Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
7 Février 2013
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Synopsie
Le temps passe,
Repasse,
Dépasse
Trépasse
Dans l’impasse,
De l’espace.
Monique Macalou.
Le temps gère l’univers. Il ponctue notre existence, également nos pensées.
Ce recueil est tout en vers, seulement, ce n’est pas uniquement des poèmes. Certains textes sont des rappels de coutumes françaises chrétiennes, d’autres des pensées, enfin quelques fables dans cent dix-huit titres en deux tomes.
Le tome 1 soixante-dix-huit titres
Le tome 2 cinquante-quatre titres
Ils relatent la joie, la tristesse, l’humour parfois avec dérision. Car la vie est ainsi construite.
La vie est faite d’amour heureux, de bonheurs, de joie, de colère, de tristesse chacun de ces moments de notre existence se compte en saison, années, mois, jours, décennies souvent en heures, minutes quelquefois en seconde.
Qui n’a pas regardé sa montre ? Car nous programmons notre planning annuel, mensuel, journalier. Nos habitudes, elles, sont planifiées par automatisme. Tout n’est que temps, même si nous ne nous en apercevons pas. Nous avançons à notre cadence, notre fréquence c’est la musique de notre cœur. Le temps mène la danse aux mouvements des temps musicaux humains ou celui de la nature. Selon nos perceptions des divers temps.
Nous prenons notre temps pour réfléchir et pourtant on ne voit pas le temps passé.
La nature parfois nous berce, de temps en temps, elle gronde, s’envole, siffle, puis bat la mesure tel Beethoven ou Vivaldi. L’univers en est le chef d’Orchestre, il nous dirige alors que nous croyons l’avoir maîtrisé.
À ces moments-là, nous crions à la catastrophe, car nous ne respectons pas sa mesure.
Notre destin ce n’est qu’une question de mesure du temps, de la naissance au trépas.