Le dernier samedi d’août sera les fiançailles officielles de David et Linda. Claudine et Bernadette s’active pour décorer le parc du Manoir, le jeudi précédent les fiançailles. Ce jour arrive enfin.
Quant à Olga Basilux, elle organise toute la fête. Dans le parc de leur manoir. Les fiançailles de son fils, c’est un jour important pour elle, pas seulement pour David et Linda. « LE QUOTIDIEN NORMAND » l’a annoncé selon les ordres de Madame Basilux. Les journalistes sont là à côté de l'orchestre.
Sous l'arche de clématites et de roses blanches, le père Jacques bénis leurs promesse de mariage, ainsi que la bague simplement monté d'un gros solitaire, et de la chevalière or, avec un montage d'or blanc pour les lettre D B enlacées.
Parmi les soixantes invités, seuls Monsieur et Madame Ziniri assistent aux fiançailles de leur fille Linda.
Gérard Lapointe, l’ami de toujours anime la fête. Il n‘est pas seulement, le journaliste de la bande, mais également le bout en train de la troupe. Il est le chanteur, l’acteur, l’humoriste, toujours à l’affût d’un texte nouveau d’un auteur inconnu. Le repas terminé, les familles discutent et ne vois pas les jeunes partir en voitures. Du moins c’est que les jeunes gens croient. Dox a été mis dans la confidence, et il a promis de bien tenir ces gosses.
Gérard ouvre le défilé, arrivé chez leur cher Dox, une surprise les attend. Les jeunes de Maximeville attendent leur héros, et veulent fêter les fiançailles de David. La musique, les lumières façon boite de nuit s’animent. Un karaoké est organisé.
Au cœur de la fête, chacun des amis proches de David prennent la parole, de Jean-Jacques, Pascal, Serge, Myriam, Elodie…et les autres. Gérard conclu la soirée, il est minuit passé. Le carrosse ne redevient pas citrouille, seulement musiques et lumières s’éteignent.
Ce soir nous terminons à une heure raisonnable, car nous nous réservons pour l’enterrement de vie de garçon de David. Annonce Gérard
Hourrah ! crient les jeunes gens euphoriques. Mais avant de partir, pendant que vous sirotez votre dernière flute de champagne, pour ce soir, je vais vous lire l’un de mes textes préférés d’une femme auteur peu connue. Un silence s’installe, La voix de Gérard s’élève.
Sacré papy !
Mamie, ma vie s’achève à travers cet affront.
La douleur m’atteint la sueur coule sur mon front.
Que vas-tu faire de toute cette faiblesse ?
Malheur ! Ma force me quitte diablesse!
Quelle, piètre image nous nous offrons !
Dans cet univers, pour quel raison nous souffrons ?
N’y-a-t-il point dans cet art de la noblesse ?
Pour sûr ! Il ne faut pas que cela te blesse
Mes caresses n’adoucissent pas ton armure ?
Cette charge mène si près de ce fruit mûr.
Si bien, que mes sentiments se ravivent
Ma crainte est que ta souffrance soit vive.
J’ai peur, que cela me mène droit dans le mur.
Écoute cette voix ce doux murmure
Mon bonheur, sont tes paroles positives
Non pas toutes ces cajoleries craintives,
Que je pressens l’ennui dans mon châtiment
Ton sentiment doux n’est pas dû à ce piment.
Mais à celui de la gestion des bourses,
Dans la tendresse souple de tes ressources.
Mon ami, allons-y Simplement, hardiment
Ne craint pas tous ces jeux dans ces remaniements
Ne fait pas l’ours, tu es l’eau clair de ma source.
Tu ne me fais rien sans que tu me rembourse.
Mon affection, n’est pas celle d’un mardi-gras !
Elle est là, éclatante en fusion avec le viagra.
Elle dégonfle ma bourse magnifiquement,
Mes bourses ne sont plus celles au régiment.
Ah! Ah !ce sacré papy, s’exclame les spectateurs en riant aux éclats.
À samedi prochain comme d’habitude.
Avec cependant une fête particulière. Cela sera une méga-fête entre les vieux amis de David. Il tient à remercier, tous ceux qui l’ont soutenu pendant son épreuve.