Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
3 Novembre 2013
Hans explique à son équipe :
- Nous allons chercher le passage de cet animal. Nous verrons bien où il nous mène
- En principe il doit y avoir une rivière souterraine. En effet les hommes de la préhistoire, et ensuite les chrétiens vivaient dans les grottes. Ils s’installaient là où il y avait de l’eau. Pour les hommes de la Préhistoire la vallée était giboyeuse, donc il doit y avoir un passage à la taille d’un humain vers l’extérieur. En outre, nous avons toujours trouvé une rivière souterraine dans les grottes, qu’elles soient habitées ou pas. Certaines grottes sont creusées uniquement par l’eau. Il y a également des hommes, qui ont aménagés les grottes naturelles, creusant, taillant pour leur confort. D’autres ont creusés, taillés la roche, pour une issue de secours. Enfin, dans l’ère suivante, ils s’installent, plus confortablement, ils ont calculés selon ce qu’ils leurs étaient nécessaire. Ils ont cherchés, creusés et construits près d’un point d’eau, dans une vallée giboyeuse. Ce sont les maisons troglodytes, pas comme nous les connaissons actuellement, mais à cette période, c’était les premières fenêtres. Elles étaient l’ancêtre des meurtrières. La porte, ils la fermaient en roulant une masse de rocher, qu’ils avaient taillés !
Robert ajoute
Cet animal ne pourrait pas vivre sans eau, ni nourriture, il doit donc y avoir une issue. Il semble ne pas être affamé, il y a au moins du petit gibier dans les parages.
Peut-être des rats ? s’enquit Brigitte peureuse.
Assurément, mais ils ne sont pas assez gros, pour nourrir l’animal que nous avons aperçu.
- Cette bête est partie vers le fond, et j’ai entendu un bruit sourd, comme une chute provoquée par un bond. Me semble-t-il
Explique Catarina
- Il cherche peut-être comme nous une issue, à cause des évènements ?
Demande Luciano.
- Peut-être ! Je n’en sais pas plus que vous !
Répond Hans en gardant une attitude, qui se veut rassurante. Et il ajoute après une pause
- S’il y a une rivière souterraine, il suffira de la suivre, pour sortir. Vous savez tous nager ? Car parfois, il n’a pas d’autre solution.
Après ce conciliabule Hans leur demande
Vous avez bien vérifié votre matériel ? Il ne manque rien ? Tout est sans défaut ? Aujourd’hui ce n’est qu’un entrainement avant le départ officiel. Demain ou après-demain nous porterons toutes nos affaires. Et nous serons tous ensemble. Car nous sortirons tous ensemble. Il ne doit pas y avoir d’individualité.
J’ai pris mon carnet pour faire le plan de notre visite au moment de la pose, lorsque se sera possible.
Tu as eu raison Robert, c’est une excellente idée ! approuve Hans. Je suppose que vous êtes tous d’accord ? Interroge –t-il.
Ce qui signifie que si quelqu’un pense à une solution meilleure que celle prise ensemble, on doit l’exposer pour voir si l’idée est bonne ?
Oui, Ingrid. Parce ce que nous sommes tous solidaire des uns des autres. Notre vie rn dépend.
Hans vois le visage de ces compagnons soucieux. Il reprend
Nous, nous sommes scindés en trois groupes, l’un qui reste ici pour préparer le transport du matériel. Et nos deux équipes, pour trouver le chemin qui nous semble mener à la sortie.
Après un silence, Hans regarde son équipe et
Vous êtes près ?
Oui, Hans ! répondent les membres de son équipe. La crainte est toujours en eux, mais, ils sont animés d’un tel espoir de sortir, que rien ne pourraient les faire reculer.