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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux: Aurèle, Aurelio, Zlatan et autres fête du 20 Juillet

 

Saint Aurèle
Evêque de Carthage (✝ 430)

 

Aurèle de Carthage?Il fut évêque de Carthage de 392 à 430. Pendant tout ce temps, il fut le chef véritable de l'Église d'Afrique qui comptait alors cinq cents évêques. Il la gouverna de manière exemplaire, aidé et conseillé par son grand ami saint Augustin. Saint Aurèle dut réunir plus de trente conciles tant étaient nombreux et turbulents les évêques qui se laissaient aller à des déviances hérétiques. Il présidait le concile convoqué et saint Augustin parlait et définissait la doctrine. Il lui demanda aussi d'écrire un traité à l'usage des monastères afin de contrer les moines qui trafiquaient les reliques des martyrs pour s'en faire de l'argent ou qui taxaient lourdement les fidèles qui venaient les vénérer.

 

À Carthage, vers 427, saint Aurèle, évêque. Colonne très ferme de l'Église en Afrique, il réunit fréquemment des conciles, lutta énergiquement pour extirper dans le peuple fidèle les traces du paganisme et fit dresser son siège épiscopal à l'emplacement d'une statue de la déesse Caelestis (ou Tanit).

Martyrologe romain

 

Saint Élie, prophète
« Père des contemplatifs ».
(IXe s. avant J.-C.)

Élie, dont le nom signifie « Le Seigneur est mon Dieu », est l'un des prophètes les plus ardents et passionnés. Il mène un combat violent pour restaurer l'Alliance entre Dieu et son peuple. Son histoire est relatée dans la Bible au Premier livre des Rois (chapitres 17 à 19 et 21) ainsi qu'au Deuxième livre des Rois (chapitres 1 et 2).
Le prophète Élie, de Tishbé en Galaad, défend les droits de Dieu devant Achab, roi impie d'Israël. Il annonce la sécheresse pour prix des péchés du roi, et, sur l'ordre de Dieu, se cache au torrent de Kérit dans la solitude, trois années durant. Là, il se tient en présence du Seigneur ; il boit au torrent et les corbeaux lui portent sa nourriture.

Épris de contemplation et brûlant de zèle, il combat pour le culte du Dieu unique : « C'est le Seigneur qui est Dieu ! » affirme-t-il avec force devant le peuple, dans le défi qu'il porte aux prêtres de Baal sur le mont Carmel. Et Dieu envoie le feu consumer l'holocauste sur le bûcher mouillé. Il annonce la fin de la sécheresse et tandis qu'il est en prière, au sommet du Carmel, une petite nuée se lève de la mer. Voici la pluie bienfaisante. Il fuit la colère de la reine Jézabel pour sauver sa vie. Fortifié par une nourriture mystérieuse, il marche jusqu'à l'Horeb, la montagne de Dieu où Dieu lui-même vient se révéler « dans le bruit d'un silence ténu ». Sur la parole de Dieu, il retourne pour oindre Élisée comme prophète à sa place. Il est emporté au ciel sur un char de feu.

Sur la montagne de la Transfiguration, devant les apôtres Pierre, Jacques et Jean, Élie apparaît avec Moïse dans la lumière glorieuse du Christ. Toute la vie d'Élie baigne dans la prière au Dieu vivant d'Israël ; aussi l'épître de saint Jacques le propose-t-elle comme le modèle des priants (Jacques 5, 17-18).

Élie est le guide et l'inspirateur de l'ordre du Carmel, ordre mendiant fondé au XIIIe siècle à partir d'ermites situés sur le mont Carmel.

Il est appelé « Père des contemplatifs ».

 

Saint Jérôme Émilien
Saint Jérôme Émilien
Fondateur d'Ordre
(1481-1537)

 

Saint Jérôme Émilien, né à Venise, était de la noble race des Émiliani. Sa jeunesse se passa dans le métier des armes. Il avait reçu une éducation chrétienne, mais se laissa bientôt entraîner par le torrent des passions.

Fait prisonnier et chargé de fers, après une courageuse défense de la place de Castelnuovo, qui lui avait été confiée, voyant la mort proche de lui, il rentra en lui-même et sentit une vive crainte de paraître devant Dieu en état de péché mortel. Les yeux pleins de larmes, Jérôme fit alors un voeu à Marie; aussitôt, la Mère de Dieu lui apparut, l'appela par son nom, lui donna les clefs de ses fers et de son cachot et lui fit traverser sain et sauf les rangs de l'armée ennemie. Le jeune converti alla suspendre ses chaînes et les clefs de sa prison à l'autel de la Madone de Trévise, et publia partout les miséricordes de Marie à son égard.

Dès lors, à l'admiration de Venise entière, qui l'avait connu si mondain, il change de vie et passe son temps dans l'exercice de la prière, de la mortification et des bonnes oeuvres, visite les hôpitaux, panse les plaies des malades, et se montre le père de tous les malheureux.

Il fit surtout éclater sa charité durant une famine et une maladie épidémique; il vendit jusqu'à ses meubles, et sa maison devint un hôpital où personne n'était rebuté. Touché du sort des enfants que la mort avait privés de leurs parents, il loua une maison où il les réunit, et où il se chargea de leur nourriture, de leur entretien et de leur instruction; il devenait ainsi le père de ceux qui n'en avaient plus; il allait les chercher par les rues et les places, les amenait dans son pieux asile, et leur inspirait une piété qui fit bientôt l'admiration de Venise.

Le zèle ne connaît pas de limites: Jérôme trouva encore le temps de s'occuper des jeunes gens et des vieillards, de diriger l'Hôpital des Incurables, de fonder une Oeuvre pour réunir les pécheresses converties par ses prédications, de parcourir les campagnes, la clochette à la main, pour apprendre aux enfants et au peuple les éléments de la religion.

Il mourut, au service des pestiférés, laissant la Congrégation des Clercs Réguliers Somasques pour continuer son oeuvre.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

 

Bx Luigi Novarese
« Apôtre des malades » 
Prêtre et fondateur de :
« Ouvriers silencieux de la Croix » (SODC)
« Centre des volontaires de la souffrance » (CVS)

Luigi Novarese, naît à Casale Monferrato (Piémont, Italie) le 29 juillet 1914.
Il a vécu une enfance très marquée par la foi de sa mère, qui est restée veuve peu de mois après la naissance de son dernier enfant. Ce souffle chrétien l’a soutenu au cours de sa maladie.
À l’âge de 9 ans, les médecins diagnostiquent une coxalgie (la tuberculose de l'articulation coxo-fémorale) et Luigi commence ses pérégrinations douloureuses dans les hôpitaux et les maisons de santé. Sa jeunesse et son envie de vivre le poussent à réfléchir sur sa santé et sur les choix à faire pour l’avenir : devenir médecin ou prêtre. Il décide de demander à la Vierge Auxiliatrice la grâce de la guérison et il sollicite le père Filippo Rinaldi, 3e successeur de don Bosco, de s’unir à sa prière.

Le 17 mai 1931 Luigi guérit complètement de sa maladie et prend des décisions. Son expérience de maladie et de guérison, sa recherche de la santé et de la joie l’aideront à rechercher les contenus et les modalités pour proposer un apostolat innovateur, qui appelle le malade à vivre sa condition avec responsabilité et courage. 

Après sa guérison miraculeuse, il fut en mesure de continuer ses études ; il voulait en effet être médecin au service des malades pour les soulager des souffrances de la maladie qu’il avait lui aussi vécue. 

La mort de sa mère (1935) le pousse à faire un choix définitif. Trouvant dans la vocation sacerdotale la voie pour offrir un soutien plus radical et décisif aux malades, il devint prêtre (1938) et exerça son service auprès du Secrétariat d’État de 1942 à 1970.

Au mois de mai 1943, en accord avec ses supérieurs du Secrétariat d’État et sous leur exhortation, Luigi Novarese fonda la « Ligue Sacerdotale Mariale » qui avait pour but de subvenir aux besoins des prêtres malades ou nécessiteux, dans un lien de fraternité sacerdotale, sous la protection de la Vierge Marie. 

Cette action pastorale fut conçue dès le début comme la réalisation des requêtes que la Vierge Sainte avait présentées à Lourdes et à Fatima. L’activité apostolique fut étendue aux laïcs (17 mai 1947) par la création du mouvement des « Volontaires de la Souffrance », qui se fondait sur les mêmes bases et dont faisaient partie les malades.

Sœur Elvira Psorulla collabora à la réalisation de cette œuvre tout entière. Son principe fondamental est l'accomplissement baptismal totale de la personne qui souffre ; étant donné qu’elle n’est pas l’objet passif d’une assistance mais au contraire sujet qui opère pour réaliser son apostolat spécifique dans l’Église et dans la société.

Le fondateur sentit ensuite le besoin de créer à l’intérieur du mouvement un groupe de personnes, qu’il appela « Ouvriers Silencieux de la Croix ». Ils assurent la continuité de l’œuvre en exerçant des fonctions de direction et en se consacrant entièrement à l’apostolat par la pratique des principes évangéliques et la consécration à la Vierge Immaculée. Ce groupe commença à se constituer au mois de mai 1950 et, par un acte notarié public, il fut qualifié juridiquement comme association le 11 février 1960.

En 1952 (15 août) une autre section s’ajouta au mouvement : les « Frères des malades » ; elle se composait de fidèles laïcs qui, par l’exercice de la charité envers les malades et la sanctification de leur travail, partageaient l’apostolat des « Volontaires de la Souffrance ».

Le 16 février 1960 les « Ouvriers Silencieux de la Croix » reçurent l’arrêt d’approbation diocésaine prononcé par l’évêque de Ariano Irpino. Le 6 novembre 1960 un décret du Président de la République lui accorda la personnalité juridique civile. À la Pieuse Union des « Ouvriers Silencieux de la Croix » fut enfin conféré le titre de ‘Primaire’, par rapport aux trois associations (Ligue Sacerdotale Mariale, Volontaires de la Souffrance, Frères des Malades), par le Bref apostolique ‘Valde probande’ du 24 novembre 1960.

De 1964 à 1977 Mgr Luigi Novarese se chargea de la direction du Bureau pour l’assistance spirituelle hospitalière auprès de la CEI.

En 1973 on ajouta enfin la section “Frères et Sœurs effectifs des OSDC” qui s’engagent à vivre la spiritualité des OSDC et à coopérer avec eux dans l’apostolat ; une forme d’association fut aussi réalisée pour les évêques qui demandaient de partager la spiritualité et le but de l’œuvre.

Il meurt le 20 juillet 1984 ; saint Jean-Paul II commente la nouvelle de sa mort en déplorant la perte d’une personne vraiment précieuse pour l’Église tout entière.

Luigi Novarese a été béatifié le 11 mai 2013 au cours d’une cérémonie solennelle, dans la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs, à Rome, présidée par le card. secrétaire d’État Tarcisio Bertone s.d.b., qui représentait le pape François.

Autres Fêtes du Jour
 

Saint Anségise  abbé (✝ 833)
Saint Apollinaire de Ravenne  Premier évêque de Ravenne (IIe siècle)
Saint Bernard d'Hildesheim  Évêque (✝ 1021)
Saint Elie Chavchavadze  martyr en Géorgie (✝ 1907)
Sainte Etheldwitha  veuve du roi Alfred le Grand d'Angleterre (✝ v. 903)
Saint Fulgence  évêque en Ethiopie (IVe siècle)
Bienheureux Grégoire Lopez  (✝ 1596)

Saint Joseph Barsabbas  surnommé le Juste (Ier siècle)
Saint Joseph-Marie Diaz Sanjurjo  évêque et martyr au Vietnam (✝ 1857)
Sts Léon-Ignace Mangin et Paul Denn jésuites français missionnaires, martyrs en Chine et leurs compagnons (✝ 1900)
Sts Madeleine, Thérèse, Marthe, Lucie, Anne, Rose, Jea martyrs en Corée
Sainte Marguerite d'Antioche  martyre sous Dioclétien (✝ v. 275)
Sainte Mère  (date ?)
Saint Paul  diacre et martyr à Cordoue (✝ 851)
Bses Rita et Françoise religieuses martyres lors de la guerre civile espagnole (✝ 1936)
Saint Rorice  évêque de Limoges (✝ 507)
Sainte Sévère  abbesse (✝ v. 680)
Saint Vulmer  abbé bénédictin dans la région de Boulogne-sur-Mer (VIIIe siècle)

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