Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
3 Juillet 2015
3 juillet 324 : Constantin vainqueur de Licinius à Andrinople
Suit à l'échec du pouvoir collégial instauré par Dioclétien, l'empire romain se trouve partagé entre deux empereurs : Constantin domine l'Occident et Licinius l'Orient.
Constantin pénètre avec son armée en Thrace et se porte à la rencontre de son adversaire (qui est aussi le mari de sa soeur Constantia).
Les deux armées, fortes de plusieurs dizaines de milliers d'hommes chacune, s'affrontent le 3 juillet 324 devant Hadrianopolis (Andrinople), sur les bords de l'Hèbre.
Vaincu, Licinius s'enfuit vers Byzance et traverse l'Hellespont en direction de la Bythinie (Asie mineure). Il est rattrappé et vaincu à Chrysopolis par son adversaire. Constantin, désormais maître de tout l'empire, relègue Licinius à Thessalonique et le fait étranger quelques mois plus tard, sous le prétexte d'une conspiration.
3 juillet 987 : Sacre de Hugues Capet
Le 3 juillet 987, le comte de Paris Hugues Capet est sacré roi des Francs sous le nom de Hugues 1er à Reims, par l'évêque Adalbéron. Le premier, il fixe sa résidence à Paris.
Marié à une princesse carolingienne, Adélaïde de Poitou, il se présente en continuateur de la dynastie précédente mais pour assurer la survie de la sienne propre, il associe d'emblée son fils Robert (15 ans) au pouvoir et le fait sacrer dès le 25 décembre 987 à Orléans.
3 juillet 1187 : Saladin victorieux à Hattîn
Le 3 juillet 1187, les Francs de Palestine sont écrasés par le sultan Saladin au pied de la colline de Hattîn, près du lac de Tibériade. Cette bataille se solde par la reconquête de Jérusalem par les musulmans. Côté chrétien, l'incompétence du roi de Jérusalem, Guy de Lusignan, et la trahison de Gérard de Ridefort, grand maître de l'ordre du Temple, sont à l'origine du désastre.
Maître de l'Égypte et de la Syrie, le sultan Saladin remporte une grande victoire sur les croisés le 3 juillet 1187, au pied de la colline de Hattîn, près du lac de Tibériade, au nord-est de la Palestine.
Du jour au lendemain, les États francs de Palestine perdent presque toute leur chevalerie. Ces principautés féodales issues de la première croisade et presque centenaires sont désormais menacées de disparaître.
Le prix de la division
Combats entre musulmans et croisés, miniature arabe. Moins d'un siècle plus tôt, les chevaliers d'Occident s'étaient élancés vers l'Orient en vue d'enlever aux musulmans Jérusalem et le tombeau du Christ.
Les musulmans ayant refait leur unité sous l'égide du sultan Saladin, celui-ci part en guerre contre les successeurs des premiers croisés. Le choc entre les deux armées est d'une extrême violence.
Les chrétiens subissent une défaite totale et perdent même la relique de la Vraie Croix dont ils avaient cru bon de se faire précéder. Le désastre est en bonne partie dû à l'incompétence du roi de Jérusalem, Guy de Lusignan, et à la trahison de Gérard de Ridefort, grand maître de l'ordre du Temple.
À la fin de la bataille, le sultan se comporte vis-à-vis des prisonniers avec une magnanimité très relative, faisant «seulement» exécuter les 300 moines-soldats du Temple et de l'ordre des Hospitaliers... Il épargne provisoirement Gérard de Ridefort.
La chute de Jérusalem
Après la victoire de Hattîn, Saladin part sans attendre vers Jérusalem, dont il entame le siège le 20 septembre avec pas moins d'une douzaine de machines.
Presque totalement privée de guerriers professionnels, la Ville sainte se défend avec l'énergie du désespoir sous l'égide d'un jeune chevalier émérite, Balian d'Ibelin.
Désespérant d'obtenir sa reddition, le sultan se résout à négocier la vie sauve pour l'ensemble des défenseurs et des habitants, avec le droit pour tous les chrétiens de quitter la ville et de rentrer en terre chrétienne.
Selon les mœurs du temps, il libère les plus riches habitants contre une rançon appréciable. Il libère aussi 7.000 pauvres contre une rançon collective que paient de mauvais gré les ordres des Templiers et des Hospitaliers. Mais 11.000 à 16.000 jeunes gens, pour lesquels les ordres monastiques n'ont rien voulu payer, sont envoyés en esclavage.
La chute de Jérusalem moins d'un siècle après sa conquête par les croisés fait l'effet d'une bombe en Occident.
Les Francs de Palestine réclament une troisième croisade pour les secourir. Le roi de France Philippe Auguste et le roi d'Angleterre Richard 1er Coeur de Lion, qui vient d'être couronné, débarquent à leur rescousse mais le coeur n'y est plus et la croisade s'enlisera dans les querelles entre les deux souverains.
Le 03 Juillet 1844 : La fin des grands pingouins
Le grand pingouin (Pinguinus impennis ou Alca impennis) était l'unique représentant du genre Pinguinus, espèce éteinte depuis le XIXe siècle.
C'était le plus grand représentant de la famille des Alcidés de l'ère moderne et le seul qui était incapable de voler.
Il pesait entre 5,5 et 8 kg et mesurait 65 cm de longueur. L’utilisation de navires permit aux hommes d’aborder les îles reculées et d’atteindre les régions côtières inaccessibles par voie terrestre ; ils purent ainsi poursuivre les grands pingouins jusque dans leurs derniers refuges.
Ces derniers grands pingouins ont été exterminés le 3 juillet 1844.
Le 03 Juillet 1978 : Goldorak go !
Première apparition à la télévision française du dessin animé japonais 'Goldorak'. Les téléspectateurs d'Antenne 2 découvrent un "merveilleux robot" qui veille sur la terre. Machine anthropomorphe, elle relègue son serviteur humain, le prince Actarus, au rang de faire-valoir. Le succès est foudroyant.