Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
12 Avril 2015
Les prénoms fêtés
Jules
Mais aussi les
Jillian
Dicton
A Saint-Jules, les sansonnets tiennent ménages dans les clochers.
Les Saints du jour
St Giuseppe Moscati, médecin des pauvres (1880-1927)
Ste Teresa de Jesús de Los Andes, novice (1900-1920)
St Sabas le Goth, martyr (334-372)
Ste Vissia, vierge et martyre († 250)
St Jules I, pape (35e) de 337 à 352
St Zénon, évêque de Vérone, martyr († v. 372)
St Constantin, évêque de Gap († après le 517)
St Damien (Damiano), évêque en Lombardie († 697)
St Basile, évêque dans l'Hellespont († 735)
St Erkembode, évêque de Thérouanne († 742)
St Alfier (Alferio), abbé en Campanie († 1050)
Bx Laurent, prêtre o.s.h. au XIVe siècle
St David Uribe, prêtre et martyr (1889-1927)
Il travailla à affermir la foi en combattant l'arianisme qui professait que, si le Christ était parfait, en revanche il n'était pas divin. Son mérite fut d'avoir maintenu le mystère de la Sainte Trinité contre ceux qui tentaient de faire de la doctrine chrétienne un monothéisme à moitié rationaliste, acceptable par tous sans doute, mais éloigné des paroles du Christ lui-même dans leur interprétation fondamentale. Il fallut six conciles pour que la doctrine trinitaire et christologique puisse exprimer et respecter le mystère essentiel de la foi. Le plus célèbre d'entre eux fut celui que le Pape Jules Ier réunit à Sardique (actuellement Sofia en Bulgarie) Au moment où le patriarche d'Alexandrie, Saint Athanase, était exilé, le Pape saint Jules le soutint et le rencontra à Rome.
<- Illustration: médaillon dans la Basilique St Paul-hors-les murs où se trouve une longue série de médaillons représentant tous les Papes de l’histoire...
À Rome, au cimetière de Calépode, au troisième mille sur la voie Aurélienne, en 352, la mise au tombeau du pape saint Jules Ier, qui garda fermement la foi catholique, alors que sévissaient les ariens, prit la défense de saint Athanase contre les attaques de ses ennemis, l’accueillit quand il fut exilé et prit soin de convoquer dans cette affaire le Concile de Sardique.
Sainte Thérèse de Jésus de Los Andes
Novice chez les Carmélites déchaussées
Commémorée le 12 avril (dies natalis) par le MartyrologeRomain et le 13 juillet par l'ordre du Carmel.
À partir de 6 ans elle accompagna sa mère à la messe presque chaque jour avec le grand désir de communier, ce qu'elle fit pour la première fois le 11 septembre 1910. Dès lors elle aimait à communier chaque jour et à s'entretenir longuement avec Jésus, « son ami ».
Elle vécut aussi dès son enfance une intense vie mariale, qui fut un des piliers de sa vie spirituelle. La connaissance et l'amour de la Mère de Dieu anima et soutint chaque étape de son chemin à la suite de Jésus.
Elle fit ses études au collège du Sacré-Cœur (1907-1918). Profondément attachée à sa famille, elle pensait ne jamais pouvoir s'en séparer. Sa générosité lui fit vaincre l'épreuve de trois années d'internat, qui la préparèrent à la séparation définitive d'avec les siens le 7 mai 1919 où elle entra dans la communauté des carmélites de Los Andes.
Juanita avait entendu l'appel du Carmel à 14 ans. Par la lecture des saints de l'Ordre et une correspondance fréquente avec la prieure de Los Andes, elle se prépara si bien qu'on admire la lucidité avec laquelle à 17 ans elle comprenait l'idéal de la carmélite, et l'ardeur avec laquelle elle défendait la vie contemplative que « le monde traite d'inutile ». Elle la choisit par amour du monde, estimant lui être plus utile en témoignant de la dimension spirituelle de l'homme et en contribuant par son sacrifice à ce que le sang du Christ touche l'humanité et la purifie.
Comme carmélite, elle prit le nom de Thérèse de Jésus. Elle ne vécut pas même une année entière au monastère, où elle mourut le 12 avril 1920. Les religieuses assuraient qu'elle était déjà sainte à son entrée. Elle put ainsi consommer en si peu de temps sa course vers la sainteté qu'elle avait commencée très sérieusement bien avant sa première communion.
« Le Christ, ce fou d'amour, m'a rendue folle », disait-elle. Son rêve et son constant effort furent de lui ressembler, de se configurer au Christ. Pour se faire totalement semblable à lui, elle était prête à aller au bout du monde, à traverser le feu s'il l'eût fallu pour lui demeurer fidèle.
Toujours disponible aux autres, s'oubliant elle-même pour les servir joyeusement, elle rendait la vertu aimable et attrayante. Sa vie fut tout à fait ordinaire, équilibrée. Elle atteignit une maturité enviable par la synthèse harmonieuse du divin et de l'humain: oraison, études, devoirs domestiques et le sport qu'elle aimait passionnément, surtout la natation et l'équitation.
Belle jeune fille, sympathique, sportive, joyeuse, équilibrée, serviable et responsable, Thérèse de Los Andes peut entrainer les jeunes à la recherche du Christ et rappeler à tous que vivre l'évangile de l'amour est chemin d'accomplissement personnel.
Par son intercession, le Seigneur répand une abondante pluie de grâces et attire à lui d'innombrables enfants prodigues. Son sanctuaire, où se pressent plus de cent mille pèlerins chaque mois, est devenu le centre spirituel du Chili. Ainsi Thérèse de Los Andes remplit la mission qu'on lui reconnut peu après sa mort : susciter la faim et la soif de Dieu dans notre monde matérialiste.
Thérèse de Jésus de Los Andes a été béatifiée le 3 avril 1987 à Santiago du Chili et solennellement canonisée, le 21 mars 1993, à Rome, par le même Souverain Pontife : Saint Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).