4 Mars 2013
Quelques-uns sourient à ce mot
Ils pensent à la secte
L’adoration du nombril
La nuit en pleine lune
Le nombrilisme pense d’abord,
A lui-même en égoïste
Il utilise des leurres,
Il est imbu de sa personne.
Je me remémore notre vie,
Ton égocentrisme était devenu,
Insupportable aux yeux de tous,
Les amis disparaissaient écœurés.
Ton physique ce devait être jeune,
Tes cheveux restaient noirs et brillant,
Ta tenue ne comportait aucuns faux plis,
Les chaussures brillaient sans tâche.
Ta joie se calculait pour satisfaire ton ego,
Tu choisissais des mots précieux, percutant.
Ta perfidie moqueuse manipulatrice,
Ne voyait rien, tel est ton narcissisme
Mon bonheur est loin du nombrilisme
Il est comme le merle siffleur,
La mésange bleue toute joyeuse
La pie moqueuse dans son arbre
Mon âme possède cherche
L’affection naturelle de la pensée
L’amitié du nénuphar sur l’eau limpide
Un ruisseau argenté sautant, chantant
Loin du nombrilisme fatiguant
La simplicité est reposante
Le cœur loin du nombrilisme,
Seulement elle apporte la Paix
Le nombrilisme est généralement mondain
On le trouve chez les politiciens
Aussi chez certains artistes narcissiques
Également le pauvre se croyant puissant.
C’est ainsi que tu étais
Il y a si longtemps
Avant de disparaître
De ma vie, puis de la vie.