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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux Jean-Théophane et Théophane et aux autres âmes Saintes du 2 février

Saint Jean-Théophane Vénard
missionnaire, martyr au Tonkin (✝ 1861)

Il gardait les vaches de son père, petit laboureur de Saint-Loup-sur-Thouet et lisait les 'Annales de la Propagation de la Foi' ce qui l'enthousiasmait. Il entra donc aux Missions Etrangères de Paris et, jeune prêtre, il partit au Vietnam du Nord. Après huit années d'apostolat clandestin, il fut décapité, à trente et un ans, après avoir passé soixante jours plié en deux dans une cage de bois, au point que son sang ne circulait plus. Jamais il ne perdit ni son courage ni sa gaieté. Il répétait alors: 'Il faut du courage dans la vie, vive la joie!'
Né le 21 novembre 1829 à Saint-Loup-sur-Thouet (Deux-Sèvres), mort le 2 Février 1861 à Hanoï.
Martyr, missionnaire au Tonkin, béatifié par Pie X en 1909.
Canonisé par Jean-Paul II à Rome le 19 juin 1988 parmi les 117 Martyrs du Vietnam
Théophane Vénard est honoré, avec tous les saints martyrs du Vietnam, le 24 novembre. Son corps ainsi que des objets lui ayant appartenu, sont aujourd'hui conservés au séminaire des Missions Etrangères. Sa tête a été gardée à la paroisse de Ke-Trü, non loin de Hanoï..
- Deuxième enfant d'une famille chrétienne très unie, la vocation missionnaire de Théophane s'éveilla à l'âge de 9 ans, à la lecture de 'la vie et la mort du vénérable Charles Cornay', originaire du Poitou tout comme lui, et martyrisé au Tonkin. Il perdit sa mère alors qu'il était en 6°. Sa sœur Mélanie remplacera de son mieux la disparue. En 1851, il demanda à son père la permission de se faire missionnaire.
Ordonné prêtre le 13 juillet 1852, il rejoignit le Tonkin le 13 juillet 1854, alors que la persécution y sévissait depuis 20 ans. Arrêté sur dénonciation le 30 novembre 1860, il fut condamné à mort et décapité le 2 février 1861. Il marcha au supplice en chantant le Magnificat.
'La perfection n'est pas plus dans un lieu que dans un autre; elle est dans la correspondance à la grâce de Dieu , là où Il nous veut'.(Lettre à sa sœur)
'Quitter la famille a été mon grand sacrifice. Je me dis pour me consoler: 'Nous nous retrouverons dans la grande famille; la famille de la terre passe, celle du ciel demeure. Allons convier à faire partie ceux qui ne la connaissent pas.'(Lettre à son frère)
'A la fin de sa vie, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus vénérait Théophane comme un saint.'
Le B. Théophane Vénard par l'Abbé A. Body - Œuvres des Bonnes Lectures 1909
À Hanoï au Tonkin, en 1861, saint Jean-Théophane Vénard, prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris et martyr. Après six années de ministère clandestin marquées par les fatigues et les angoisses, il fut dénoncé par un traître et, comme il refusait de piétiner la croix, il fut enfermé dans une cage et, d'un cœur joyeux, alla au devant de son supplice, sous l'empereur Tu Duc.

Martyrologe Romain

"Nous sommes tous des fleurs plantées sur cette terre et que Dieu cueille en son temps, un peu plus tôt un peu plus tard."

Théophane Vénard

 

Présentation de Jésus au Temple
 

rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard Syméon
Présentation de JésusCélébrée dès le IVe siècle à Jérusalem, cette fête eut d'abord pour objet la rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard Syméon. En proclamant que cet enfant était la lumière du monde et serait un signe de contradiction, le vieillard achevait de manifester que Jésus était le Messie, Sauveur du monde.

Au VIIe siècle, cette fête commence à être célébrée à Rome et s'accompagne d'une procession de pénitence qui, commencée à l'aurore, se faisait à la lumière des cierges, pour témoigner que dans la nuit du monde, Jésus était cette lumière tant attendue. La bénédiction des cierges ne date que du Xe siècle. En Gaule, la fête devint mariale, reprenant la Purification exigée des jeunes mères juives qui se faisait quarante jours après la naissance, d'où la date de la fête qui se rattache encore au mystère de Noël.
La Purification de la Vierge Marie eut lieu quarante jours après la Nativité du Seigneur. Cette fête a été nommée ordinairement de trois manières, la Purification, Hypapante ou rencontre, et la Chandeleur... Cette fête a reçu le nom d'Hypapante, ce qui est la même chose que Présentation, parce que Jésus a été présenté au temple: Hypapante veut encore dire rencontre*, parce que Siméon et Anne se rencontrèrent avec le Seigneur, qu'on offrait dans le temple.
(source: Abbaye saint Benoît.)
Vidéo présentation de Jésus au Temple sur la WebTV de la CEF.
*De hypa, qui veut dire aller, et ante, au-devant; voir aussi sur le site du service national de la pastorale liturgique et sacramentelle.
Un internaute nous écrit:
l'Église grecque melkite catholique (Liban , Syrie etc..) célèbre cette fête le 2 février, d'autres penchent pour le 3.
Fête de la Présentation du Seigneur, que les Grecs appellent Hypapante, la Rencontre. Quarante jours après sa Naissance, Jésus fut présenté au Temple par Marie et Joseph - selon les apparences, il accomplissait la Loi de Moïse - en réalité, il venait au devant de son peuple croyant et exultant, lumière pour éclairer les nations païennes et gloire d'Israël son peuple.

Martyrologe Romain

O divin Esprit, je veux être devant vous comme une plume légère, afin que votre souffle m'emporte où il veut et que je n'y apporte jamais la moindre résistance.

François-Marie Libermann - Commentaire de l'évangile selon saint Jean

Sainte Jeanne De Lestonnac

Veuve et fondatrice
(1556-1640)

 

Nièce de Montaigne, Jeanne naît à Bordeaux, aînée d'une famille très en vue de la ville : son père, Richard de Lestonnac est Conseiller au Parlement et sa mère Jeanne Eyquem, est la sœur de l'humaniste Michel de Montaigne, auteur des Essais.

 Le Calvinisme envahit la France et les guerres de religion désagrègent le pays. Sa mère, séduite par la Réforme, tente d'y attirer sa fille. Jeanne trouve en son père et son oncle Michel qui ont l'intuition de son conflit intérieur, des défenseurs de la foi Catholique.

 À dix-sept ans elle est mariée à Gaston de Montferrant Landiras. Sept enfants viennent combler cet amour qui sera partagé pendant vingt-quatre ans. Suivent des mois de douleur et de rupture : son époux et son fils aîné meurent. Ensuite son père et son oncle. Ses enfants n'ayant plus besoin d'elle, a quarante-six ans elle entre chez les Feuillantines, monastère cistercien très strict de Toulouse. Elle prend le nom de Jeanne de Saint Bernard. Elle invoque l'Esprit pour que la lumière brille dans ses ténèbres. Soudain une double vision : une multitude de jeunes en danger et Marie qui est là, présente. Et un double engagement de la part de Jeanne : tendre la main à cette jeunesse en danger et vivre avec les attitudes de Marie.

 À son retour des Feuillantines, Jeanne se retire dans ses terres de La Mothe. Elle vit patiemment une longue et confiante attente. Elle projette le nouvel Institut qui, tentera de remplir un manque concret en France au XVIIe siècle : l'éducation féminine dans toutes ses dimensions.

En 1605 une peste envahit Bordeaux. Jeanne brave la contagion et aide dans les quartiers les plus démunis. Là elle découvre le mystère du pauvre, présence vivante de Jésus. Ce service lui facilite aussi la rencontre avec des jeunes qui, attirées par sa personnalité, s'engagent dans son projet apostolique. Elle prend contact avec les jésuites de Bordes et Raymond préoccupés eux aussi par l'éducation des filles.

 Le pape Paul V approuve la première communauté de la Compagnie de Marie Notre-Dame le 7 avril 1607. Jeanne a cinquante ans.

 Elle meurt le 2 février 1640 à l'âge de quatre-vingt-quatre ans laissant derrière elle une trentaine de Maisons de Notre-Dame.

Jeanne De Lestonnac a été canonisée, le 15 mai 1949, par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958).

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Adalbade  Martyr originaire du nord de la France (✝ 652)
Bienheureux André Charles Ferrari  Cardinal archevêque de Milan (✝ 1921)
Saint Apronien  martyr (✝ v. 304)
Bienheureux Benedict Daswa  martyr en Afrique du Sud (✝ 1990)
Saint Burchard  Evêque de Wurtzbourg (✝ 752)
Sainte Catherine de Ricci  Prieure des Dominicaines de Prato (✝ 1590)
Saint Colomban  Reclus irlandais (✝ 959)
Bienheureux Etienne Bellesini  prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (✝ 1840)
Sainte Feock  En Cornouailles (date ?)
Saint Floscule  Evêque d'Orléans (✝ v. 480)
Vénérable François Libermann  prêtre (✝ 1852)
Saint Gabriel  Crieur pour l'église du Patriarcat des Iles aux princes (✝ 1676)
Saint Goal  Ermite breton (VIIe siècle)
Sainte Hadeloge  Vierge au monastère de Kintzingen (VIIIe siècle)
Saint Jourdain de Trébizonde  Chaudronnier à Constantinople (✝ 1650)
Saint Laurent de Cantorbery  Premier successeur de saint Augustin de Cantorbery (✝ 619)
Sainte Maria-Katharina Kasper  fondatrice de la congrégation des Pauvres Servantes de Jésus-Christ (✝ 1898)
Sainte Marie-Dominique Mantovani  cofondatrice de la congrégation de la Sainte-Famille (✝ 1934)
Saint Nicolas Saggio de Longobardi  religieux de l'Ordre des Minimes (✝ 1709)
Bienheureux Pierre Cambian  Dominicain, inquisiteur dans le Piémont (✝ 1365)
Bienheureux Simon Fidati  prêtre de l'Ordre des Ermites de Saint- Augustin (✝ 1348)
Vénérable Vincenzina Cusmano  première supérieure générale de la congrégation des 'Serve dei Poveri' (✝ 1894)

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