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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Barnabé et autres fêtes des Saintes âmes du 11 juin

Saint Barnabé
 

Il reçut la grâce et la plénitude du Saint-Esprit

Persuadé que les vices n’ont jamais plus d’empire que sous le règne de l’ignorance, source de tous les désordres, il organise l’instruction publique, très-négligée dans ce pays. Bernard réunit des hommes dignes et capables à la cité ; il fonde des écoles dans les campagnes ; il se fait un devoir de n’accepter pour cette mission que des hommes vertueux et instruits ; par ses visites assidues, il rétablit le respect qu’on doit aux églises, et remet en vigueur la discipline ecclésiastique par l’observance des canons et par la piété dont lui-même donne l’exemple.

La naissance au ciel de saint Barnabé, apôtre, natif de l’ile de Chypre, qui fut ordonné apôtre des Gentils avec saint Paul par les disciples, et parcourut plusieurs pays avec lui en exerçant le ministère de la prédication de l’Évangile, dont il avait été chargé. Enfin, étant allé en Chypre, il ennoblit son apostolat par un glorieux martyre. Son corps, par l’avertissement qu’il donna lui-même dans une révélation, fut trouvé, du temps de l’empereur Zénon, avec un exemplaire de l’évangile de saint Matthieu, écrit de la main de saint Barnabé. Vers 61.

Saint Barnabé n’est pas des douze Apôtres que Notre-Seigneur choisit avant sa mort, et qu’il fit les douze fondements de son Église ; mais il ne laisse pas de mériter le nom d’Apôtre, puisqu’il fut appelé par le Saint-Esprit, avec saint Paul, pour porter de tous côtés la lumière de l’Évangile.

Il était hébreu et de la tribu de Lévi, qui a toujours été reconnue pour la seule tribu sacerdotale. Ses parents s’étant retirés dans l’île de Chypre, où ils avaient de grands biens, il y naquit vers le temps de la naissance de Notre-Seigneur, et fut appelé José ou Joseph. Après avoir été élevé dans l’observance fidèle de la loi de Moïse, qui subsistait encore en ce temps-là, il alla à Jérusalem pour y étudier les saintes Écritures et les mystères de cette loi, sous Gamaliel et d’autres savants maîtres. Saint-Étienne et saint Paul, qui pour lors s’appelait Saul, fréquentaient aussi cette école ; notre Saint contracta une étroite amitié avec eux. Là corruption de son siècle, qui était extrême, ne fut pas capable de le corrompre, et quoiqu’il fût encore fort jeune, il domptait son corps par de longs jeûnes, et passait les jours et les nuits entières en prières dans le temple ; il fuyait avec un très grand soin les mauvaises compagnies, et toute sa joie était de converser avec des personnes pieuses et qui se plussent à parler de Dieu et des vérités qu’il nous a apprises dans les saints livres.

Cette insigne piété le disposa à recevoir les lumières de l’Évangile. Lorsque Notre-Seigneur vint à Jérusalem y prêcher sa doctrine toute céleste, notre Saint eut le bonheur de l’entendre ; et voyant, en même temps, les grands miracles qu’il faisait pour confirmer sa mission, il le reconnut pour le Messie, se mit à sa suite, et s’estima extrêmement heureux d’être du nombre de ses disciples. Il procura aussi le même honneur à Jean, surnommé Marc, son cousin, et à la mère de ce jeune homme nommée Marie, qui était sa tante.

Il reçut la grâce et la plénitude du Saint-Esprit

 

Saint Barnabé profita admirablement dans l’école du Fils de Dieu ; et ayant été désigné par lui pour un de ses soixante-douze principaux disciples, il donna un témoignage insigne de son dégagement de toutes les choses de la terre. Car, étant devenu maitre, après la mort de ses parents, des grands biens qu’ils possédaient dans l’île de Chypre, il les vendit tous et en distribua l’argent aux pauvres, ne se réservant rien qu’une maison qu’il avait aux portes de Jérusalem, dont il remit la vente à une autre fois, peut-être parce que c’était une possession de lévite, dont il ne pouvait se défaire sans avoir l’agrément du souverain prêtre. Après la résurrection du Fils de Dieu, il le vit, comme les autres disciples, dans l’éclat de sa gloire ; et, ayant assisté à son élévation dans le ciel, il reçut aussi, en la compagnie de ses confrères, au jour de la Pentecôte, la grâce et la plénitude du Saint-Esprit. Ce fut alors que, fermant les yeux à toutes les considérations humaines, il vendit la maison qu’il avait au faubourg de Jérusalem, et en apporta l’argent aux pieds des Apôtres. Ce fut peut-être en ce temps qu’on changea son nom de Joseph en celui de Barnabé, qui signifie, d’après saint Luc, Fils de consolation, et, d’après saint Jérôme, fils de prophète ; il fut ainsi nommé, dit saint Jean Chrysostome, à cause du talent admirable qu’il avait pour consoler les affligés.

Il présente saint Paul aux Apôtres
 

À peine eut-il été rempli du Saint-Esprit qu’il s’appliqua avec les Apôtres et les autres disciples à éclairer les Juifs, et à leur faire connaître que Jésus-Christ était le Messie. Et, comme saint Paul, l’un des plus savants et des plus zélés de la synagogue, était son ami, il travailla surtout avec saint Étienne à le gagner, se servant pour cela des passages de la loi et des Prophètes qu’ils avaient étudiés ensemble, et lui démontrant qu’ils s’étaient accomplis dans le Sauveur. Il ne put opérer la conversion de ce grand homme, réservée à un coup extraordinaire de la grâce ; mais il l’y prépara, et lui donna sur le christianisme des lumières qui durent lui servir plus tard. Lorsque, sorti de Damas, où les Juifs le voulaient faire mourir, saint Paul fut venu à Jérusalem, ce fut saint Barnabé qui le présenta aux Apôtres, les assurant que sa conversion était véritable. Sa recommandation fut si puissante, que le chef des Apôtres reçut Saul dans sa maison et le retint plusieurs jours avec lui. Cependant, quelques disciples, nommés Lucius de Cyrène, Manahen et Simon, surnommé le Noir, vinrent à Antioche et, ne se contentant pas de prêcher aux Juifs, firent aussi part aux Grecs de la semence précieuse de l’Évangile. Plusieurs écoutèrent leur parole comme une parole de Dieu, et il se fit dans cette ville une nouvelle Église pleine de piété et de ferveur, à l’imitation de celle qui était dans Jérusalem.

Apostolat de saint Barnabé et saint Paul à Antioche
 

Les Apôtres, informés d’un si heureux succès, envoyèrent saint Barnabé à Antioche pour mettre la dernière main à cette œuvre. Il y vint avec beaucoup de joie ; et lorsqu’il reconnut les progrès que l’Évangile y avait faits, il en ressentit une satisfaction extraordinaire, et exhorta, avec un zèle incroyable, ces nouveaux fidèles à persévérer constamment dans leurs bonnes résolutions ; il en augmenta le nombre, de sorte que cette Église, grossissant beaucoup, il eut besoin d’un coopérateur qui l’assistât ; saint Paul étant pour lors à Tarse, Barnabé alla l’y trouver et l’invita à partager ses travaux à Antioche. Saint Paul, plein d’un zèle ardent, l’y suivit : ils y passèrent ensemble une année, pendant laquelle Dieu donna de grandes bénédictions à leur zèle apostolique. Ce fut en ce temps et dans cette ville que les fidèles commencèrent à porter le nom de Chrétiens, afin de montrer à tout le monde qu’ils ne rougissaient point de reconnaître Jésus-Christ pour chef et pour maître.

Ses vertus
 

À en juger par les éloges que l’écrivain sacré fait de lui, Barnabé devait être le modèle comme le prédicateur de la nouvelle doctrine qu’il annonçait. Il en avait les deux vertus par excellence, la douceur et l’humilité. Apprenez de moi, disait Jésus-Christ, que je suis doux et humble de cœur. Tels étaient les deux grands caractères de la loi nouvelle, l’esprit de sacrifice et d’amour : l’esprit de sacrifice, qui devait vaincre l’égoïsme ; l’amour, qui devait terrasser l’orgueil des grands et des philosophes, enfants de la civilisation païenne, qui menaçaient de détruire la société.

Saint Barnabé, dit l’Écriture, était un homme plein de foi, c’est-à-dire qu’il soumettait sa raison aux vérités que l’Église enseigne, qu’il accomplissait avec zèle les lois de la morale évangélique, et qu’il attendait, avec une espérance ferme, avec une conviction qui l’inondait de joie, la couronne que l’Homme-Dieu a promise à ceux qui sacrifient leur volonté propre et leur faible intelligence à l’accomplissement de sa loi. De plus, il était bon par excellence, c’est-à dire qu’il fuyait les disputes, qui engendrent les hérésies et les schismes, qu’il aimait à secourir les pauvres, et qu’il accueillait avec charité le pécheur qui venait demander pardon à Dieu de ses fautes. Avec cela, il avait pris une large part de cette effusion miraculeuse de grâce, de force, de doctrine évangélique, dont l’âme des disciples du cénacle avait été remplie. Supérieur aux désirs de la chair, aux vaines séductions, aux menaces du monde, qui ne peut tuer que le corps, il n’avait qu’une crainte, celle de déplaire à Dieu, parce qu’il n’avait- qu’une espérance, celle de participer à la couronne et au bonheur des élus.
Paul, à droite, avec Marc. Diptyque

Les Quatre Apôtres de Albrecht Dürer (1526), Alte Pinakothek, Munich.
Saint Barnabé soignant les pauvres de Véronèse, Musée des beaux-arts de Rouen
Saint Barnabé soignant les pauvres de Véronèse, Musée des beaux-arts de Rouen
Mais peut-être n’était-ce pas encore assez de tant de vertus pour faire un apôtre, pour faire luire la lumière d’une nouvelle doctrine aux yeux des Juifs, dont les docteurs commençaient à méconnaître le vrai sens des prophéties. Il fallait encore de ces miracles éclatants qui arrachent à l’incrédule cette touchante parole :

« Le doigt de Dieu est ici, ainsi que sa parole, ainsi que sa révélation ».

Préparé à recueillir les mérites de l’apostolat, soldat courageux qui ne demandait que des armes pour aller combattre l’erreur et mourir, il obtint de Dieu cette puissance des œuvres, merveilleuse pour la multitude, moins étonnante peut-être pour le chrétien que l’humilité du thaumaturge qui lutte contre l’orgueil qu’elle peut enfanter. Il l’exerça longtemps à Antioche ; mais le temps approchait où il allait affronter bien d’autres périls, et donner sa vie mille fois, pour le nom du Seigneur Jésus.

La famine prédite par le prophète Agabus, étendait partout ses ravages en Orient. La Palestine surtout en était affligée, et les chrétiens de ce pays, abandonnés peut-être à toutes les horreurs du fléau, par suite de la haine des Juifs et des païens, étaient près de mourir de faim. Alors, au nom de cette religion qui lui avait persuadé de distribuer généreusement sa fortune aux pauvres, Barnabé recueillit, parmi ses enfants d’Antioche, une somme considérable, pour assister les chrétiens de Judée. Saint Paul et saint Barnabé furent chargés d’aller la remettre eux-mêmes aux pasteurs de cette Église, et de porter aux fidèles de Jérusalem le baiser de paix de leurs frères de Syrie, qui venaient si charitablement à leur secours. Nos Apôtres firent donc ce voyage ; en revenant ils amenèrent avec eux, Jean, surnommé Marc, dont nous avons déjà parlé.

Peu de temps après, le Saint-Esprit ordonna à quelques disciples, prédicateurs de l’Évangile à Antioche, que nous avons nommés plus haut, tous doués du don de prophétie, et qui invoquaient Dieu dans le jeûne et la prière, de séparer Paul et Barnabé pour l’œuvre à laquelle il les avait destinés. Séparer, veut dire ici mettre à part pour exercer des fonctions divines, arracher à toute autre occupation. Suivant cet ordre, l’Église implora d’abord les bénédictions célestes, puis saint Barnabé et saint Paul reçurent l’imposition des mains. Il est probable qu’ils étaient déjà évêques : par cette cérémonie, on les fit Apôtres des Gentils. Ainsi, saint Barnabé fut avec saint Paul envoyé aux nations avec un plein pouvoir de prêcher la foi, d’ordonner des prêtres, de sacrer des évêques, d’établir des églises et de donner des lois. Accompagnés du jeune Marc, ils allèrent d’abord à Séleucie de Syrie, ville située sur le bord de la mer ; ensuite ils firent voile pour l’île de Chypre, qui était le pays de saint Barnabé, où ils prêchèrent principalement à Salamine et à Paphos, les plus célèbres de toutes les villes de l’île ; puis ils passèrent à Perge, ville de la Pamphylie, où Jean, surnommé Marc, qui les avait toujours suivis, les quitta pour s’en retourner à Jérusalem, n’ayant pas le courage de poursuivre le ministère de la prédication qu’il avait commencé avec tant de zèle. De là, continuant leur route, ils vinrent à Antioche de Pisidie et à Iconium de Lycaonie, où on voulut les lapider, et où ils convertirent sainte Thècle ; ils allèrent aussi à Lystre, où les idolâtres prirent Barnabé pour Jupiter et Paul pour Mercure, et à Derbe, ville de la même province ; mais, en ayant été chassés, ils retournèrent sur leurs pas jusques à Perge, d’où ils descendirent à Attalie, et se rendirent enfin à Antioche de Syrie, où ils demeurèrent assez longtemps.
Barnabé se rendit ensuite avec saint Paul à Jérusalem, pour se trouver au premier Concile que les Apôtres y célébrèrent au sujet de la Circoncision et des autres cérémonies légales, c’est-à-dire pour examiner si on les devait observer dans l’Église. Après le Concile, Paul et Barnabé furent renvoyés à Antioche par les Apôtres, avec Jude et Silas, deux autres disciples, pour y porter le décret qui venait d’être fait, savoir :

« Que les fidèles ne seraient nullement obligés à garder les observances et les cérémonies de la loi de Moise, mais seulement à s’abstenir de fornication et de manger des animaux étouffés et du sang ».

Ce fut alors que saint Paul proposa à saint Barnabé de faire la visite des Églises qu’ils avaient fondées en Asie. Barnabé y consentit, mais à condition que Jean-Marc, son cousin, qui désirait réparer sa désertion, les accompagnerait. Saint Paul fut d’un avis différent, et crut qu’ils ne devaient plus s’associer un homme qui avait été si lâche. Ne pouvant s’entendre sur ce point, les deux Apôtres se séparèrent, sans aucune altération de la tendresse qu’ils avaient l’un pour l’autre : le Saint-Esprit le permit, afin que, prêchant chacun de son côté, ils annonçassent l’Évangile en plus de pays. Quant à Jean-Marc, il devint un infatigable prédicateur, et mérita les éloges de saint Paul, qui le pria même de venir le joindre pour partager ses travaux apostoliques.

Sainte Paola Frassinetti
Vierge, fondatrice de la Congrégation des
‘Sœurs de Sainte-Dorothée’

Paule Frassinetti naît le 3 mars 1809 à Gênes (Ligurie, Italie) et est baptisée le même jour dans la paroisse S. Stefano. Elle n'a que neuf ans quand sa mère Angela meurt, et à douze ans, seule fille dans la famille, elle doit tenir la maison. Elle souhaitait devenir religieuse, mais son père, Giovanni Battista, ayant besoin d'elle au foyer, le lui refuse. Elle accepte en vivant dans la prière et la mortification.

À l'âge de 19 ans, épuisée par toutes les tâches qui lui incombent, et souffrant de troubles respiratoires, elle part chez son frère aîné Giuseppe, curé de Quinto, petit village au bord de la mer. Là, elle s'occupe du catéchisme ; ses dons de pédagogue envers les petits enfants se révèlent, et il lui vient à l'esprit de fonder un institut pour s'occuper des enfants pauvres et abandonnés. Le 12 août 1834, six jeunes filles, avec elle, se consacrent à Dieu sous le nom de Filles de la Croix. Elles ouvrent une école. Elles assurent la subsistance de la jeune congrégation en travaillant la nuit, mais elles sont pleines d'enthousiasme, et l'école remporte un grand succès.

Un prêtre, ami de son frère, avait fondé de son côté un groupe pour s'occuper de la jeunesse pauvre, dédié à Sainte Dorothée. Il demande à Paola de le prendre en charge. Elle accepte sans hésiter et, en 1835, les ‘Filles de la Croix’ deviennent ‘Sœurs de Sainte-Dorothée’.

Paola s'en va à Rome, où désormais elle passera la plus grande partie de sa vie. Le pape Grégoire XVI (Bartolomeo Cappellari, 1831-1846) l'encourage vivement, et lui confie, en 1844, l'établissement de Sainte-Marie-du-Refuge, près de l'église Sant’Onofrio del Gianicolo, plus connu sous le nom de Conservatorio Torlonia, qui deviendra la Maison Mère de la Congrégation. À son tour, le Bx Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878) l'aidera et la soutiendra en approuvant sa fondation en 1863.

Elle meurt sereinement à Rome, en invoquant la Vierge Marie, le 11 juin 1882. Mais de son vivant, elle a vu sa congrégation essaimer au Portugal et au Brésil.
Paola Frassinetti a toute sa vie vénéré la Croix. Elle disait : « Ah, n'importe quelle punition, mais ne m'enlevez pas ma croix ! ». Elle était animée d'une profonde force intérieure, soutenue par sa dévotion au Sacré-Cœur.
Les Sœurs de Sainte-Dorothée sont présentes en : Europe (Italie, Espagne, Malte, Portugal, Royaume Uni, Suisse) ; Amérique du Nord (U.S.A.) ; Amérique Latine (Brésil, Pérou) ; Afrique (Angola, Mozambique) ; Asie (Taiwan).

Paola Frassinetti a été béatifiée le 8 juin 1930 par le pape Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti, 1922-1939) et canonisée, le 11 mars 1984, par saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005)

Autres Fêtes du Jour
 

Sainte Adélaïde  Cistercienne à la Cambre (✝ 1250)
Saint Bardon  Archevêque de Mayence (✝ 1051)
Bienheureux Étienne Bandelli  dominicain prédicateur en Italie (✝ 1450)
Saint Herebald  ermite en Bretagne (VIIIe siècle)
Bienheureux Hugues  (✝ 1158)
Bienheureux Ignace Maloyan  évêque de Mardine en Turquie et martyr (✝ 1915)
Bienheureux Jean d'Avellino Frère franciscain de Naples (✝ 1329)
Saint Jean de Saint-Facond  Religieux augustin à Salamanque (✝ 1479)
Bienheureux Leonard Melki  prêtre martyr en Turquie (✝ 1915)
Les Martyrs de Pékin  (✝ 1900)
Bse Maria Schininà  fondatrice des religieuses du Coeur de Jésus en Sicile (✝ 1910)
Sainte Marie-Rose fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame de la Consolation en Espagne (✝ 1876)
Saint Maxime  évêque de Naples (IVe siècle)
Saint Parisius  prêtre camaldule (✝ 1267)
Saint Rembert  archevêque de Hambourg-Brême (✝ 888)
Bienheureuse Yolande  Princesse hongroise, clarisse (✝ 1299)

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