Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
2 Avril 2015
Vita della beata suor Alessandrina da Sulmona, fondatrice del Monastero di Santa Lucia di Foligno
Nous fêtons aujourd’hui les :
Alexandrine : Cendrine, Sandie, Sandrine, Sandy
Eustase
Nizier
Nicet
Bienheureuse Sandrine
Alexandrine, encore appelée Sandrine, fonda un couvent de clarisses en Ombrie, dans la région de Pérouse, au XVe siècle. L'ordre des clarisses tire son nom de sa fondatrice, sainte Claire, disciple de saint François d'Assise. Fondatrice du couvent de Foligno, en Ombrie (Italie) (✝ 1589)
Si grande était sa discrétion qu'on ne sait qu'une seule chose d'elle, l'admiration sans borne de ses sœurs, après sa mort.
Les Saint(s) du jour
St Francesco de Paule, ermite et fondateur (1416-1507)
St François Coll, prêtre o.p. et fondateur (1812-1875)
St Apphien, martyr († 306)
Ste Théodora, vierge et martyre († 307)
St Abondius (Abbondio), évêque à Côme († 461)
St Victor (Vittore), évêque en Campanie († 554)
St Nizier, évêque de Lyon († 573)
St Eustase, abbé au monastère de Luxeuil († 629)
St Jean (John) Payne, prêtre et martyr († 1582)
Bx Diego Luis de San Vitores, martyr († 1672)
St Pedro Calungsod, prêtre s.j. et martyr († 1672)
Bx Leopoldo de Gaiche, prêtre o.f.m. († 1815)
St Dominique Tuóc, prêtre o.p. et martyr († 1839)
Bse Elisabetta Vendramini, religieuse et fondatrice († 1860)
St Guillaume Apor, évêque et martyr († 1945)
Bx Mykola Čarneckyj, évêque et martyr (1884-1959)
Bse Marie de Saint-Joseph, vierge et des Augustines Récollettes du Sacré-Cœur († 1967)
Confesseur.
Considéré par ses parents comme l'enfant d'un miracle accompli par le Poverello, saint François d'Assise, il en reçut le prénom. François Martotelli est né dans le villa de Paola en Calabre d'où son nom. Tout jeune, il entre chez les Cordeliers (une branche de la famille franciscaine). Il s'y distingue bien vite par des grâces exceptionnelles, comme de se retrouver en deux endroits en même temps. Après un pèlerinage, il se retire dans une grotte à quelque distance du couvent. D'autres solitaires le rejoignent : ils deviendront en 1460, l'Ordre des Minimes, religieux voués à l'humilité superlative. François continue bonnement ses humbles excentricités: on dit qu'il traversa le détroit de Messine en marchant sur la mer. Sur injonction du Pape Sixte IV, il se rend à Plessis-lès-Tours, au chevet du roi de France Louis XI. Après le décès du monarque, le fondateur va rester un quart de siècle à la cour de France. Affectueusement surnommé "le bonhomme" par le peuple qui le vénère, ce simple frère-laïc bénit inlassablement cierges et chapelets. Pourtant il gouverne à merveille la vie spirituelle des prêtres, évêques et rois.
Illustration: Saint François de Paule, portrait de 1507 par Jean Bourdichon (1457-1521)
Le 2 avril 2007, a été fêté le 500ème anniversaire de la mort de Saint François de Paule (27 mars 1416 - 2 avril 1507).
Dans notre diocèse, le culte auprès de ce grand saint a été considérable, à Bormes-les-Mimosas et à Fréjus bien sûr mais aussi à Toulon (église Saint-François-de-Paule) et en d’autres lieux où des couvents de Minimes furent fondés...
Mémoire de saint François de Paule, ermite. Fondateur de l’Ordre des Minimes en Calabre, il prescrivit à ses disciples de vivre d’aumônes, de n’avoir rien en propre, de ne pas toucher d’argent et de ne manger que des aliments permis pendant le carême. Appelé en France par le roi Louis XI, qu’il assista à ses derniers moments, il mourut en 1507, à Plessis-lès-Tours, illustre par l’austérité de sa vie.
Saint François Coll y Guitart
Prêtre dominicain et fondateur des :
« Sœurs Dominicaines de l'Anunciata »
François (Francisco) Coll y Guitart, naît à Gombren (Gérone) le 18 mai 1812. Il était le dixième et dernier enfant d'un cardeur de laine.
En 1823, il entra au séminaire de Vic où, parallèlement à sa propre formation de séminariste, il se dédia à celle des enfants.
Par une claire inspiration de Dieu, il rentra dans l'Ordre des Prêcheurs à Gérone en 1830 où il y demeura jusqu'à la profession perpétuelle et où il reçut le diaconat, jusqu'à ce qu'en 1835 la claustration des religieux l'obligeât à vivre en dehors du couvent. Mais jamais il ne renonça à sa profession dominicaine, au contraire, il la vécut avec toujours plus d'intensité.
Avec le consentement de ses supérieurs, il reçut le sacrement de l'Ordre avec le « titre de la pauvreté » en 1836. Il fut envoyé au ministère paroissial et ensuite à la prédication itinérante, comme cela correspondait à son charisme dominicain. Il pratiqua durant quarante ans une intense prédication dans toute la Catalogne, à travers des missions populaires, soit en groupe, soit en solitaire et il contribua à la rénovation religieuse de la société. Sa prédication, toujours fidèle à l'Évangile, surmontait largement les circonstances adverses avec grande foi en la vie éternelle.
Nommé directeur de l'ordre laïc dominicain en 1850, il eut en son pouvoir l'instrument juridique pour pouvoir remédier à un besoin de son époque et de sa région : la formation chrétienne des jeunes dans les lieux les plus pauvres et délaissés et ainsi il posa les premières fondations de la Congrégation des « Sœurs Dominicaines de l'Anunciata » en 1856.
Malade depuis 1869, suite à diverses épreuves de santé, comme la cécité et la perte de ses facultés mentales, il meurt à Vic (Barcelone) le 2 avril 1875. Son corps est vénéré à la maison Mère de la Congrégation.
Francisco Coll y Guitart a été béatifié le 29 avril 1979, par le Saint Jean-Paul II, et canonisé le 11 octobre 2009, par le Pape Benoît XVI (Joseph Ratzinger, 2005-2013).