La curieuse histoire de mais…

La curieuse histoire de mais…

Cela est une bien curieuse histoire.
Que ce mets essaie de nous faire croire.
Il met chapeau bas devant la maie.
Les fromages n’ont dit que mais…
Et de mets en mai fût l’allergie obligée.

Mes fidèles amis en ont eu assez.
De cet olibrius impénitent qui sait tout,
Il doit cesser de vouloir tout encenser,
De nous napper de son sirop de « Canadou » !
Ce flatteur incorrigible, au sourire obligé.

Dans cet état, l’attention est affaiblie,
Sa maladie produit cette situation précaire,
Cependant, sa condition ostracaire,
Le met dans un état proche de l’périhélie,
Ce triste état fait de nous les obligés.

Dans cet état, on nous parle de liberté,
De sa conjoncture de ses bonnes grâces.
La nation se réveille, fait état de ces disgrâces,
Prises pour régénérer dit-on pour la sûreté.
L’État-providence n’est plus cet obligé.

Monique Macalou 8 septembre 2015.