Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
24 Octobre 2010
AU FIL DES ANS
Au fil des ans
Le combat pour la vie
Se joue à chaque instant
Innombrable, insipides sont-ils
Tant de fois il m’a fallut tendre mon bras
Défendre ma survie mon honneur
Voir mes nombreux rêves brisés.
Certains restèrent virtuels
D’autres se réalisèrent
Quelques uns furent prophétiques
D’où ma terreur lorsqu’ils étaient tristes
Souvent à cause d’eux des amis sont partis.
Combien de nuit sommeil raccourci?
Je ne peux les compter
Ainsi est et sera ma destiné
Au fil des ans
Nulle rage en moi
Mon combat n’est pas le mien
Mais celui Du Très Haut
Je ne suis que l’une de ces phalanges.
Je ne fais que ce qui me semble bon
Ce que ma conscience me dicte.
Il m’arrive et cela assez souvent,
D’être dans l’erreur
Même la risée de pervers
D’être spolié par des jaloux
Jaloux de quoi mon dieu?
Jaloux que Dieu me soit protection
Jaloux être souvent exaucé
Aussi bien dans les petites choses
Que dans les grandes à leurs yeux.
Pourtant mon vœux le cher
N’a jamais trouvé grâce.
La sagesse Éternelle m’en préserve
Elle soigne cette plaie
Dans la lumière de sa raison.
Alors ces jaloux hypocrite,
Servent au vu de tous un Dieu
Qu’ils trahissent sans vergogne
S’ils avaient la foi au fond d’eux
Ils béniraient le Seigneur
Sans demander une condition.
Au fil des ans
Je ne puis rien changer
N’étant qu’une simple servante
Au milieu d’un monde sans pitié
Me remémorer mes succès est préférable
Qu’a celui de se languir sur mes ressentiments
Me souvenir des malheurs, des brutalités
Ne me permettrai pas d’avancer
Je continue par conséquent d’avancer
Sans regarder derrière moi
Pour ne plus voir ces ombres
Cette nuit qui fut mon destin
Tant de futilité dans mes caprices
Tellement de force dans ces combats
Si fort que je ne pouvais les mener seule
Pour la justice, le réconfort, le bien être
N’auraient pu être sans cette aide
Sans la Puissance de l’au-delà.
Bien sur il y a eut mon intelligence humaine
Ma force de dissuadions
Même si ces victoires inachevées.
Il reste tous ces rêves à venir
Se dirigeant vers son dénouement
Ma face se tourne vers la lumière
Monique Isope Macalou
Octobre 2010