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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Delphine et aux très Saintes âmes du 26 novembre

Bienheureuse Delphine de Sabran


Tiers-Ordre séculier de saint François (✝ 1360)
Delphine ou Dauphine.

saint Elzear et la bienheureuse Delphine, diocèse d'AvignonOriginaire de Château-Puy-Michel, elle épousa à quinze ans, saint Elzéar qui avait treize ans. Elle s'attache au Tiers-Ordre séculier de saint François. Ils mènent ensemble une vie d'austérité et de prière, sans que leurs sujets s'en aperçoivent et sans négliger les obligations mondaines qui étaient celles de leur état de princesse et de comte. Devenue veuve, elle se retira à la cour de Naples, où elle mena une vie simple et toute donnée à la prière et aux pauvres. Son culte fut approuvé par le pape Urbain VIII.
Delphine n'accepta qu'à contre cœur ce mariage car elle voulait garder sa virginité. Elzéar respecta son désir. Quand il mourut en 1323, Delphine voulut vivre dans la pauvreté, en Provence puis à Naples où elle fut traitée de folle et de nouveau en Provence à Cabrières puis à Apt où elle mourut le 26 novembre 1360.
Son corps fut déposé dans la cathédrale d'Apt à côté de celui d'Elzéar, canonisé peu après (1371).
(Histoire des saints de Provence - diocèse de Fréjus-Toulon)
À Apt en Provence, l'an 1360, la bienheureuse Delphine, qui fut l'épouse de saint Elzéar de Sabran. Tous deux firent le vœu de chasteté et, après la mort de son mari, elle vécut dans la pauvreté et la prière.

Martyrologe romain

Saint Innocent d'Irkoutsk
 

Missionnaire en Sibérie (✝ 1731)


 

Saint Innocent voulait convertir la Chine au christianisme lorsque l'empereur de Chine, en 1692, ouvrit son pays à l'Evangile. Sous l'influence des pères jésuites, les missionnaires inculturèrent (*) l'Evangile dans les coutumes chinoises. Innocent d'IrkoutskQuand les dominicains vinrent se joindre à eux, ils les critiquèrent comme faisant une dérive théologique que Rome condamna à trois reprises sous leur influence. A la suite de quoi, l'empereur interdit le christianisme en 1717. Saint Innocent pensa que c'était seulement les catholiques qui étaient ainsi expulsés. Mais en fait c'était le christianisme. Il dut rebrousser chemin lorsqu'il lui fut interdit d'entrer en Chine. C'est ainsi qu'il devint l'apôtre de la Sibérie méridionale et le premier évêque d'Irkoutsk non loin du lac Baikal.
Illustration: Icône, chapelle du monastère Spaso-Vlakhernskogo, à Dedenovo dans la région de Dmitrovski...
(*) dans le processus d'inculturation, «l'Église universelle elle-même s'enrichit d'expressions et de valeurs nouvelles dans les divers secteurs de la vie chrétienne, [...]; elle connaît et exprime mieux le mystère du Christ, et elle est incitée à se renouveler constamment» (Note Doctrinale sur certains aspects de l'évangélisation - site du Vatican)

L'incompréhension peut engendrer le découragement si nous ne jugeons qu'avec notre regard humain. Par delà cet échec, le regard de la foi découvre une vision de la volonté de Dieu. Le silence lui-même devient parole et appel de Dieu à prendre un autre chemin pour le servir.

Lectionnaire Emmaüs

Bienheureux Jacques (Giacomo) Alberione
Prêtre et fondateur de la
Famille paulinienne

 

Giacomo Alberione naît à San Lorenzo di Fossano (Cuneo, Piémont) le 4 avril 1884, cinquième enfant de Michel et Teresa Allocco.

En octobre 1900 il entre au séminaire diocésain d’Alba et le 29 juin 1907 il est ordonné prêtre.

Le 20 août 1914 il initie, à Alba, la Société Saint-Paul pour l’évangélisation avec les instruments de la communication sociale, suivie des autres fondations qui constituent la Famille paulinienne : Filles de Saint-Paul, Sœurs Disciples du Divin Maître, Sœurs de Jésus Bon Pasteur (les Pastourelles), Institut Regina Apostolorum pour les vocations (Sœurs apostolines) ; les Instituts agrégés : Saint-Gabriel-Archange, Marie-de-l’Annonciation, Sainte-Famille et Jésus-Prêtre ; l’Association des Coopérateurs et Coopératrices pauliniens.

Il fait plusieurs fois le tour du monde pour rencontrer ses fils et filles répandus dans tous les continents de la terre et les encourager à une vie toujours plus contemplative et apostolique.

Le secret de sa vaste activité apostolique est à rechercher dans sa vie intérieure tendue dans un crescendo continuel à réaliser les paroles de l’Apôtre Paul : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. » (Gal 2, 20)

Le père Alberione s’est éteint à l’âge de 87 ans, le 26 novembre 1971. Ses derniers moments ont été réconfortés par la visite et la bénédiction de saint Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) qui n’a jamais cessé de l’admirer et de le vénérer.

Les pauliniens et pauliniennes se rappellent avec émotion l’estime que saint Paul VI vouait à leur fondateur. Dans une mémorable audience accordée au père Alberione et à un groupe nombreux de ses fils et de ses filles, le 28 juin 1969, le pape s’exprimait ainsi : 

« Le voilà : humble, silencieux, infatigable, toujours vigilant, toujours recueilli dans ses pensées, passant de la prière à l’action, toujours attentif à saisir les "signes des temps", c’est-à-dire les moyens les plus efficaces de communiquer avec les humains; notre cher père Alberione a donné à l’Église de nouveaux instruments pour s’exprimer, de nouveaux moyens pour donner vigueur et rayonnement à son apostolat, une nouvelle conscience de sa mission pour l’évangélisation au moyen des médias de masse. “Permettez, cher père Alberione, que le pape se réjouisse de votre long, fidèle et inlassable travail, et des fruits qu’il a produits pour la gloire de Dieu et le bien de l’Église.” »     

Le Père Jacques Alberione, aura été l'un des plus créatifs apôtres du XXe siècle.

Le 25 juin 1996, saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) signa le décret reconnaissant ses vertus héroïques et le béatifia le 27 avril 2003 à Rome.

 

Saint Umile (Humilis) de Bisignano
Religieux de l’Ordo Fratrum Minorum

 

Humilis, fils de Giovanni Pirozzo et de Ginevra Giardino, naît le 26 août 1582 à Bisignano en Calabre. Il reçut le prénom de Luca Antonio au baptême.
Déjà enfant, il manifestait une très profonde piété, assistant tous les jours à la Messe, méditant la Passion, même quand il travaillait aux champs, communiant aussi souvent que possible.

Dès l'âge de dix-huit ans, il ressentit fortement sa vocation religieuse, mais dut patienter encore neuf ans avant de pouvoir y accéder, multipliant, pendant ce long délai, les privations et vivant une vie austère remplie de charité et du souci des autres.

Humilis avait vingt-sept ans quand il intégra le noviciat des Frères mineurs à Mesoraca, où il eut comme professeurs Antonio de Rossano et Cosimo de Bisignano. Il prononça ses vœux le 4 septembre 1610 et se mit sous la protection de la Vierge Marie.
À partir de là, il accomplit toutes ses tâches avec ardeur, simplicité et humilité, mendiant, s'occupant du jardin, effectuant tous les travaux manuels qui lui étaient demandés par ses supérieurs.
Déjà au temps de son noviciat, ses frères avaient remarqué sa maturité spirituelle, et sa ferveur dans l'observance de la Règle. Il priait sans cesse, quelles que soient ses occupations matérielles, il était humble, docile, tout le temps gai. Il pratiquait pénitence et mortifications, et sa charité envers les pauvres était immense.

Depuis sa jeunesse, il bénéficiait d'extases chaque fois qu'il priait intensément. Mais ces manifestations entraînèrent la suspicion de l'autorité ecclésiastique, méfiante devant l'origine de ces grâces.
Par ailleurs, bien que n'ayant pas fait d'études, frère Humilis pouvait répondre à n'importe quelle question concernant l'Écriture Sainte, stupéfiant les théologiens. Pour ces deux raisons, il fut longuement interrogé par l'archevêque de Reggio de Calabre, et par les inquisiteurs. Mais nul ne put le confondre, et tous furent surpris de l'authenticité de ses dons ; à tel point que le frère général de l'Ordre, Benigno Genova, l'emmena avec lui lors d'une visite aux autres frères de Calabre et que deux Papes, Grègoire XV (Alessandro Ludovisi, 1621-1623) et Urbain VIII (Maffeo Barberini, 1623-1644)  en firent leur conseiller.
C'est ainsi qu'Humilis resta plusieurs années à Rome. Il vécut aussi à Naples, au couvent de la Sainte Croix, où il contribua à répandre le culte du Bx John Duns Scot, particulièrement vénéré dans le diocèse de Nola.
Après une vie toute remplie d'humilité, de joie divine, du souci des pauvres, Humilis s'éteignit le 26 novembre 1637 à Bisignano.

Umile de Bisignano a été béatifié le 29 janvier 1882 par  Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903) et canonisé le 19 mai 2002 par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).

 

Saint Pierre d'Alexandrie
Évêque et Martyr
(† 310)

 


Saint Pierre d'Alexandrie nous est peu connu jusqu'à son élévation sur le siège épiscopal de cette ville. Son zèle pour la foi, à une époque de persécutions continuelles, l'obligea de fuir; mais il consola et fortifia les chrétiens dans les différentes contrées qu'il parcourut, et il n'oublia pas son cher troupeau. Par d'éloquentes lettres pastorales, il rappelait à ses brebis les grands devoirs de la vie chrétienne et la nécessité de la persévérance.

La paix ayant reparu, Pierre revint dans son église, où il fut bientôt dénoncé par l'hérétique Arius et jeté dans les fers. Il ne cessait, dans sa prison, d'encourager les nombreuses victimes enfermées avec lui, de prier et de chanter les louanges de Dieu. Un jour qu'il priait avec plus de ferveur, Notre-Seigneur lui apparut sous la forme d'un enfant tout éclatant de lumière, et vêtu d'une belle tunique blanche fendue de haut en bas, et il en tenait les bords comme pour cacher sa nudité. Pierre, saisi de frayeur, Lui dit: "Seigneur, qui Vous a mis dans cet état? — C'est Arius, répondit Jésus, qui a divisé Mon Église et M'a ravi une partie des âmes que J'ai rachetées de Mon sang."

L'évêque prémunit son clergé contre le traître et fut décapité peu de temps après.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

 

Autres Fêtes du Jour

Bienheureux Albert de Haigerloch  (✝ 1311)
Saint Alipe le stylite  anachorète (✝ v. 614)
Saint Amateur  Evêque d'Autun, (IIIe siècle)
Saint Antoine Daveluy  Avec 103 autres martyrs coréens (✝ 1866)
Saint Basle  ermite à Verzy (✝ 620)
Saint Bellino  évêque de Padoue et martyr (✝ v. 1147)
Saint Conrad de Constance Evêque de Constance (✝ 975)
Saint Diodore  moine (✝ 1633)
Bienheureuse Gaetana Sterni  religieuse italienne fondatrice (✝ 1889)
Bienheureux Gautier d'Aulne  (✝ 1180)
BBx Hugh Taylor et Marmaduke Bowes martyrs en Angleterre sous la reine Elizabeth I (✝ 1585)
Saint Humble de Bisignano  frère franciscain (✝ 1637)
Saint Jacques de Rostov  (✝ 1392)
Saint Jacques le Persan (IVe siècle)
Saint Jean Berchmans  Jésuite belge (✝ 1621)
Saint Léonard de Port-Maurice
Frère mineur à Rome (✝ 1754)
Saint Martin d'Arades  (✝ 726)
Saint Nikon le Métanoïète  Moine en Grèce (✝ 998)
Bienheureux Ponce de Faucigny  fondateur de l'abbaye de Sixt (✝ 1178)
Saint Silvestre Gozzolini  abbé à Fabriano en Italie Centrale (✝ 1267)
Saint Sirice  Pape (38e) de 384 à 399 (✝ 399)
Saint Théodose de Tirnovo  (✝ 1363)
Saints Thomas et Dominique  prêtres dominicains vietnamiens martyrs (✝ 1839)

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