15 Février 2014
Le jour et la nuit
Je m’enfuis dans mes rêves,
Non pas l’ennui
Mes rêves n’ont pas de trêve,
Ils sont réalistes
Les lendemains de désillusions
Peu matérialiste
Ils ont manqués les occasions.
Le jour et la nuit
Je marche vers l’inconnu
La prière de minuit
Me semble être ingénue.
Mes pas difficiles
Avancent dans les méandres
De sublimes fossiles
Roses ou rouge des oléandres
Tout va à vau-l'eau
Le ciel en a la larme à l’œil,
Il prend tout en lot
Le tout est conduit au cercueil.
La vie continue
Joyeuse sans aucune contrainte
Telle l’ingénue,
Surprise lorsqu’elle est d’astreinte
Monique Macalou
14 février 2014