Dans ce songe la sève de deux corps
Prends un tournant brûlant d’effort
Où ils trouvent le réconfort,
Aux plaisirs langoureux d’un sport,
Il n’a rien de malicieux ce support,
Dans cet immense Océan d'or.
Quand je m'abandonne au soleil,
Sur la plage des merveilles
Les yeux fermés s’émerveillent.
Puis à l'aube, enfin je m'éveille
Le feu des caresses s’enraye,
La désillusion m’effraye.
Quand les songes du sommeil
Disparaissent au réveil.
Au cœur de vagues rêveuses imprégnées
Du guide de cette destinée ensoleillée,
De cet amour unissant l’effeuillé
Au divin plaisir de l’estampillé.