Certains jours sont dans la noircissure,
La fatigue, impression d’usure,
Déprime, fêlure d’une sculpture.
Une page sans une écriture,
Souffle, sans risque d’une rupture.
Les idées cosmétiques carburent,
Tu es souvent là, toi la visionneuse.
Toi, la solitaire envieuse,
Omet la borne injurieuse.
La fidélité impérieuse,
Tu es là, toi la mystérieuse
Messagère de la curieuse
D’un petit coucou de l’affectueux,
Devient l’ultime voluptueux.
D’un tendre baiser respectueux.
Quel bonheur de se sentir aimée.
Bonheur, de le voir réanimée,
Dans son monde virtuel enflammé.
Réalité, magie sont légitime.
À chaque jour, il est plus intime
Son partage d’idées est sans prime,
Sa complicité vient confirmer,
L’aube amicale sans consumer,
Portant cette joie de la clamer.
Se laisser aller vers la coutume,
Sans toutefois froisser le costume,
De notre philosophie commune.
Ces messages affectueux rimés.
Quelquefois affligés déprimé,
Ou, sont des mots musicaux parfumés.
L’ouvrage, c’est pour toi exprimé
De souvenirs, tu les as exhumés,
La promesse du sous-bois enflammée.
Sentiments, exploit venu des nues,
Semble dire la belle ingénue,
En lui souhaitant la bienvenue.