Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
9 Septembre 2015
Mercredi 9 septembre 2015
Bonne Fête aux :
Alain : Alaine, Alan, Alana, Alanic, Alanis, Alanne, Alanyce, Allen
Gorgon
Omer : Aumérine, Omar, Omerine
Bienheureux Alain de la Roche
Dominicain (✝ 1475)
Alanus de Rupe, Von dem psalter unnd Rosen krancz unser lieben frauen. Wie man den beten solNé près de Plouër sur Rance (Côtes d'Armor) vers1428, il fut un grand prédicateur dominicain, parcourant la France, l'Allemagne et les Pays Bas pour développer la dévotion du chapelet et fonder des confréries du Rosaire. Il fonda la première à Douai.
C'est à Zwolle en Hollande qu'il partira contempler les mystères du Christ qu'il faisait méditer par le Rosaire.
Illustration: Alanus de Rupe, ouvrage du XVe sc. édité en Autriche, 'psautier et rosaire, comment on doit prier'
"C’est le bienheureux Alain de Roche, un des premiers disciples de saint Dominique qui coordonne le chapelet et l’enrichit en y ajoutant les méditations, ainsi que la vie de Jésus et de Marie. Il l’appelle le chapelet du Rosaire parce qu’il ressemblait à un bouquet de roses qu’on dépose aux pieds de la Vierge." site du diocèse de Meaux.
Psautier de la Vierge Marie (1428-1475)
St-Gorgon
Membre d’un groupe d’eunuques (Dorothée et Pierre) particulièrement appréciés de l’empereur Dioclétien. Convertis au Christianisme, ils terminent leur vie en martyrs à Nicomédie (+ 303)
St-Omer (Audomar)
St-OmerFils de Friulphe et Domitta, un couple de nobles. Son lieu de naissance est difficile àétablir : Orval (près de Coutances en Normandie) pour les uns, Constance (Allemagne) pour les autres. Lorsque sa mère décède, son père et lui sont admis chez les moines Bénédictins de Luxeuil. En 637, il est nommé évêque de Thérouanne (Pas-de-Calais) par le roi Dagobert. Durant son épiscopat, il travaille à convertir les peuples demeurés païens et fonde une abbaye en un lieu nommé Sithiu (qui sera plus tard dirigé par Saint-Bertin). Vers la fin de sa vie, il perd la vue au point de devenir complètement aveugle (595-670)
Source de l’image : http://web.me.com/windekindvzw/ADINKERKE_-_DE_PANNE/ADINKERKE,_SINT-AUDOMARUSKERK.html
Ste-Osanne (Osmanne)
Fille d’une illustre famille irlandaise, elle émigre en Bretagne armoricaine où elle s’installe comme ermite, dans la région de Saint-Brieuc (+ 650)
St-Pierre Claver
Fils d’un agriculteur espagnol. Après avoir effectué des études à l’Université de Barcelone, il entre chez les Jésuites et s’engage comme missionnaire en Amérique. Dès lors, il consacre le reste de sa vie à la défense des esclaves qui travaillent dans les plantations des environs de la ville de Carthagène, en Colombie (1581-1654) Saint-Pierre Claver est le patron des esclaves, des missions étrangères et des personnes de couleur noire. Il est invoqué pour combattre l’esclavage et pour favoriser la justice inter raciale
St-Sévérien
Sénateur d’origine arménienne sous le règne de Licinius, il assiste à l’exécution des Quarante martyrs de Sébaste. Il subit le martyre à son tour lorsqu’il confesse sa Foi (+ vers 320)
St-Straton Martyr inconnu
St-Thégonnec (Quonoc)
Moine d'origine galloise, disciple de Saint-Paul Aurélien, vénéré dans le Finistère (VIe siècle)
St-Tiburce
Martyr en Sabine (Italie) en compagnie d’Alexandre et de Hyacinthe (+ 690)
St-Ulphace
Originaire d’Auvergne, il rejoint les moines de l’abbaye de Micy avant de se retirer dans le Maine où il s’installe comme ermite sur les bords de la rivière Braye, aux environs de Montmirail. Ayant attiré de nombreux disciples, il fonde pour eux une abbaye qui sera à l’origine du village actuel de Saint-Ulphace (Sarthe) (VIIe siècle)
Ste-Wulfhilde Jeune Anglaise, confiée dès son jeune âge à la direction de sa tante, abbesse à Wilton, elle entre à son tour chez les novices. Courtisée par le roi Saint-Edgar, qui souhaite l’épouser, elle réussit à se soustraire à cette union et devient successivement abbesse du couvent d’Horton, dans le Dorset, puis du monastère de Barking, dans le Wessex (+ vers 1003)