Le doux frôlement,
D’une main câline,
Aux doigts agiles,
Donnant le tourment,
Pour une ivresse.
L’oubli de la volupté,
D’une caresse,
Souvenirs tendresses,
De cet espoir
D’un instant compté.
Tout nous est conté,
Nos exploits d’hier,
Ceux dans la bruyère,
Rien ne s’efface,
Peu sont exempté.
Le bonheur reste,
Sa mémoire pure,
S’imprime nette,
Toujours preste
Avec des coupures.
Monique Macalou
20 janvier 2014