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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

22 - L’imbroglio (suite)

Le capitaine interroge

  • Je suis né dans le village. Il ne reste que peu d’habitants ayant connus cette période. Ils sont cinq. Ils peuvent témoigner de ce qui s’est passé dans ces année-là.

Après hésitation il ajoute

  • Certains noms d’anciens de Mozé sont gravés sur quelques un des objets classés et entassés.

Le capitaine s’est calmé, et résume

  • En clair, nous avons les preuves du trafic de ce loulou. Mais pas des crimes de sang commis dans cette propriété.

Cette fois le brigadier prend courage

  • Désolé mon capitaine, je ne suis pas affecté sur l’enquête de ces vieux squelettes. Ils ont été envoyés d’abord à Angers, puis sur Paris dans une section spécialisée.

Conciliant le capitaine répond

  • Bon ! bon !

Se tournant vers le sergent

  • Alors cela va mettre du temps.

Dit-il en haussant les épaules, et il continue désabusé.

  • Ce pauvre Le Floch, va devoir attendre encore pour sa dernière demeure. Quant à la famille Werner, elle devra attendre également, pour emmener les restes de leur père de cet officier, en Allemagne.

Le capitaine blaireau suivant son idée pose la question ?

  • Avez-vous fait des recherches sur la vie amoureuse de ce Louis Morbilleux ?
  • Oui, mon capitaine

Répond Tablature

  • Alors ?

Interroge impatient le capitaine Blaireau

  • Nous recherchons mademoiselle germaine Javaux. Une parisienne venue se cacher dans le village, elle était recherchée par la Gestapo. D’après les témoignages, elle avait une petite fille en arrivant. En mille neuf cent quarante-quatre elle a eu un petit garçon. Mais à sa naissance, Madame Javaux a disparu quelques jours avec le petit. Lorsqu’elle est revenue, elle était seule. Elle a été accusée d’infanticide par Louis Morbilleux milicien, membre des chemises noires. Elle a fait partie du dernier convoi vers l’Allemagne. Tout au moins, ce sont les souvenirs des anciens du village.

Le capitaine commence à s’impatienter

  • Quelles sont les actions maintenant Rouliaux?
  • Nous vérifions les informations, et recherchons les enfants Javaux, si toutefois ils sont toujours vivants

Le capitaine se calme

  • Bien ! il se pourrait-être une nouvelle piste

Dit rageusement le capitaine. Le sergent et le brigadier salut et sortent du bureau.

L’heure de la réunion franco américaine est arrivée. Chacun s’installe dans la salle de réunion climatisée.

Le débat est animé. Chacun à une réponse différente cependant complémentaire, tout semble simple à première vue. Mais il y a un hic qui a tué John Hiller et Louis Morbilleux ? Ils sont d’accord, c’est le même tueur. Mais qui et pourquoi ? Qui en est le ou la mandataire ? à cette dernière question, chacun à une idée, mais personne ne la soumet.

Pendant toutes ces discussions à la gendarmerie, le Lieutenant Catherine est restée près d’Inès. Elle est parvenue à remonter à l’adresse IP du Phishing. Elle prend contact avec ses collègues et amis d’Interpol spécialisé sur les internautes de New-York.

L’adresse est localisée dans un cyber-café clandestin ! Ses amis lui ont promis de l’appeler dès qu’ils arrêteront le, la ou les délinquants. Elle leur fait confiance, car ce n’est pas la première fois qu’ils collaborent.

Philippe est heureux. Inès est en sécurité avec cette femme lieutenant. Il vient lui rendre compte de ce qu’il a établi pour la mise en conformité de son héritage vis-à-vis de la fiscalité avec Maître Rondineau. La demande au ministère de reconnaître ce lieu historique, avec la protection que cela inclus pour la restauration de cette propriété. Pourtant, il s’interroge sur l’avenir.

  • Inès que comptez-vous faire de cette propriété ?

Elle lui répond sans détour

  • Je prévois la restauration des maisons, et de leurs dépendances, également les stèles et la fosse commune. Et aussi la consolidation des ruines, pour qu’il n’y est pas d’accident. Et Puis mettre en avant, ces histoires criminelles de cette dernière guerre.
  • Et la maison de cousin

S’inquiète Philippe.

  • Elle sera le bureau d’accueil, la pièce où nous, nous restaurons actuellement deviendra un restaurant. Le rez de chaussé est réservé aux touristes, le premier étage au personnel. Bureau, vestiaire etc…

Philippe est surpris. Il pensait qu’elle vendrai la propriété.

  • Comment allez-vous la rentabiliser, les touristes c’est bien, mais ce ne sera pas suffisant.

Elle explique dans les grandes lignes son idée.

  • En créant un parc d’attraction et de spectacle sur la chouannerie d’ici et l’histoire de la Vendée.

En entendant le projet d’Inès sa curiosité et l’intérêt qu’elle lui porte

  • Vous resterez ici alors,

demande Catherine joyeuse.

  • Non, je viendrai surveiller les travaux et prendre quelques jours de repos. Ce sera mon jardin secret.

Après hésitation

  • Mon atelier de peinture me manque. Mes pinceaux, je ne les ai pas amenés. Je pensais ne faire qu’un aller-retour. Depuis je suis bloquée avec cette affaire qui n’en finit pas.
  • Quel style de peinture faites-vous ?

Lui demande Catherine intéressée

  • Du classique à la gouache et à l’aquarelle lorsque je me déplace.

Le lieutenant ordonne

  • Martine, allez chez ma cousine Françoise, elle vous donnera un paquet, et vous l’amenez à Mademoiselle.
  • Bien lieutenant

Répond Martine. Catherine se saisi de son portable, elle explique le problème à sa cousine. Une heure plus tard, Martine est de retour.

  • Combien je vous dois ?
  • Cent cinquante Euros Mademoiselle.

Inès établi le chèque au nom de Mireille Deborah. Martine retourne chez cette fameuse Mireille.

Le temps leur semble long à tous. Chacun pour des raisons différentes, seulement le résultat est le même. Ils n’ont pas les dernières nouvelles de la caserne.

Pour tuer le temps, Inès se met à la peinture. Au premier tracé, elle a la sensation de revivre. Et puis elle a reçu des nouvelles de Claire, qui a fâché Inès. Claire a cru, qu’Inès faisait des portraits pornos ! Il a fallu que Catherine intervienne en tant que gendarme. Pourquoi, voulez-t-on les séparé de cette manière aussi ignominieuse ? Catherine l’interroge.

  • Avez-vous quelqu’un de jaloux dans votre entourage à toutes les deux ?

Le dialogue entre amies s’installe

  • Seulement son ex
  • Il a quelle profession ?
  • C’est un peintre comme moi, mais lui, il n’enseigne pas.
  • Il expose ?
  • Moins que moi.
  • Vous aurait-t-il fait la cour ?
  • Mais je l’ai renvoyé sur les roses, en lui rappelant qu’il est fiancé à mon amie.
  • Vous ne pensez pas qu’il soit responsable de tout ce gâchis ?
  • Et vous qu’en pensez-vous ?
  • Vous êtes devenu riche, vous êtes belle. Je vous retourne la question.
  • André n’oserez pas tout de même !
  • On tue pour moins que ça !
  • Donnez-moi son nom et son adresse
  • André Faustin 15 rue Montmartre Paris dix-huitième

Le lieutenant prend son portable professionnel

  • Passez-moi le commissaire Lecoq

Celui-ci répond étonné de cet appel

  • Commissaire Lecoq, vous connaissez André Faustin ?
  • Oui, c’est un toxicomane assez violent.

La surprise passée

  • Pourquoi me posez-vous cette question Lieutenant ?

Catherine explique ce qui se passe au niveau de l’amie d’Inès à propos de Claire ainsi que les problèmes que cause cet individu.

  • Il y a des empreintes et un cheveu d’un individu inconnu dans le dossier des pièces à convictions
  • Attendez, je vérifie

Au bout d’un temps, qui lui parait long, le commissaire Lecoq rappelle

  • .oui c’est exact, ils sont bien dans les pièces à conviction.

Catherine le relance

  • Vous voulez bien vérifier immédiatement dans le fichier des identités
  • Oui de suite. Je te rappelle dès que possible

Catherine dit en réfléchissant

  • C’est peut-être la piste inattendue.

Catherine doit attendre, et assuré la sécurité des jeunes gens. Elle est responsable des hommes et des femmes venus assuré la sécurité des jeunes gens. Elle dirige sa mission depuis la chambre d’Inès. Le calme revient.

Inès dessine avec ses aquarelles un lapin angora blanc aux reflets bleus, dans de grandes herbes en verts tendres dégradés. La paix est descendue en elle.

Le soir venu, Philippe et Alain arrive ; C’est l’heure du repas. Ils ont décidé de prendre leur repas ensemble dans la chambre d’Inès. Catherine les accompagne ainsi que Martine. Malgré la situation, tous sont dans la joie. S’il n’y avait pas les uniformes, on pourrait croire à une réunion d’amis. La chambre d’Inès étant côté jardin, les rideaux restent ouvert. La fraicheur du soir est la bienvenue. Les chambres des garçons, sont côtés rue, et donne au sud. Les rideaux et double-rideaux sont toujours fermés. La cause est due au soleil brulant, mais également, à ces journalistes à l’affût d’un scoop possible ! Les jeunes gens sont les vedettes du canton !

22 - L’imbroglio (suite)
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F
tout est exploré vraiment à fond pour cette enquête
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M
Merci flipperine