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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux David et autres fêtes de ce jour

Saint David
Fils de Jessé - Roi de Juda et d'Israël
Ancien Testament
(Xe s. av JC.)

Les Églises d'Orient célèbrent le saint roi-poète qui est la figure messianique du Christ, et dont les psaumes sont la base même de la prière liturgique depuis des millénaires. Après avoir gravement offensé la loi divine, il manifesta un repentir exemplaire.

Pour un approfondissement, lire :
Premier Livre de Samuel (chapitres 16 à 31) ;
Deuxième livre de Samuel (chapitres 1 à 24) ;
Premier livre des Rois (chapitres 1 et 2) ;
Premier livre des Chroniques (chapitres 3, 11 à 29).

 

Les Églises d'Orient célèbrent le saint roi-poète qui est la figure messianique du Christ, et dont les psaumes sont la base même de la prière liturgique depuis des millénaires. Après avoir gravement offensé la loi divine, il manifesta un repentir exemplaire.
"Samuel donna l'onction à David au milieu de ses frères. L'esprit du Seigneur s'empara de David" (1 S 16, 1-13)
 Onction de David par Samuel


Commémoraison de saint David, roi et prophète. Fils de Jessé le Bethléémite, il trouva grâce devant Dieu et reçut l'onction sacrée du prophète Samuel pour régner sur le peuple d'Israël; il fit venir dans la cité de Jérusalem l'arche de l'alliance du Seigneur et le Seigneur lui-même lui jura bientôt que sa descendance demeurerait à jamais, du fait que le Christ Jésus naîtrait de sa lignée selon la chair. Il se coucha avec ses pères à un âge avancé vers 972 avant le Christ.
Martyrologe romain

"Il n'y a pas de saint sans passé, ni de pécheur sans futur"

le pape François le 19 janvier 2016

Salomon
(Xe siècle av. J.-C.)

 

Fils de David, roi d'Israël, (931 av. J.-C.)


Prière de Salomon au 1er livre des Rois 3, 9: "Donne à ton serviteur un cœur attentif pour qu'il sache gouverner ton peuple et discerner le bien et le mal; comment sans cela gouverner ton peuple, qui est si important?"
Jugement de Salomon dans 1 Rois 3, 16-28, Salomon rend la justice avec sagesse.

Salomon, fils de David et de Bethsabée, est un roi d'Israël (de 970 à 931 avant Jésus-Christ selon la chronologie biblique usuelle).

Sa sagesse et sa justice sont proverbiales. Il fait construire le premier Temple de Jérusalem. Son histoire est contée dans le Premier livre des Rois.

Salomon, fils et successeur du roi David
 

Salomon (Shlomo) est le deuxième fils que le roi David eut de sa femme, Bethsabée, que celui-ci avait prise à Urie.

Quand David fut vieux, son fils Adonias tenta de se faire proclamer héritier. Alors David ordonne au prêtre Zadoc d'oindre Salomon comme roi après lui. David, mourant, confie ces paroles à son fils de douze ans : « Je m'en vais par le chemin de toute la terre. Tu seras fort et te montreras un homme, et tu prendras garde à Dieu, ton Dieu, en marchant dans Ses voies, en gardant Ses statuts, Ses commandements et Ses ordonnances, comme il est écrit dans la loi de Moïse, afin que tu réussisses dans tout ce que tu feras et où que tu te tourneras » (I Rois 2, 2 et 3). Après 40 ans de rêgne, David meurt. Salomon devient ainsi roi d'Israël.


Un règne de paix et de prospérité
À son avènement, Salomon doit faire face à de nombreuses rivalités et révoltes au sein de son royaume. Il élimine les partisans de son demi-frère Adonias. Le prêtre Abyatar est exilé, Joab exécuté.

Le pharaon Siamon profite de la mort de David pour organiser une expédition en Palestine. Il prend et détruit Gézer. Mais devant l’armée de Salomon, il préfère une paix de compromis. Il donne sa fille en mariage à Salomon avec pour dot Gézer. Salomon s’engage probablement à ne pas attaquer la pentapole philistine.

Salomon organise une expédition militaire à Hamat et Zoba pour contrôler Tadmor (Palmyre) et la route des caravanes.

Son règne marque cependant une période de paix, de prospérité et d'abondance. Le roi-bâtisseur fait ériger dans sa capitale des édifices colossaux (le Temple, le palais royal et les fortifications de Jérusalem). Il bâtit le premier Temple de Jérusalem. C'est dans sa quatrième année de règne que Salomon se mit à bâtir le temple, qui fut achevé en sept ans et demi. C'est le temple et non plus le tabernacle, qui fut alors le centre du culte public.


Le déclin
Au cours de son règne, Salomon a pris 700 épouses et 300 concubines : c'était le moyen d'assurer la paix avec les multiples cités-états voisines. Mais cette situation entraîna des difficultés : Salomon laissa se développer des religions païennes dans son entourage « et il arriva, au temps de la vieillesse de Salomon, que ses femmes détournèrent son cœur auprès d'autres dieux » (I Rois 11, 4 et 5). L'infidélité de Salomon à garder l'alliance avec Dieu entraîna la colère divine : « Parce que tu as fait cela1 , (...) Je t'arracherai le royaume (...) Seulement, Je ne le ferai pas dans tes jours, à cause de David, ton père. Mais Je l'arracherai de la main de ton fils. » (I Rois 11, 9 à 13)

À la fin du règne, la levée de lourds impôts et l'institution de la corvée provoquent des révoltes qui aboutiront à la partition du royaume d'Israël après la mort de Salomon (-931).


L'organisation du royaume de Salomon
Salomon organise l’administration de son Empire, tâche qui lui vaut la réputation de « sage » (hâkâm) :

Comme David, il s’entoure de hauts fonctionnaires et de conseillers (prêtre, secrétaire, héraut, chef de l’armée) mais crée de nouvelles fonctions (maître du palais, chef des préfets et chef de la corvée). La famille du prophète Nathan est très influente dans ce cabinet. Salomon crée un corps de fonctionnaires (lévites), dévoués au service de l’État. Il institue des écoles pour les former.
Le territoire israélite est divisé en douze préfectures dirigés par un préfet (nesîb), nommé par Salomon.
Chaque préfecture devait assurer l’entretien de la cour royale pendant un mois, charge assez lourde à cause du développement du harem royal, du nombre des hauts fonctionnaires et de la charerie royale. D’autres entrées proviennent du domaine royal, géré par le maître du Palais, de cadeaux et tributs versés par les vassaux. De plus, le roi contrôle le commerce international : caravanes du désert (encens, aromates), commerce de haute mer dans des expéditions conjointes avec les Phéniciens (produits et animaux tropicaux, or), commerce avec la Phénicie (blé, huile, cèdre, cyprès, aide technique).
Salomon nomme à la tête de l’armée l’ancien chef de la garde personnelle de David. L’effort de modernisation porte sur les chars, peu utilisés dans le passé et la construction de places fortes.

Le jugement de Salomon

 

Considéré comme « Sage parmi les hommes », il se rendit populaire en début de règne par ses jugements pleins de sagesse. Il avait d'ailleurs demandé à Dieu de le munir d'un coeur qui sache écouter. [réf. nécessaire]

Le Premier livre des Rois (3, 16-28) raconte ainsi le différend qui opposa deux prostituées ayant chacune mis au monde un enfant, mais dont l'un était mort étouffé. Elles se disputèrent alors l'enfant survivant. Pour régler le litige, Salomon réclama une épée et ordonna : « Partagez l'enfant vivant en deux et donnez une des moitié à la première et l'autre moitié à la seconde ». L'une des femmes accepta, l'autre déclara qu'elle préfèrait renoncer à l'enfant plutôt que de le voir sacrifié. En elle, Salomon reconnut la vraie mère, et il lui fit remettre le nourrisson. Alors « tout Israël apprit le jugement qu'avait rendu le roi, et ils révérèrent le roi car ils virent qu'il y avait en lui une sagesse divine pour rendre la justice ».

Ce célèbre épisode de la vie du Roi Salomon a donné lieu à l'expression « jugement de Salomon ». Il peut signifier soit que face à l'impossibilité d'établir la vérité dans un litige, on partage les torts entre deux parties, soit qu'on met ces mêmes parties devant une situation qui oblige l'une d'elles au moins à changer sa stratégie. Ce cas fait partie de ceux étudiés en théorie des jeux à somme non-nulle au même titre que la Crise des missiles de Cuba, avec laquelle elle a des affinités (mettre l'une des parties dans une position intenable, et forcer l'issue vers un arrangement gagnant-gagnant)

Saint Thomas Becket
Archevêque de Cantorbéry
Martyr  

 

 

Thomas de Cantorbéry naît à Londres le 21 décembre 1117.  

Par son courage indomptable à défendre les droits de l'Église, il est devenu l'un des plus célèbres évêques honorés du nom de saints et de martyrs. Dès sa jeunesse, il fut élevé aux plus hautes charges de la magistrature ; mais l'injustice des hommes détacha du monde ce cœur plein de droiture et de sincérité, et il entra dans l'état ecclésiastique. Là encore, son mérite l'éleva aux honneurs, et le roi Henri II le nomma son chancelier. Il ne fit que croître en vertu, donnant le jour aux affaires et passant la meilleure partie de la nuit en oraison. Il n'était que le distributeur de ses immenses revenus : les familles ruinées, les malades abandonnés, les prisonniers, les monastères pauvres, en avaient la meilleure part.

Le roi l'obligea d'accepter l'archevêché de Cantorbéry. Thomas eut beau dire au prince, pour le dissuader, qu'il s'en repentirait bientôt : celui-ci persista, et le chancelier reçut le sacerdoce et l'onction épiscopale. Sa sainteté s'accrut en raison de la sublimité de ses fonctions. On ne le voyait jamais dire la Sainte Messe, sinon les yeux baignés de larmes ; en récitant le Confiteor, il poussait autant de soupirs qu'il prononçait de mots. Il servait les pauvres à table trois fois par jour ; à la première table, il y avait treize pauvres ; à la seconde, douze ; à la troisième, cent.

Thomas avait bien prévu : les exigences injustes du roi obligèrent l'archevêque à défendre avec fermeté les droits et les privilèges de l'Église. Henri II, mal conseillé et furieux de voir un évêque lui résister, exerça contre Thomas une persécution à outrance. Le pontife, abandonné par les évêques d'Angleterre, chercha un refuge en France. Il rentra bientôt en son pays, avec la conviction arrêtée qu'il allait y chercher la mort ; mais il était prêt.

Le 29 décembre 1170, les émissaires du roi se présentèrent dans l'église où Thomas priait. Il refusa de fuir et fut assommé si brutalement, que sa tête se brisa et que sa cervelle se répandit sur le pavé du sanctuaire. C'est à genoux qu'il reçut le coup de la mort. Il employa ce qui lui restait de force pour dire : « Je meurs volontiers pour le nom de Jésus et pour la défense de l'Église ».

 

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Albert de Gambron  (VIIe siècle)
Sainte Bénédicte Hyon Kyong-nyon  catéchiste et ses six compagnons (✝ 1839)
Saint Evroult  abbé au pays d'Ouche, en Normandie (✝ v. 596)
Saint Florent de Bourges  Evêque de Bourges (✝ 664)
Bienheureux Gérard Cagnoli  franciscain (✝ 1342)
Bienheureux Guillaume Howard  martyr en Angleterre (✝ 1680)
BBx Joseph, Henri, Jean-Baptiste  martyrs de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Libosus évêque de Vaga (✝ v. 258)
Saint Marcel de Constantinople  Dirigea la communauté des Acémètes à Constantinople (✝ 485)
Saint Martinien  évêque de Milan (✝ 431)
Bienheureux Paul de Marie  (✝ 1597)
Saint Thaddée  martyr (IXe siècle)
Saint Thomas Becket  archevêque de Cantorbéry, martyr (✝ 1170)
Saint Trophime  Premier évêque d'Arles (✝ v. 250)

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