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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête !aux Edouard et aux Saintes âmes du 5 janvier

Saint Edouard le Confesseur
Roi d'Angleterre (✝ 1066)


Il fut le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant. Il avait horreur du sang versé. Son peuple le chérissait. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'était pas fait pour être roi.


Saint Edouard, vitrail au cimetière du Père Lachaise, photo JP Monnier

Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'était pas bien claire. Les Danois avec le roi Canut régnaient sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark. Edmond "Côte de Fer" prince d'Angleterre avait été assassiné et sa femme s'était réfugiée en Normandie. Edouard, son demi-frère, revint en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence. Il cherchait toujours l'entente et la réconciliation là où c'était possible. Les expéditions danoises échouèrent. Le royaume connut une période moins troublée. Il épousa une princesse et vécurent toujours l'un et l'autre dans l'union la plus intime et la plus parfaite. Pourtant les guerres continuaient de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Ecosse, ce qui n'empêcha pas saint Edouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir meilleure justice et plus grande attention aux pauvres. Il résidait à Londres et à Westminster où il fit construire sa cathédrale. Il mourut quelque temps après sa dédicace.
Décédé le 5 janvier 1066, il est aussi fêté le 13 octobre, date à laquelle son corps fut transféré dans le tombeau prévu pour lui (1163).
Voir sur le site (en anglais) de l'abbaye de Westminster.
- vidéo, le pape a offert à la reine Elisabeth en 2014 une reproduction d'un document grâce auquel le culte de Saint Edouard le Confesseur s'est étendu à l'Eglise universelle.
À Londres, en 1066, saint Édouard le Confesseur, roi d'Angleterre, qui fut très aimé de son peuple à cause de sa remarquable charité. Il assura la paix à son royaume et maintint avec soin la communion avec le Siège romain.

Martyrologe romain

 

Saint Charles de Saint-André Houben

 

Charles de Saint-André Houben (dans le siècle Jean André Houben), naît le 11 décembre 1821 à Munstergeleen (diocèse de Roermond, Hollande), dans la famille d'un meunier aisé.

Dès l'enfance, il manifesta le désir de devenir prêtre. Il commença ses études, qu'il interrompit en 1840 pour effectuer son service militaire. C'est précisément dans la caserne de Bergent-op-Zoom, en 1841, qu'il connut la Congrégation de la Passion grâce à l'un de ses camarades dont le frère était religieux passionniste.

 Après son service militaire, il demanda à être admis chez les Passionnistes. Sa requête fut accueillie par le bienheureux Domenico Barberi et il entra au noviciat d'Ère, près de Tournai, le 5 novembre 1845, prenant le nom religieux de Charles de Saint-André. Après une année de noviciat, il prononça ses vœux le 10 décembre de l'année suivante.

 Après avoir terminé ses études de philosophie et de théologie, il fut ordonné prêtre le 21 décembre 1850, par l'Évêque de Tournai. Il fut alors envoyé en Angleterre, où les Passionnistes avaient fondé trois couvents, en tant que vice-maître des novices à Broadway, puis dans le nouveau couvent de Mount Argus, près de Dublin. Il vécut presque tout le reste de sa vie dans cette retraite et fut profondément aimé par les Irlandais, qui l'appelaient Père Charles de Mount Argus.

 Ce fut un prêtre d'une piété extraordinaire, se distinguant particulièrement dans l'exercice de l'obéissance, dans la pratique de la pauvreté, de l'humilité et de la simplicité, et encore plus dans la dévotion pour la Passion du Seigneur. Il se consacra en particulier à la direction spirituelle des âmes à travers la confession. Sa réputation de vertu attira rapidement un grand nombre de fidèles au couvent, qui demandaient sa bénédiction.

 Fréquemment appelé pour bénir les malades, il obtint, comme l'attestent de nombreux témoignages, des guérisons surprenantes, ce qui lui valut une réputation de thaumaturge. C'est précisément à cause de cette réputation qu'il fut transféré, en 1866, en Angleterre pour pouvoir trouver un peu de tranquillité, dans les couvents de Broadway, de Sutton et de Londres.

 Il revint à Dublin en 1874, où il demeura jusqu'à sa mort. Vers 1880, sa santé commença à décliner en raison de sa vie austère. En outre, il ne se remit jamais complètement des blessures d'un accident survenu en 1881. Il meurt le 5 janvier 1893.

Au cours de ses funérailles, en présence de personnes venues de toute l'Irlande, la dévotion populaire qui l'avait entouré au cours de sa vie apparut clairement. Sa cause de canonisation fut introduite le 13 novembre 1935.

 Charles de Saint-André Houben a été béatifié le 16 octobre 1988, par saint Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005) et canonisé le 3 juin 2007 à Rome par le pape Benoît XVI (Joseph Ratzinger, 2005-2013).

 

Saint Siméon Stylite
(† 459)

 

Voici peut-être le plus étrange, le plus miraculeux de tous les Saints. Il naquit en Cilicie. Son père était berger, et lui-même passa les premières années de sa vie à garder les troupeaux. Il avait treize ans, quand un jour, à l'église, il entendit lire ces paroles: "Bienheureux ceux qui pleurent!... Bienheureux ceux qui ont le coeur pur!" Éclairé par la grâce, embrasé du désir de la perfection, il se met en prière, s'endort et fait un songe: "Il me semblait, dit-il, que je creusais les fondements d'un édifice; quand je crus la fosse assez profonde, je m'arrêtai: "Creuse encore!" me dit une voix. Par quatre fois je repris mon travail et je m'arrêtai, et par quatre fois j'entendis la même parole: "Creuse encore!" Enfin la voix me dit: "C'est assez! Maintenant tu peux élever un édifice aussi haut qu'il te plaira." Ce songe signifiait sans doute l'humilité, base de toutes les vertus et mesure de la perfection; mais il faisait aussi allusion au genre de vie que devait mener le pieux jeune homme.

Siméon entre dans un monastère; là, ses mortifications paraissent si effrayantes, qu'on lui conseille la solitude. Il se retire dans un désert et passe le Carême entier sans manger; le jour de Pâques, la Sainte Communion lui rend toute sa vigueur. Dès ce moment, il prend la résolution de passer ainsi tous les ans le temps du Carême. Les foules se pressent bientôt autour de lui attirées par ses miracles; il s'enfuit sur une montagne pour échapper au commerce des hommes; mais le concours prodigieux s'accroissait tous les jours. C'est alors qu'il se fit bâtir une colonne qui, s'élevant d'année en année, atteignit enfin la hauteur de quarante coudées, ou à peu près vingt mètres, sur laquelle il vécut environ trente-six ans. De là lui vient le surnom de Stylite, mot qui signifie, en grec, l'habitant de la colonne. Les heures de sa journée étaient partagées entre la prière, la prédication et les oeuvres de charité; la nuit se passait presque entière dans les entretiens avec le Ciel. Quelqu'un voulut un jour compter les inclinations profondes qu'il faisait en la présence de Dieu; arrivé au nombre de mille deux cent quarante-quatre, il s'arrêta, n'ayant pas la patience de continuer plus longtemps. Tout est merveilleux dans les détails de cette vie surprenante; et cependant on n'y trouve rien qui ne montre un homme conduit par l'Esprit de Dieu et soutenu par la vertu d'En Haut.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Sainte Genoveva Torres Morales

Vierge et fondatrice des

« Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus et des Saints Anges »

 

Genoveva Torres Morales naît à Almenara (Castellón) le 3 janvier 1870. Elle se retrouva orpheline à l'âge de huit ans. Elle dut alors prendre soin de son frère et lui trouver un toit.

A l'âge de treize ans, on dut l'amputer d'une jambe : suite à cette intervention, faite dans des conditions rudimentaires, elle fut contrainte toute sa vie de marcher avec des béquilles. Elle dut être hospitalisée à la Maison de la Miséricorde de Valence, où elle put compléter sa formation culturelle et croître dans sa vie spirituelle.

A vingt-quatre ans, avec deux amies, elle fonda la « Société Angélique » afin d'offrir une protection aux femmes seules et pour l'adoration nocturne de l'Eucharistie. Partie de la Maison mère de Saragosse, l'œuvre se diffusa rapidement.

D'un caractère affable et miséricordieux, elle dirigea avec sagesse l'œuvre qu'elle avait fondée qui, lors de l'approbation pontificale, fut appelée Congrégation des « Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus et des Saints Anges ». D'une grande dévotion à la Vierge, en particulier à travers la récitation du Rosaire, elle plaça au centre de sa vie le Cœur de Jésus et l'Eucharistie. Elle meurt à Saragosse, le 5 janvier 1956.

La population commença alors à l'invoquer sous le titre Ange de la solitude.

Genoveva Torres Morales a été béatifiée le 29 janvier 1995 et canonisée, par le même pape, saint Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), le 4 mai 2003 à Madrid (>>> Homélie du pape saint Jean-Paul II).

Autres Fêtes du Jour
 


Saint Conwoion  abbé de Redon (✝ 868)
Saint Deogratias  Evêque et confesseur à Carthage (✝ 457)
Sainte Emilienne  Tante de saint Grégoire le Grand (VIe siècle)
Bx François Peltier, Jacques Ledoyen, Pierre Tessier prêtres, martyrs de la révolution française (✝ 1794)
Saint Gerlac  Ermite à Houthem (✝ v. 1170)
Saint Grégoire d'Akritas  (✝ 820)
Saint Jean Népomucène Neumann  Evêque de Philadelphie (✝ 1860)
Bienheureuse Marcelline Darowska  fondatrice de la congrégation de l'Immaculée Conception de la Vierge Marie (✝ 1911)
Bienheureuse Marie Repetto 
religieuse italienne (✝ 1890)
Saint Ménas le Sinaïte  (VIe siècle)
Bienheureux Pierre Bonilli  fondateur de l'Institut de la Sainte Famille (✝ 1935)
Bienheureux Roger de Todi  franciscain (✝ 1237)
Saint Romanos le Néomartyr  (✝ 1694)
Sainte Synclétique  moniale en Égypte (IVe siècle)
Saint Théodore  Martyr à Cagliari en Sardaigne (✝ 313)
Saint Théoeidos  (✝ 303)

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