16 Novembre 2014
REGARDONS CE QUI C'EST PASSE D4IMPORTANT LES 16 NOVEMBRE DES ANNEES...
De la mort de l'ermite Emilion en 767 proche de Bordeaux,à la céation de "l'ordre de la libération" du Général De Gaulle en 1940,
16 novembre 767 : Mort de l'ermite Émilion près de Bordeaux
Le 16 novembre 767, l'ermite Émilion s'éteint dans son refuge des environs de Bordeaux. Autour de son tombeau se développe au Moyen Âge une cité qui porte son nom, avec en son centre une curieuse église monolithique dont la nef est creusée dans le sous-sol calcaire. La cité est célèbre aujourd'hui dans le monde entier en raison de la qualité exceptionnelle de son vignoble et de la beauté de ses paysages. Saint-Émilion est inscrite au patrimoine mondial de l'humanité.
Le 16 novembre 1532, l'Inca Atahualpa, ou «fils du Soleil», se rend en grande pompe auprès de Pizarre dans l'espoir de sauver son pays, l'empire inca.
Son arrestation par traîtrise va livrer aux Espagnols l'immense empire des Andes, ses villes et ses mines... novembre 1700 : Le petit-fils de Louis XIV roi d'Espagne
Le 16 novembre 1700, Louis XIV prend la décision que toute l'Europe attend. Il entérine le testament du roi d'Espagne Charles II de Habsbourg, mort le 1er novembre sans héritier, et autorise son petit-fils, le duc d'Anjou, à relever la couronne d'Espagne sous le nom de Philippe V de Bourbon. « Il n'y a plus de Pyrénées », se serait alors exclamé l'ambassadeur d'Espagne Castel dos Rios...
Cette coalition devait à l'initiative d'Alexandre Millerand regrouper toutes les formations qui avaient fait partie de l'union sacrée pendant la Grande Guerre. Mais les socialistes en avaient été exclus en raison de leurs compromissions avec les bolchéviques russes et les radicaux s'en étaient exclus du fait de l'absence des socialistes...
Atteinte dans sa vitalité par le carnage de la Grande Guerre et son contrecoup sur la natalité, la France peine à retrouver sa prospérité d'antan et compte sur les réparations allemandes pour la sortir d'affaire. Président du Conseil, Raymond Poincaré, fait occuper la Ruhr pour garantir leur versement. C'est un échec que les électeurs sanctionnent lors du scrutin du 11 mai 1924 en remplaçant le Bloc national par le Cartel des gauches.
De passage à Brazzaville, capitale de l'Afrique Équatoriale Française, le chef de la France Librefonde l'ordre de la Libération.
Cinq mois après l'invasion de la France par l'armée allemande, il veut avec cet ordre honorifique«récompenser les personnes ou les collectivités militaires ou civiles qui se seront signalées dans l'oeuvre de libération de la France et de l'empire».
1.059 croix ont été ainsi décernées jusqu'à la cessation d'attribution en janvier 1946.
18 l'ont été à des unités militaires et cinq à des communes françaises : Nantes, Grenoble, Paris, Vassieux-en-Vercors et l'Ile de Sein. 271 personnes ont par ailleurs reçu la croix à titre posthume. À titre exceptionnel, Winston Churchill et feu le roi George VI l'ont reçue en 1958 et 1960.
Le 16 novembre 2012, les Compagnons de la Libération, réduits à une vingtaine, transmettront aux cinq communes «compagnons» le soin d'entretenir leur souvenir ainsi que le musée installé aux Invalides. Il reviendra aussi à ces villes de désigner le successeur de l'actuel chancelier, le colonel Fred Moore, ancien de la 2 DB.
Deuxième après la Légion d'Honneur dans l'ordre protocolaire, l'ordre de la Libération n'a eu qu'un seul Grand-Maître, le général de Gaulle. Il se flatte de ne compter dans ses rangs que d'authentiques résistants (à l'exception peut-être du trop flamboyantAndré Malraux) parmi lesquels des hommes de grand mérite comme François Jacob, Prix Nobel de médecine 1965.