21 Juillet 2011
www// :copyright.com/numéro 00049843-1Sève miraculeuse s'abreuvant d’espoir.
DSève miraculeuse s'abreuvant d’espoir.
Du fond de ma souffrance et du désespoir.
Naît ce bonheur guérisseur d’une nuit noire.
Elle ondoie la fleur de rêve la cajoleuse,
Elle tournoie comme la pie voleuse,
Sa volonté enivrante et mystérieuse.
Du mystère de la frileuse rieuse
Mon âme roule dans ce doux délice
S’enrobe d’une tendre malice.
Elle offre son artifice sans sacrifice
A cette délicieuse fontaine ou glisse.
L’eau bienfaisante sur mes cicatrices
Ces rêves roulent dans les nuées
Au son enchanteur de la vielle
L’aurore enflamme le ciel
Mon âme en est toute remuée
Demain sera fait de miel
Il n’y a pas son pareil
Dans ce rêve des merveilles.
Tombe, tombe la pluie,
Où ce souvenir reluit.
Caché sous le parapluie
Paraissant être celui
Des souvenirs mourant d’ennui.
Bien qu’il ne fasse pas nuit,
La belle de nuit s'épanouit
Ainsi va la vie de l’inouïe.
Bien qu'il n’a pas d'ouïe
Il lui a fallu dire oui
Cette pensée m'amène
Au printemps sans gêne
Cet été là, à Jérusalem.
Il a ce feu d’automne pour diadème
L’hiver c’est la neige son emblème
Je rêve, oui je rêve d’une crème
A savourer sans problème.
En rêvant d’un système
Parfait celui du saint-chrême
Bien sur ce n’est qu’un rêve
Hélas il n’y a pas de suprême !
La chimère reste brève
Ce jeu coure avec le jour
Ainsi il est plus court
La fleur du ciel parcoure
La destinée sans discours.
Sans même un détour.
Ce songe si lointain
Au milieu des lupins
Semble si proche
Qu’il est sans reproche.
Le flirte avec la lune
Nez en l’air humant la brume.
La licorne s’enrhume
Le maréchal frappe l’enclume.
Le pêcheur enlève l’écume.
Les étoiles filent et fument
Les souvenirs s’exhument.
C’est de cet amour que j’éternue
La galaxie des poètes rêve des nues
Qu'ils arpentent sans retenue
Plongeant dans son contenu
Sans y être vue.
Dans ce songe la sève de deux corps
Prends un tournant brûlant d’effort
Où se trouve le réconfort,
Dans cet immense Océan d'or.
Je m'abandonne au soleil,
Sur la plage des merveilles
Le regard s’émerveille.
A l'aube enfin je m'éveille
Le feu des caresses s’enraye
Alors le songe du sommeil
Disparaissent au réveil.
Au cœur des vagues imprégnées
Du guide de la destinée ensoleillée,
De cet amour unissant l’effeuillé
Au divin plaisir de l’estampillé
Du large infini du fruit de la veillée.
Souvenirs des nuits de l’atelier
Où il en a été le domicilié.
u fond de ma souffrance et du désespoir.
Naît ce bonheur guérisseur d’une nuit noire.
Elle ondoie la fleur de rêve la cajoleuse,
Elle tournoie comme la pie voleuse,
Sa volonté enivrante et mystérieuse.
Du mystère de la frileuse rieuse
Mon âme roule dans ce doux délice
S’enrobe d’une tendre malice.
Elle offre son artifice sans sacrifice
A cette délicieuse fontaine ou glisse.
L’eau bienfaisante sur mes cicatrices
Ces rêves roulent dans les nuées
Au son enchanteur de la vielle
L’aurore enflamme le ciel
Mon âme en est toute remuée
Demain sera fait de miel
Il n’y a pas son pareil
Dans ce rêve des merveilles.
Tombe, tombe la pluie,
Où ce souvenir reluit.
Caché sous le parapluie
Paraissant être celui
Des souvenirs mourant d’ennui.
Bien qu’il ne fasse pas nuit,
La belle de nuit s'épanouit
Ainsi va la vie de l’inouïe.
Bien qu'il n’a pas d'ouïe
Il lui a fallu dire oui
Cette pensée m'amène
Au printemps sans gêne
Cet été là, à Jérusalem.
Il a ce feu d’automne pour diadème
L’hiver c’est la neige son emblème
Je rêve, oui je rêve d’une crème
A savourer sans problème.
En rêvant d’un système
Parfait celui du saint-chrême
Bien sur ce n’est qu’un rêve
Hélas il n’y a pas de suprême !
La chimère reste brève
Ce jeu coure avec le jour
Ainsi il est plus court
La fleur du ciel parcoure
La destinée sans discours.
Sans même un détour.
Ce songe si lointain
Au milieu des lupins
Semble si proche
Qu’il est sans reproche.
Le flirte avec la lune
Nez en l’air humant la brume.
La licorne s’enrhume
Le maréchal frappe l’enclume.
Le pêcheur enlève l’écume.
Les étoiles filent et fument
Les souvenirs s’exhument.
C’est de cet amour que j’éternue
La galaxie des poètes rêve des nues
Qu'ils arpentent sans retenue
Plongeant dans son contenu
Sans y être vue.
Dans ce songe la sève de deux corps
Prends un tournant brûlant d’effort
Où se trouve le réconfort,
Dans cet immense Océan d'or.
Je m'abandonne au soleil,
Sur la plage des merveilles
Le regard s’émerveille.
A l'aube enfin je m'éveille
Le feu des caresses s’enraye
Alors le songe du sommeil
Disparaissent au réveil.
Au cœur des vagues imprégnées
Du guide de la destinée ensoleillée,
De cet amour unissant l’effeuillé
Au divin plaisir de l’estampillé
Du large infini du fruit de la veillée.
Souvenirs des nuits de l’atelier
Où il en a été le domicilié.