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26 Mai 2015
né le : 26 mai 1822 à Nancy . Décédé le : 16 juillet 1896 à Champrosay
Alexandre-Sergueievitch Pouchkine est généralement considéré comme le fondateur de la littérature russe moderne.
Ce poète flamboyant, dandy et romantique à souhait, est élevé dans la culture française et connaît l'oeuvre de Voltaire aussi bien que de La Fontaine.
Dès le lycée, à Tsarskoïe-Selo, il affirme ses talents littéraires.
En 1820, son poème Rouslan et Ludmila lui gagne la célébrité… et un exil dans le Caucase pour cause d'opinions libérales. Rentré dans les faveurs du tsar Nicolas 1er en 1826, il retrouve la vie mondaine de Moscou et publie en particulier le drame national Boris Godounov.
Natalia Gontacharova, avec laquelle il s'est marié en 1831, aurait dû faire son bonheur.
Mais celle qui est considérée comme une des plus belles femmes de la Russie sera finalement la cause de sa mort : courtisée par tous, y compris le tsar Nicolas Ier, elle finit par envoûter un jeune officier français, d'Anthès. Le 26 janvier 1837, à Saint-Pétersbourg, il provoque le poète en duel et le blesse à l'aine. Transporté chez lui, Pouchkine meurt trois jours plus tard à moins de 38 ans.
Par son père, Pouchkine appartient à l'une des plus grandes familles russes et par sa mère, il est l'arrière-petit-fils du «nègre de Pierre le Grand», Abraham Petrovitch Hanibal (1696-1781). Né à Logone, au Cameroun, et présenté au tsar, cet Africain devint un ingénieur militaire réputé et fonda la ville d'Elisabethgrad (aujourd'hui Kirovograd, en Ukraine).
né le : 26 mai 1822 à Nancy . Décédé le : 16 juillet 1896 à Champrosay
Amis de tous les grands auteurs de leur époque (Zola, Maupassant, Flaubert, Daudet...), les frères Jules et *) Edmond Goncourt sont restés dans la postérité grâce au Prix littéraire fondé en 1902 conformément au testament d'Edmond.
Ils sont aussi les auteurs d'un Journal digne d'intérêt. Edmond en a poursuivi la rédaction après la mort prématurée de Jules en 1870.
On peut lire sous sa plume des propos d'une violence inouïe contre les juifs. Écrits dans les années 1890, à l'époque de l'affaire Dreyfus, ils font passer les sous-entendus de l'humoriste Dieudonné pour d'aimables gamineries...
Issue du testament d'Edmond de Goncourt (1822-1896).
L'Académie a vocation de promouvoir de jeunes talents littéraires en remettant chaque automne un prix à un auteur d'avenir.
Son choix se fait à l'issue d'un déjeuner des académiciens dans le restaurant Drouant (Paris).
À la différence de sa rivale du quai de Conti (l'Académie française), elle ne craint pas d'étaler les conflits de personnes ni d'être suspectée de compromissions commerciales avec les grands éditeurs.
Ses choix n'en sont pas moins heureux. C'est par l'Académie Goncourt que Proust et Malraux ont été révélés au grand public.