Votre image reste gravée au fond de ma mémoire,
Je vous revois dans ce linceul de satin blanc,
Vous sembliez me chanter une chanson douce.
Je revois dans mon cœur cette douce chanson.
Vous la chantiez en me berçant dans vos bras,
En caressant mes cheveux aux mèches sauvages.
Votre souvenir me reste toujours sans aucun âge.
Ce jour vous étiez enfin dans le chemin vers la paix,
Le froid de ce jour, me rappelle vos chansons douces.
Les lèvres muettes, les paupières fermées, j’hume l’air,
Un vinyle dans les mains, Henri Salvador chante en douceur,
La sérénité revient dans mon cœur, votre courage me gifle.
Plus de larmes, seule une chanson douce apaise mon âme,
Elle m’attend au tournant du chemin j’en ai la certitude
Votre patience m’est bonheur, ce jour-là je serais à l’heure.
18 novembre 2012