Lorsque le cœur se transforme en un joyau
L’effluve émane la douceur du noyau,
Extirpant les sentiments jugés déloyaux.
La souffrance n’est pas forcément le chagrin,
Ces perles de rubis et de grenat en grain,
Roulent et s’assemblent pour un alexandrin.
Dans l’épreuve, il arrive que quelquefois,
Sous le supplice du crabe bien des fois,
Son tourment remet en cause notre foi.
Ce cœur notre joyau tel un rubis pleure,
Son regard étincelant n’est pas un leurre,
Son flamboiement refuse toutes pâleurs.
Magnifique espoir que ces sentiments,
Sont si souvent révélés fabuleusement,
Semblable à la magie d’un enchantement.