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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Parce que nous croyons en lui, Notre Seigneur Jésus prend nos souffrances, et il porte nos maladies.

LECTURES DE LA MESSE
 

PREMIÈRE LECTURE
« Mon fils Absalom ! Pourquoi ne suis-je pas mort à ta place ? » (2 S 18, 9-10.14b.24-25a.30 – 19, 4)
Lecture du deuxième livre de Samuel

En ces jours-là, dans sa fuite, Absalom se retrouva par hasard en face des serviteurs de David.
Il montait un mulet, et le mulet s’engagea sous la ramure d’un grand térébinthe. La tête d’Absalom se prit dans les branches, et il resta entre ciel et terre, tandis que le mulet qui était sous lui continuait d’avancer. Quelqu’un l’aperçut et avertit Joab :
« Je viens de voir Absalom suspendu dans un térébinthe. »
    Joab se saisit de trois épieux qu’il planta dans le cœur d’Absalom,
 David était assis à l’intérieur de la double porte de la ville. Un guetteur allait et venait sur la terrasse de la porte, au-dessus du rempart ; comme il regardait au loin, il aperçut un homme seul qui courait. Le guetteur cria pour avertir le roi, et le roi dit :
« S’il est seul, c’est qu’il a une bonne nouvelle à nous annoncer. »
    Le roi lui dit :
« Écarte-toi et tiens-toi là. »
Il s’écarta et attendit. Alors arriva l’Éthiopien, qui déclara :
« Bonne nouvelle pour mon seigneur le roi !
Le Seigneur t’a rendu justice aujourd’hui, en t’arrachant aux mains de tous ceux qui se dressaient contre toi. »
    Le roi demanda :
« Le jeune Absalom est-il en bonne santé ? » Et l’Éthiopien répondit :
« Qu’ils aient le sort de ce jeune homme, les ennemis de mon seigneur le roi, et tous ceux qui se sont dressés contre toi pour le mal ! »

    Alors le roi fut bouleversé, il monta dans la salle au-dessus de la porte, et il se mit à pleurer. Tout en marchant, il disait :
« Mon fils Absalom ! mon fils ! mon fils Absalom !
Pourquoi ne suis-je pas mort à ta place ? Absalom, mon fils ! mon fils ! »  On alla prévenir Joab :
« Voici que le roi pleure : il est en deuil d’Absalom. »
    La victoire, ce jour-là, se changea en deuil pour toute l’armée, car elle apprit ce jour-là
que le roi était dans l’affliction à cause de son fils.
    Et ce jour-là, l’armée rentra dans la ville à la dérobée, comme se dérobe une armée qui s’est couverte de honte en fuyant durant la bataille.

            – Parole du Seigneur.

PSAUME
(Ps 85, 1-2, 3-4, 5-6)
R/ Écoute, Seigneur, réponds-moi ! (Ps 85, 1a)

Écoute, Seigneur, réponds-moi,
car je suis pauvre et malheureux.
Veille sur moi qui suis fidèle, ô mon Dieu,
sauve ton serviteur qui s’appuie sur toi.

Prends pitié de moi, Seigneur,
toi que j’appelle chaque jour.
Seigneur, réjouis ton serviteur :
vers toi, j’élève mon âme !

Toi qui es bon et qui pardonnes,
plein d’amour pour tous ceux qui t’appellent,
écoute ma prière, Seigneur,
entends ma voix qui te supplie.

ÉVANGILE
« Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! » (Mc 5, 21-43)
Alléluia. Alléluia.
Le Christ a pris nos souffrances, il a porté nos maladies.
Alléluia. (Mt 8, 17)

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

En ce temps-là, Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer. Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre.
Voyant Jésus, il tombe à ses pieds et le supplie instamment :
« Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »
    Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait.

    Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans…
    – elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration ; au contraire, son état avait plutôt empiré
–… cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet :
« Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée. »
    À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal.
    Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demandait :
« Qui a touché mes vêtements ? » Ses disciples lui répondirent :
« Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes : “Qui m’a touché ?” »
     Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela.  Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé,
vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité. Jésus lui dit alors :
« Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. »

    Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci :
« Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître ? »
    Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue :
« Ne crains pas, crois seulement. »  Il ne laissa personne l’accompagner,sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques.
    Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation,
et des gens qui pleurent et poussent de grands cris. Il entre et leur dit :
« Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte : elle dort. »
    Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui ; puis il pénètre là où reposait l’enfant.
    Il saisit la main de l’enfant, et lui dit :
« Talitha koum », ce qui signifie :
« Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! »
    Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher
– elle avait en effet douze ans.
Ils furent frappés d’une grande stupeur. Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne ; puis il leur dit de la faire manger.

            – Acclamons la Parole de Dieu.

 

PAROLES DU SAINT PÈRE


Telle est la miséricorde de Dieu. Nous devons avoir du courage et aller auprès de Lui, demander pardon pour nos péchés et aller de l’avant. Avec courage, comme l’a fait cette femme. De plus, le « salut » revêt plusieurs caractéristiques: avant tout, il restitue la santé à la femme ;
puis il la libère des discriminations sociales et religieuses ;
en outre, il réalise l’espérance qu’elle portait dans le cœur en éliminant ses peurs et sa gêne ;
enfin, il la rend à la communauté en la libérant de la nécessité d’agir de manière cachée. Ce que Jésus donne est un salut total, qui réintègre la vie de la femme dans la sphère de l’amour de Dieu et, dans le même temps, la rétablit dans sa pleine dignité.

(Audience générale 31 août 2016)

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