Lorsqu’une fleur se meurt
Triste, en langueur
En attendant son heure
Il n'y a plus de vapeur
Seule, l’angoisse, la peur
Génère les clameurs
Des esprits frondeurs
Contre ce dur labeur.
Lorsqu’une fleur se meurt
Il y a ce tumulte, cette clameur
Une larme, devant le sécateur
Elle coule sous la coupe du traiteur
Nanou 75