Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
1 Novembre 2010
Que cherches-tu sous le lit ?
Seule la chatte peut y accéder !
As-tu trouvé un mouton au moins ?
Bien sûr que non !
Ce matin tu as passé le balai !
Comme d’habitude tu fais le lit
Tu as la sérénité
Si au lit tu es le premier ?
C’est le rituel obligatoire !
Lorsque je sors avec toi
Tu mets certains bibelots à la place un jour
Le lendemain ils seront à une autre place !
Cinq minutes de retard ?!
C’est la panique
Les soupçons
Les explications
Les cris feutrés
Alors tu es malheureux
Dans la rue en amoureux bien serrés
Dans tes bras la tête sur ton épaule
Des regards envieux se posent
Alors tu m’embrasses avec indécence
Tu serres bien solidement ta proie
Je ne dois pas t’échapper
Les hommes sourient en passant
Les femmes font de même
Pourtant tous sont dans l’erreur
Tu les crains tellement
Bien qu’ils soient sans convoitise
Tu me serres encore plus fort
Quelle imagination pour un regard
C’est la possession silencieuse
Douloureuse
Asservissante
Solitaire au milieu de tous
Le silence des lâches
Le travail sauve
Mon journal me libère
Mais gare s’il le trouve !
Que de larmes
Que de silence
Le pire, le rejet de ton enfant
Celui qui te ressemble
Que tu ne veux voir
Celui qui ne parle pas
Celui qui entend mal
Ton fils aîné si beau
Tu le renies pourquoi ?
A cause d’un médecin sans conscience ?
Heureusement un jeune médecin
A pris la décision tardivement
C’était sa première année d’internat
Tu aurais voulu que je ne survive pas
Mais la grande faucheuse
A eu peur du grand jugement
Mon heure n’avait pas sonné
Ta maîtresse ne savait pas
Ce qui l’attendrait
Moi elle était ma délivrance
Elle ne pouvait le savoir
C’était hier, il y a bien longtemps
Nous étions jeunes
Aujourd’hui ma question
Comment peut-on vivre ainsi ?
Pourtant ce le fut
D’autres continuent de le vivre
Parce qu’elles ont peur
La peur attire le danger
Ceci c’est pour les deux belligérants
La honte devrait être pour l’agresseur
La victime, elle, ne doit plus se cacher