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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Le Christ a pris nos souffrances, il a porté nos maladies.

Les Prières et les Lectures

de la Messe du Jour

 

INTRODUCTION


V/ Dieu, viens à mon aide,
R/ Seigneur, à notre secours.

Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit, au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles. Amen. (Alléluia.

1

PAROLE DE DIEU : DN 6, 27B-28A
Notre Dieu est le Dieu vivant, il demeure éternellement ; son règne ne sera pas détruit, sa souveraineté n’aura pas de fin. Il délivre et il sauve, il accomplit des signes et des prodiges, au ciel et sur la terre.

 

INTERCESSION


En union avec Marie, Mère de Dieu, et tous les saints, nous supplions le Seigneur :

R/ Délivre-nous, Seigneur.


Par le mystère de ta sainte incarnation, Par ta venue en ce monde, R/ Délivre-nous, Seigneur.

Par ta naissance et ton épiphanie, Par ton baptême et ton jeûne au désert, R/ Délivre-nous, Seigneur.

Par ta croix et ta passion, Par ta mort et ta mise au tombeau, R/ Délivre-nous, Seigneur.

Par ta résurrection du séjour des morts, Par ton admirable ascension, R/ Délivre-nous, Seigneur.

Par la venue du Saint-Esprit consolateur, Au jour du jugement, R/ Délivre-nous, Seigneur.

2
 

PAROLE DE DIEU: PH 4, 8.9B


Frères, tout ce qui est vrai et noble, tout ce qui est juste et pur, tout ce qui est digne d’être aimé et honoré, tout ce qui s’appelle vertu et qui mérite des éloges, tout cela, prenez-le à votre compte. Et le Dieu de la paix sera avec vous.

INTERCESSION
Pour rendre gloire au Père, au Fils et à l’Esprit, prions et supplions :


R/ Sauve-nous, Dieu de l’univers !
Béni sois-tu, Seigneur, pour le monde et ses merveilles : 
— que ta justice et ton amour emplissent la terre.


Béni sois-tu, Seigneur, Parole vivante du Père : 
— que ton Évangile parvienne à toutes les nations.


Béni sois-tu, Seigneur, Esprit de vie : 
— que ton souffle renouvelle la face de la terre.


Béni sois-tu, Seigneur de ton peuple : 
— que ton Église témoigne pour l’espérance.


Béni sois-tu, Seigneur des vivants : 
— fais entrer les défunts dans l’éternelle joie.


NOTRE PÈRE


ORAISON
Dieu éternel, tu as écouté la prière de ton Christ, et tu l’as délivré de la mort ; ne permets pas que nos cœurs se troublent, rassure-nous dans notre nuit, comble-nous de ta joie, et nous attendrons dans le silence et la paix que se lève sur nous la lumière de la Résurrection. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

BÉNÉDICTION
Que le Seigneur nous bénisse,
qu’il nous accorde sa Miséricorde
et nous garde dans la paix. Amen.

HYMNE : HEUREUSE ES-TU, VIERGE MARIE !
Heureuse es-tu, Vierge Marie !
Par toi, le salut est entré dans le monde.
Comblée de gloire, tu te réjouis devant le Seigneur,
tu cries de joie à l'ombre de ses ailes.
Sainte Mère de Dieu,
prie pour nous, pauvres pécheurs.

 

 

LECTURES DE LA MESSE
 

PREMIÈRE LECTURE
« Le cœur du peuple crie vers mon Seigneur, sur la muraille de la fille de Sion » (Lm 2, 2.10-14.18-19)
Lecture du livre des Lamentations

Le Seigneur a englouti sans pitié tous les pâturages de Jacob ; dans son emportement, il a détruit les forteressesde la fille de Juda ; il a jeté à terre et profanéle royaume et ses princes.
    Les anciens de la fille de Sion, assis par terre, se taisent, ils ont couvert leur tête de poussière et revêtu des toiles à sac ; elles inclinent la tête vers la terre, les vierges de Jérusalem.
    Mes yeux sont usés par les larmes, mes entrailles frémissent ; je vomis par terre ma bile face au malheur de la fille de mon peuple, alors que défaillent petits enfants et nourrissons sur les places de la cité.
    À leur mère ils demandent :
« Où sont le froment et le vin ? »
alors qu’ils défaillent comme des blessés sur les places de la ville et qu’ils rendent l’âme
sur le sein de leur mère.
    Que dire de toi ? À quoi te comparer, fille de Jérusalem ? À quoi te rendre égale pour te consoler, vierge, fille de Sion ? Car ton malheur est grand comme la mer ! Qui donc te guérira?
    Tes prophètes ont de toi des visions vides et sans valeur ; ils n’ont pas dévoilé ta faute, ce qui aurait ramené tes captifs ; ils ont de toi des visions, proclamations vides et illusoires.
    Le cœur du peuple crie vers le Seigneur.

Laisse couler le torrent de tes larmes, de jour comme de nuit, muraille de la fille de Sion ; ne t’accorde aucun répit, que tes pleurs ne tarissent pas !

    Lève-toi ! Pousse un cri dans la nuit au début de chaque veille ; déverse ton cœur comme l’eau devant la face du Seigneur ; élève les mains vers lui pour la vie de tes petits enfants qui défaillent de faim à tous les coins de rue.

            – Parole du Seigneur.

PSAUME
(Ps 73 (74), 1-2abd, 3-4, 5-7, 20-21)
R/ N’oublie pas sans fin la vie de tes pauvres. (Ps 73, 19b)

Pourquoi, Dieu, nous rejeter sans fin ?
Pourquoi cette colère sur les brebis de ton troupeau ?
Rappelle-toi la communauté que tu acquis dès l’origine,
la montagne de Sion où tu fis ta demeure.

Dirige tes pas vers ces ruines sans fin,
l’ennemi dans le sanctuaire a tout saccagé ;
dans le lieu de tes assemblées, l’adversaire a rugi
et là, il a planté ses insignes.

On les a vus brandir la cognée, comme en pleine forêt,
quand ils brisaient les portails à coups de masse et de hache.
Ils ont livré au feu ton sanctuaire,
profané et rasé la demeure de ton nom.

Regarde vers l’Alliance : la guerre est partout ;
on se cache dans les cavernes du pays.
Que l’opprimé échappe à la honte,
que le pauvre et le malheureux chantent ton nom ! 

 

ÉVANGILE
« Beaucoup viendront de l’orient et de l’occident et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob » (Mt 8, 5-17)
Alléluia. Alléluia.
Le Christ a pris nos souffrances, il a porté nos maladies.
Alléluia. (Mt 8, 17)

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

    En ce temps-là, comme Jésus était entré à Capharnaüm, un centurion s’approcha de lui et le supplia :
    « Seigneur, mon serviteur est couché, à la maison, paralysé, et il souffre terriblement. »  Jésus lui dit :
« Je vais aller moi-même le guérir. »
    Le centurion reprit :
« Seigneur, je ne suis pas digne, que tu entres sous mon toit, mais dis seulement une parole et mon serviteur sera guéri.
    Moi-même qui suis soumis à une autorité, j’ai des soldats sous mes ordres ; à l’un, je dis : “Va”, et il va ; à un autre : “Viens”, et il vient, et à mon esclave : “Fais ceci”, et il le fait. »
    À ces mots, Jésus fut dans l’admiration et dit à ceux qui le suivaient :
« Amen, je vous le déclare, chez personne en Israël, je n’ai trouvé une telle foi.
    Aussi je vous le dis :
Beaucoup viendront de l’orient et de l’occident et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob au festin du royaume des Cieux, mais les fils du Royaume seront jetés dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
    Et Jésus dit au centurion :
« Rentre chez toi, que tout se passe pour toi selon ta foi. » Et, à l’heure même, le serviteur fut guéri.

    Comme Jésus entrait chez Pierre, dans sa maison, il vit sa belle-mère couchée avec de la fièvre.
    Il lui toucha la main, et la fièvre la quitta. Elle se leva, et elle le servait.

    Le soir venu, on présenta à Jésus beaucoup de possédés.
D’une parole, il expulsa les esprits et, tous ceux qui étaient atteints d’un mal, il les guérit, pour que soit accomplie la parole prononcée par le prophète Isaïe :
Il a pris nos souffrances, il a porté nos maladies.

            – Acclamons la Parole de Dieu.

PAROLES DU SAINT PÈRE


Dans la famille de Nazareth, la stupeur n’a jamais manqué, pas même à un moment aussi dramatique que celui de la perte de Jésus :
c’est la capacité d’être stupéfait devant la manifestation graduelle du Fils de Dieu, c’est la même stupeur qui frappe également les docteurs du Temple, qui l’admirent
« pour son intelligence et ses réponses » (v. 47).
Mais qu’est-ce que la stupeur, qu’est-ce que rester stupéfait ? Être saisi de stupeur et s’émerveiller c’est le contraire de tout prendre pour acquis, c’est le contraire d’interpréter la réalité qui nous entoure et les événements de l’histoire uniquement selon nos critères.

(ANGELUS, 30 décembre 2018)

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