc de Rouen-Ouest (un oratoire Saint-Maclou existait à cet emplacement dès le Xe siècle).
- La cathédrale de Pontoise est mise sous son patronage.
"Gallois d'origine, né dans la seconde moitié du VIe siècle, Malo fut formé à l'école monastique de Llancarvan, que fonda saint Cadoc, et il y resta comme moine. Devenu évêque, d'après la tradition, Malo quitte le Clamorgan avec des compagnons, prend la mer et accoste devant l'îlot de l'ermite Aaron. Sur les conseils de l'ermite, Les moines gallois se rendent à Aleth, une cité de l'ancien pays des Coriosolites. En butte aux persécutions des habitants d'Aleth, Malo reprend la route et se réfugie en Saintonge. Il ne revient de l'exil que sur les prières des gens d'Aleth que ravageaient la peste et la famine. Le fléau écarté, Malo retourna en Saintonge, et c'est dans ce pays qu'il mourut le 16 novembre 649. Les chrétiens d'Aleth purent récupérer, cependant, une partie des reliques. Lors des raids des Normands sur les côtes de Bretagne, les reliques de Malo trouvèrent refuge en Ile de France, en particulier à Saint-Jacques du Haut-Pas (Paris)." (diocèse de Quimper et Léon)
En Bretagne, vers 640, saint Malo, évêque d'Aleth, venu du pays de Galles, et mort, semble-t-il, à Saintes où il s'était exilé.

Martyrologe romain

Autres Fêtes du Jour


Saint Arnoul d'Orléans Evêque de Toul (✝ 871)
Saints Aurèle, Suacre, Scutaire, Armentaire et Bénigne évêques du diocèse du Puy-en-Velay
Bienheureux Caius de Corée martyr à Nagasaki (✝ 1624)
Saint Cessateur  évêque de Limoges (VIIe siècle)
Saint Didier  Evêque de Cahors (✝ v. 654)
Saint Dimitri de Thrace  martyr (✝ 307)
Saint Eugène Martyr (IIIe siècle)
Saint Fintan  moine irlandais ermite en Suisse (✝ 878)
Saints Habib, Samonas et Gurias martyrs à Edesse (✝ 306)
Bienheureux Hugues de Faringdon Abbé du monastère de Reading (✝ 1539)
Bienheureux Jean Thorne martyr (✝ 1539)
Bienheureux Joseph Kalinowski prêtre polonais (✝ 1907)
Saint Joseph Mkasa Balikuddembé martyr en Ouganda (✝ 1886)
Saint Joseph Pignatelli Jésuite à Rome (✝ 1811)
Saint Léopold III d'Autriche Margrave d'Autriche (✝ 1136)
Bienheureuse Lucie Brocolelli tertiaire dominicaine (✝ v. 1544)
Saints Marin et Anien  martyrs en Bavière (date ?)
Saint Païssij Velitchkovskij  starets moldave (✝ 1794)
Saint Pavin  (VIIe siècle)
Bienheureux Richard Whiting et Roger James bénédictins de Glastonbury (✝ 1539)
Saints Roch Gonzalez et Alphonse Rodriguez prêtres et martyrs au Paraguay (✝ 1628)
Saint Sidoine  abbé en Normandie (✝ v. 684)

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