Au moment d’une page sans écriture,
Je me dis tu ne dois pas risquer la rupture.
Bien que des messages variés carburent,
Cette solitude de l’esprit me sature.
Que d’émoi dans l’esprit aérien
Que d’énervement pour rien
Des torpeurs puis des icariens
Et çà retombe pour un rien
La page blanche la hantise
De l’écrivain qui la courtise
Sa main suspendue poétise
Espérant trouver une prise
MIM Nanou 75