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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

bonne fête aux Gaston et aux Saintes âmes du 6 janvier

 Saint Gaston
 

Waast ou Vaast, évêque d'Arras (✝ 540)
Évêque d'Arras, catéchiste de Clovis.

 

...patron de l'Église qui est à Arras. 73 églises comme celle de Troisvaux portent son nom. Il est fêté le 6 février...

C'est jour de fête pour tous ceux et celles qui participent à porter l'Évangile du Christ aux quatre coins du diocèse...


"Vers l'an 500, l'évangélisation devait être reprise à zéro. L'évêque de Reims, Rémi  envoie le jeune Vaast dans la région. Il est difficile de savoir l'étendue des territoires de Cambrai et Arras qui lui sont confiés."
St Vaast: + 540 (?) (Liste des évêques - diocèse de Cambrai et Arras)
- histoire des saints, chanoine Laurent, diocèse de Saint-Dié
Un internaute nous signale qu'il est le saint patron des catéchistes dans le Pas-de-Calais.
A lire: Saint Vaast, Évêque d'Arras - Apôtre de l'Artois - document en pdf envoyé par un internaute.
À Arras, en 540, saint Vaast (Gaston), évêque. Prêtre de Toul, il catéchisa le roi Clovis, fut envoyé par saint Remi comme évêque à Arras, où il restaura cette Église ruinée après l'invasion d'Attila, la gouverna pendant une quarantaine d'années et poursuivit l’œuvre d'évangélisation des peuples encore païens de la région.

Martyrologe Romain

 

Sts Paul Miki et ses Compagnons
Martyrs (memoire)
(† 1597)

 

Une des plus dures persécutions qu'aient essuyées les chrétiens du Japon est celle de Taicosama.

La mission du Japon avait débuté avec succès en 1549 avec saint François-Xavier, mais en 1582 l'empereur voulut faire partir les Jésuites, considérés par certains comme un danger national. La méfiance s'accrut encore lorsqu'une quinzaine de Franciscains débarquèrent en 1593 et construisirent deux couvents, prêchèrent et baptisèrent de nombreux Japonais.

L'empereur du Japon ordonna en 1596 d'arrêter tous les missionnaires qu'on trouverait et de les mettre à mort. Ainsi furent arrêtés six franciscains ; trois jésuites dont Paul Miki et dix-sept laïcs tertiaires franciscains. Ils furent exposés de ville en ville pendant des semaines à la vindicte populaire afin de faire un exemple. L'empereur les envoya alors à Nagasaki où il avait fait dresser 26 croix sur lesquelles ils furent crucifiés face à la mer (face à l'Occident, comme un défi lancé à la chrétienté).

Ces vingt-six martyrs étaient :

Trois jésuites :

Paul Miki, frère jésuite, fils d'un général, premier jésuite japonais et grand prédicateur, Jean Soan (de Goto), frère jésuite japonais, Jacques Kisoï, frère jésuite japonais.

Six franciscains :

Pierre Baptiste de Saint-Esteban, prêtre espagnol, chef de la mission franciscaine au Japon, Martin d'Aguirré, prêtre espagnol, professeur de théologie, François Blanco, prêtre espagnol, Philippe de Las Casas, mexicain, frère convers, Gonzalve García, des Indes Orientales, frère convers, François de Saint-Michel, frère convers.

 Dix-sept laïcs tertiaires franciscains, tous japonais et membres de la communauté de Méaco, (arrêtés le 31 décembre 1596) :

Côme Tachegia, Michel et Thomas Cozaki, Paul Ibarki, Léon Carasumo (catéchiste et interprète), Mathias, Bonaventure, Joachim Saccakibara (mèdecin), François de Méaco (médecin), Thomas Dauki (interprète), Jean Kinoia, Gabriel de Duisco, Paul Suzuki (catéchiste et interprète) ; François Danto et Pierre Sukejiro n’étaient pas sur la liste des arrestations mais, comme ils s’obstinaient à suivre les prisonniers et à les soigner, ils furent arrêtés à leur tour ; Louis (11 ans) et Antoine (13 ans).

 Du haut de sa croix, Paul Miki continuait à prêcher pardonnant à ses bourreaux et invitant à la conversion : « Arrivé au terme où vous me voyez, dit-il, je ne pense pas qu'aucun de vous me croie capable de trahir la vérité. Eh bien ! Je vous le déclare, il n'y a pas d'autre moyen de salut que la religion chrétienne. Je pardonne aux auteurs de ma mort ; je les conjure de recevoir le baptême. »

Un autre, suspendu à une croix, n'osait se servir que des paroles du bon larron : « Seigneur, souvenez-vous de moi ! »

Les enfants ne furent pas moins admirables. Louis, répondit à un païen qui l'engageait à renoncer à sa foi : « C'est vous qui devriez vous faire chrétien, puisqu'il n'y a pas d'autre moyen de salut. »

Antoine, résista aux larmes de ses parents et aux promesses du magistrat : « Je méprise, dit-il, vos promesses et la vie elle-même : je désire d'être attaché à la croix pour l'amour de Jésus crucifié. » Du haut de sa croix, il chanta d'une voix angélique le psaume : Laudate, pueri, Dominum, Enfants, louez le Seigneur, et il eut le cœur percé d'une lance au Gloria Patri, qu'il alla chanter dans le Ciel.

Ils furent tous achevés d'un coup de lance dans le cœur. Les fidèles recueillirent le sang et les vêtements des martyrs, dont l'attouchement opéra des miracles.

 Paul Miki et ses Compagnons ont été béatifiés, par le pape Urbain VIII (Maffeo Barberini, 1623-1644), le 14 septembre 1627 et canonisés, par le bienheureux Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878), le 8 juin 1862, dans une solennité sans exemple, au milieu d'un grand concours d'évêques de toutes les parties du monde.

Ce furent les premiers martyrs du Japon.

En Belgique, cette mémoire est reportée au 7 février.

 

St Alphonse-Marie Fusco
PRÊTRE ET FONDATEUR († 1910)
Fête Le 6 Février

Martyrologe Romain : À Agri, près de Salerne en Campanie, l’an 1910, Saint Alphonse-Marie Fusco, prêtre. Adonné au ministère près des paysans, il s’employa sans trève à la formation des jeunes, surtout des pauvres et des orphelins, et fonda la Congrégation des « Sœurs de Saint-Jean-Baptiste ».

 Alfonso Maria Fusco a été béatifiée à Rome le 7 octobre 2001, par saint Jean-Paul II (Homélie du Saint Père), avec six autres Serviteurs de Dieu : Ignazio Maloyan, Evêque et martyr ; Nikolaus Gross, père de famille ; Tommaso Maria Fusco, prêtre ; Emilie Tavernier-Gamelin, religieuse ; Eugenia Picco, vierge ; Maria Euthymia Üffing, vierge.

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 Alfonso Maria Fusco a été canonisé le 16 octobre 2016, avec 6 autres Bienheureux, par le Saint Père François (Jorge Mario Bergoglio, 2013-) :
- José Luis Sánchez del Río (1926-1939), jeune martyr mexicain de la guerre civile des « Cristeros » ;
- José Gabriel del Rosario Brochero (1840-1914), prêtre argentin, surnommé le « curé gaucho » ;
- Lodovico Pavoni (1784-1849), prêtre et fondateur des Fils de Marie Immaculée ;

- Manuel Gonzalez y García (1877-1940), évêque espagnol, fondateur des Missionnaires Eucharistiques de Nazareth, surnommé l’Apôtre des tabernacles abandonnés ;
- Salomon Leclercq, frère des écoles chrétiennes, mort en martyr de la Révolution française en 1792 ;
- Élisabeth de la Trinité (Élisabeth Catez), carmélite, morte en 1906 à l’âge de 26 ans.

 

6 Février  26 Janvier
Saint Tite

Évêque et Disciple de Saint Paul
Ier siècle


 

Saint Tite naquit de parents idolâtres et dut sa conversion à saint Paul. La sainteté, le zèle, la vie admirable de celui que le grand Apôtre appelait son fils et qu'il appela bientôt son frère fit qu'il l'associa à son ministère; il le choisit comme son interprète auprès des Grecs.

Il n'est rien de touchant comme les expressions pleines de tendresse et d'affection dont il se sert chaque fois que dans ses lettres il parle de son disciple. Étant venu à Troade pour les intérêts de l'Évangile, il nous dit qu'il n'eut point l'esprit en repos parce qu'il n'y trouva pas ce frère aimé. Ailleurs il s'exprime en ces termes: "Celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolé par l'arrivée de Tite."

Nous voyons aussi Tite accompagner son maître à Jérusalem et assister avec lui au premier Concile. C'est alors que les Juifs convertis voulurent le forcer à se faire circoncire et qu'il réclama, en refusant avec énergie, la liberté de l'Évangile pour lui et les gentils.

Des divisions et des scandales s'élevèrent dans l'Église de Corinthe; pour les faire cesser, saint Paul envoya son fidèle disciple qui l'avait suivi à Éphèse. Tite fut accueilli avec respect et vénération par l'Église de Corinthe, il remit tout dans l'ordre, et, après avoir fait un bien immense à la chrétienté, il vint rejoindre saint Paul en Macédoine et lui rendre compte de sa mission et de ses heureux résultats. Le maître, heureux et content, renvoya, quelques temps après, le disciple à Corinthe porter les aumônes qu'il avait recueillies lors de son premier voyage et pour préparer les esprits des fidèles à recevoir quelques Macédoniens que saint Paul se proposait de leur mener lui-même.

Six années durant, Tite accompagna saint Paul dans ses voyages, prêchant l'Évangile avec lui et déployant un zèle infatigable pour gagner des âmes à Jésus-Christ. Quand, après sa sortie de prison, en 63, saint Paul eut évangélisé l'île de Crète, il y laissa Tite pour continuer son oeuvre.

En 64, saint Paul, qui ne pouvait se passer de Tite et qui avait besoin de lui pour l'édification des Églises nouvellement fondées, lui écrivit, dans le courant de l'automne, la lettre que nous avons à son adresse; il lui mandait de partir aussitôt que seraient arrivés ceux qu'il envoyait pour le remplacer et de venir le rejoindre à Nicopolis en Épire, où il devait passer l'hiver.

Nous le retrouvons en 65, prêchant l'Évangile aux Dalmates. Après la mort de saint Paul il retourna en Crète, gouverna sagement cette Église et évangélisa toutes les îles voisines. Plein de mérites et de jours, il s'endormit dans le Seigneur, à l'âge de quatre-vingt-quatorze ans. Pie IX a fixé la célébration de sa fête au premier jour libre après le 4 janvier.

P. Giry, Vie des Saints, p. 28-29

 

Sainte Dorothée
Vierge et Martyre
(† 304)

 


Le martyre de la vierge Dorothée nous offre encore une belle page de l'histoire des premiers siècles de l'Église. Elle était née à Césarée, en Cappadoce, où elle faisait l'étonnement des païens et l'édification des chrétiens par ses rares vertus.

Saisie comme chrétienne, elle parut les yeux baissés, mais avec fermeté, devant son juge:

"Quel est ton nom? lui demande-t-il.

-- Je me nomme Dorothée.

-- Je t'ai fait mander pour sacrifier à nos dieux immortels.

-- Je n'adore que le Dieu du Ciel, car il est écrit: "Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu ne serviras que Lui."

-- Écoute-moi et sacrifie, c'est le seul moyen d'éviter le chevalet.

-- Les souffrances du chevalet ne durent qu'un instant, mais elles me feront éviter des supplices éternels."

Le juge la fait étendre sur le chevalet pour l'intimider, mais elle réitère sa profession de foi:

"Pourquoi retardes-tu mon bonheur? Je suis chrétienne! Je n'aspire qu'à voir Celui pour qui j'affronte les tourments et la mort.

-- Et qui est Celui que tu désire?

-- C'est le Christ, le Fils de Dieu.

-- Ce sont là des folies, sacrifie et tu seras heureuse.

-- Non, je ne sacrifierai point aux démons, je suis l'épouse du Christ et je brûle de m'unir à Lui dans les Cieux."

Elle est alors livrée à deux malheureuses femmes qui avaient récemment apostasié; mais loin d'être ébranlée par elles, elle leur fit sentir l'énormité de leur faute, les convertit et assista bientôt à leur martyre.

Dorothée, à son tour, fut de nouveau étendue sur le chevalet. "Jamais, je n'ai été si heureuse, dit-elle au milieu des tourments, car j'ai rendu au Christ deux âmes que le démon Lui avait ravies." Et se tournant vers le juge: "Misérable, lui dit-elle, te voilà vaincu, toi et tes idoles!"

Elle fut condamnée à être frappée du glaive. "Je Vous rends grâces, s'écria-t-elle, ô céleste Amant des âmes, de ce que Vous m'appelez en Votre Paradis."

Comme on la menait à la mort, un païen, nommé Théophile, la pria, par raillerie, de lui envoyer "des fruits ou des roses du jardin de son Époux". Elle le lui promit. Avant de recevoir le coup mortel, elle se mit à genoux et pria. Aussitôt parut un enfant portant trois beaux fruits et des roses fraîches, bien qu'on fût en février, et il les porta, de la part de Dorothée, à Théophile, qui confessa Jésus-Christ et subit le martyre ce jour même en rendant grâces à Jésus-Christ.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Autres Fêtes du Jour

Saint Aldric  (✝ 1200)
Saint Alphonse-Marie Fusco  fondateur de la Congrégation de Saint-Jean-Baptiste. (✝ 1910)
Saint Amand d'Elnone  Evêque de Maastricht (✝ v. 676)
Bienheureux André d'Elnone  abbé (✝ 690)
Bienheureux Ange de Furci  prêtre de l'Ordre des Ermites de Saint-Augustin (✝ 1327)
Saint Antoine Deynan  martyr à Nagasaki (✝ 1597)
Saint Antolien  martyr d'Auvergne (✝ v. 265)
Saint Bonaventure de Meaco  martyr à Nagasaki (✝ 1597)
Saint Brynolphe de Skara  Evêque de Skara, en Suède (✝ 1317)
Saint Constantien  Abbé de Javron (✝ 570)
Bienheureux Diego d'Azevedo  (✝ 1207)
Sainte Dorothée  Vierge et martyre à Césarée de Cappadoce (IIIe siècle)
Sainte Fausta  martyre avec saint Evilase et saint Maxime (✝ v. 308)
Saint François Spinelli  fondateur des adoratrices du Saint-Sacrement (✝ 1913)
Saint Gérald  évêque d'Ostie (✝ 1077)
Saint Guérin  Abbé o.s.a. (✝ 1159)
Sainte Hildegonde  abbesse (✝ v. 1183)
Saint Ina  (VIIIe siècle)
Saint Jacques  (✝ 460)
Saint Julien  (IVe siècle)
Vble Maria Teresa Gabrieli cofondatrice de la congrégation des sœurs des pauvres (✝ 1908)
Bienheureuse Marie Thérèse Bonzel  religieuse allemande (✝ 1905)
Vénérable Marthe Robin  fondatrice de l'Association des Foyers de Charité (✝ 1981)
Saint Matthieu Correa  prêtre et martyr au Mexique (✝ 1927)
Saint Mel  évêque en Irlande (Ve siècle)
Saint Photius  patriarche de Constantinople (✝ 891)
Sainte Relinde  abbesse bénédictine (✝ v. 750)
Saint Silvain  évêque d'Émèse en Syrie et martyr (✝ v. 211)
Sainte Xénia  "folle en Christ" (✝ 1806)

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