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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

REVUE DE PRESSE DU 3 mai 2018

REVUE DE PRESSE DU 3 mai 2018

REVUE DE PRESSE DU 3 mai 2018 N°16

Monique Macalou

SOMMAIRE

Page : 2 JOURNAL LE MONDE : L’accord sur le  nucléaire  iranien  en  grand  péril

Pagé : 2                                   Congé parental :  la lettre ouverte de syndicats à Emmanuel Macron

Page :3                                    La  bataille  des  aides  aux  agriculteurs  est  engagée

Page :3  LE PARISIEN              « Exit tax» : Bruno Le Maire nie toute politique «socialement injuste»

Page :  3                                  Municipales 2020 : Rachida Dati rêve de rassembler la droite à Paris

Page :4                                    Les commerçants victimes des casseurs

Page : 4                                   Congé parental :  la lettre  ouverte  des  syndicats  à  Emmanuel

  Macron

Page 5 :                                   Avocats gagnent leurs procès

Page : 6 ZONE MILITAIRE       Les dépenses militaires mondiales ont encore progressé de 1,1% en 2017

Page : 6 JOURNAL DE PARIS   Dix parcs  ouverts  dès  7  heures,  le  bonheur  des  joggeurs

Page 7                                     Les casseurs se trompent de cible

Page :  7 Le Figaro                  A Paris les casseurs enflamment le défilé

Page 8                                     Centre pour immigrants

Page : 9 L’OPINION                Santé : "L'Elysée et Matignon n'ont pas conscience de l'urgence"

Page : 10 LIBERATION            Dans le Cher, Edouard Philippe fait la promo à reculons des 80km/h

Page 10 : LES ECHOS              Vélib' : un plan de sortie d'ici la fin de semaine

Page 11 LA NOUVELLE REPUBLIQUE Macron en Nouvelle Calédonie

 

 

 

 

EN BREF : LE MONDE

L’accord sur  le  nucléaire  iranien  en  grand  péril

  Benyamin  Nétanyahou.  le  premier  ministre  israélien,  a  mis  en  scène  lundi  3o avril  ~  cent  mille  dossiers,  qui prouvent,  selon  lui,  que  Téhéran  a  menti.

Donald  Trump  devrait  décider  avant  le  12rnai  si  les  Etats-Unis  se  retirent  de  l'accord  sur  le  nucléaire  iranien,  qu'il  a  toujours  jugé  désastreux»

Emmanuel  Macron  tente  de  sauver  l'accord  en  l'élargissant,  mais  devra  au  préalable  convaincre  la  Russie  et  l'Iran.

Congé parental :  la  lettre  ouverte  des  syndicats  à  Emmanuel  Macron

 Le  chef  de  l'Etat  est  appelé  à  soutenir  un  projet  de  directive  européenne  visant  à  bonifier  l'indemnisation  de  ce  dispositif  en  France

Chose  rare  en  ces  temps  de  désunion  syndicale,  Laurent  Berger  (CFDT),  Philippe  Martinez  (CGT),  Pascal  Pavageau  (FO),  Philippe  Louis  (CTFC)  et  Luc  Bérille  (UNSA),  les  numéros  un  des  syndicats  français  membres  de  la  Confédération  européenne  des  syndicats  (CES),  ont  pris  la  plume  pour  s'adresser  à  Emmanuel  Macron  dans  un  courrier  qui  devait  être  envoyé  mercredi  2  mai.  L’objectif :  appeler le  chef  de  l'Etat  à  soutenir  un  projet  de  directive  européenne,  proposée  par  la  Commission  de  Bruxelles  et  actuellement  en  discussion  au  Conseil  de  l'Union  européenne,  qui  améliorerait  l'indemnisation  du  congé  parental  en  France.  Cette lettre

Cette  lettre,  que  Le  Monde  a  consultée,  est  aussi  paraphée  par  Luca  Visentini,  le  secrétaire  général  de  la  CES.<<  Les  politiques  d'austérité  et  de  flexibilité  du  marché  du  travail  développées  dans  l'Union  européenne  suite  à  la  crise  pénalisent  directement  les  femmes»,  écrivent-ils,  jugeant  déterminante  cette  directive  sur  l'équilibre  vie  privée-vie  professionnelle<<  pour  garantir  l'autonomie  économique  des  femmes,  leur  égal  accès  au  marché  du  travail  et  un  autre  partage  des  tâches».  Ces derniers rappellent  à  M.  Macron qu’il a fait de l'égalité entre les femmes et les hommes   une  grande  cause  nationale  et  qu'à  plusieurs  reprises,  il  a  souhaité  que  «  la  France  soit  exemplaire  à  l’échelle  internationale».

  396 euros  par  mois : Le  16  avril,  une  cinquantaine  d'associations  avaient  déjà  publié  une  lettre  ouverte  au  président  dans  le  même  but.  Le  projet  de  directive  souligne  que  l'actuelle  directive  sur  le  congé  parental  ne  garantissant  pas  d'allocation,  «de  nombreuses  familles  ne  peuvent  pas  se  permettre  de  le  prendre  et  que   cette  question  a  une  incidence  majeure  sur  la  prise  de  ce  congé  par  les  pères».  Pour tenter  d'y  remédier,  il  prévoit  un  congé  parental  de  quatre  mois  non  transférable  et  payé  au  niveau  des  indemnités  journalières  de  maladie,  soit  50  %  du  salaire  en  France,  alors  qu'il  est  actuellement  plafonné  dans  l'Hexagone  à  396  euros  par  mois.  Mais  le  17  avril,  devant  le  Parlement  européen,  M.  Macron s’est  opposé  à  cette  proposition. Les  congés  parentaux  payés  au  niveau  de  l'indemnité  maladie  journalière,  c'est  une  belle  idée  mais  qui  peut  coûter  très  cher  et  finir  par  être  insoutenable,  a  déclaré  le  chef  de  l'Etat,  estimant  que les  modalités  ainsi  décrites  telles  qu'elles  sont  analysées  sur  le  système  français  ont  un  coût  potentiellement  explosif».  Les associations signataires  de  la  lettre  du  16  avril  avaient,  elles,  calculé  que  ce  coût  serait  limité  pour  les  finances  publiques,  voire  nul,  car  il  réduirait  la  pression  sur  le  système  d'accueil  du  jeune  enfant.  Pour les syndicats,  il  s'agirait  aussi  de    mettre  les  paroles  en  adéquation  avec  les  actes. 

La  bataille  des  aides  aux  agriculteurs  est  engagée

Mercredi  2mai,  la  Commission  européenne  a  confirmé  vouloir  couper  pour  la  première  fois . Dans le  cadre  du  budget  :  les subventions entraineraient la  baisse  passerai en France à 50,03  d’Euros sur sept ans, soit une baisse de 3,9%, pour  les  agriculteurs la baisse entrainerait  une perte nette de revenus déjà frappés  par  la  crise  du  lait  et de l’élevage.

  Paris  a  vivement  réagi.  "inenvisageable »,  a  indiqué  le  ministre  de  l'agriculture.  «  Nous  allons  batailler  contre»,  a  promis  le  premier  ministre. Bruxelle entend ainsi compenser le trou laissé par le Brexit dans le budget communautaire, et financer de nouvelles priorité.  EN BREF : LE PARISIEN

«Exit tax» : Bruno Le Maire nie toute politique «socialement injuste»

Le but affiché par le ministre de l’Economie est d’«inciter les investisseurs à venir» en France.

Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, se défend, ce jeudi, de mener une politique «socialement injuste». Il assure que la suppression de l’«exit tax», annoncée par Emmanuel Macron, vise à «créer de l'emploi pour tous les Français».

 «Cette exit tax» (littéralement la «taxe de sortie»), mise en place en 2011 afin de freiner l'exil fiscal des chefs d'entreprise, «n'a pas lieu d'être», a déclaré le ministre sur France 2. «Cette taxe ne rapporte quasiment rien», a-t-il ajouté, évoquant un rendement de moins de 15 millions d'euros par an. « Mais elle a un effet repoussoir pour les investisseurs et pour les entrepreneurs.»

Municipales 2020 : Rachida Dati rêve de rassembler la droite à Paris

Pour les municipales de 2020, la maire du VIIe arrondissement se verrait bien conduire une droite parisienne actuellement sans vrai leader et qui ne veut surtout pas de parachutage.

Rachida Dati candidate Les Républicains en 2020 à Paris ? Crédible ? La principale intéressée masque, en tout cas, de moins en moins ses ambitions : « Je veux continuer mon travail européen, mais j’ai aussi un enjeu parisien », glissait l’eurodéputée, lundi matin, sur France Info. Comme en écho aux propos tenus quelques jours plus tôt sur BFMTV : « Imaginons que ma famille politique dise : Pourquoi pas. Et bien, je mènerai le combat ».

Voilà qui est dit, même si le plus dur reste à faire pour la maire du VIIe arrondissement, souvent qualifiée de clivante, et qui est loin de ne compter que des amis dans son propre camp. « Moi clivante ? Mais ce n’est pas le propre des convictions et de la politique ? », balaie, en privé, la principale intéressée, néanmoins prête à mettre de l’eau dans son vin.

 « Il faut lui reconnaître qu’elle a de la carrure »

« Elle a compris qu’il fallait qu’elle arrête de dire du mal de tout le monde. Et c’est vrai qu’elle fait des efforts. Elle s’est même remise à payer sa cotisation au groupe LR ! », ironise un conseiller d’arrondissement. « La droite parisienne s’est pacifiée après le départ de NKM mais on a aucun leader qui émerge. Alors tout est possible, même de se ranger derrière Rachida », glisse un autre en résumant autrement la situation : « Le candidat idéal, c’est une personnalité qui a une légitimité à Paris, du charisme et dans l’idéal qui a déjà été ministre. Elle coche les cases. En tout cas, hors de question d’entendre parler à nouveau d’un parachutage ! », balaie-t-il, alors que la rumeur d’une candidature de Virginie Calmels a un temps circulé.

Les commerçants victimes  des  casseurs  sont  dépités  alors  qu'au  lendemain  des  violences  du  1er  mai,  le  déblayage  des  établissements  saccagés  a  commencé.

Sur  le  panneau  en  bois  qui  remplace la  porte  d’entrée,  une  affiche  promet  la  réouverture  du  restaurant  en  fin  de  semaine  «  Quel  courage ils sont bien optimiste de vouloir rouvrir si tôt. Les casseurs vont revenir ce n’est pas fini. Marmonne un passant devant Mac Do Boulevard de l’Hôpital. Au lendemain des violences commises par 1200 jeunes cagoulés participants indésirable au défilé syndical du 1er mai, les commerces saccagés près de la gare d’Austerlitz ont rouvert leurs portes.

Tous sauf le concessionnaire Renaud et Mac Do, principales cibles du groupe mêlant anarchiste, anticapitaliste et simples casseurs. Les équipes ont très bien réagi, elles ont mis les clients en sécurité, en les exfiltrant par les portes en arrière, explique le directeur du restaurant à la Mairie de Paris Anne Hidalgo venue soutenir les commerçants. Christian Noël de la boutique Renault a vu son garage brulé à la télévision. Je suis en colère bien sûr, mais si la police était intervenue, il y aurait eu des morts et des blessés, ils avaient des fous furieux. Souffle-t-il dépité.

  HIDALGO TENTE DE PANSER LES PLAIES

Pour les brasseries du coin cet acte de vandalisme tombe très mal. Avec les grèves l’activité sur le boulevard est déjà catastrophique. La fermeture un soir de premier mai représente 1000€ de chiffre d’affaire, explique Alexandrine et Nicolas gérants de l’Austerlitz Kié. Ils redoutent surtout les prochaines manifs annoncées, en particulier celle de samedi. Anne Hidalgo, s’est voulue rassurante : avec le préfet nous allons travailler sur le parcours et les forces mobilisées pour éviter que ces débordements se reproduisent.

La ville s’est engagée à aider les commerçants dans leurs démarches administratives auprès des assurances.

Paris : les avocats gagnent le procès des « box vitrés »

Les grandes figures du barreau de Paris ont plaidé, ce mercredi, pour une « justice digne ». Les box vitrés dans lesquels comparaissent les accusés vont être allégés

« C’est une manifestation sans violence, mais résolue », a lancé ce mercredi après-midi maître Henri Leclerc, entouré de figures du barreau de Paris comme maîtres Thierry Herzog ou Francis Szpiner, et d’une cinquantaine d’avocats pénalistes qui faisaient le procès des box vitrés du nouveau tribunal d’Instance de Paris.

Dès l’ouverture de ce nouveau Palais de justice, le 23 avril dernier, les avocats ont manifesté contre les « boxtignolles ». « Mais cette fois-ci, nous avons décidé de plaider contre ces cages, ces boxes vitrés qui ne permettent pas à la défense de faire son travail et qui séparent le juge du justiciable », dénonce Christian Saint-Palais, président de l’association des avocats pénalistes (ADAP).

Une cinquantaine de robes noires se sont alors installées dans la salle d’audience 4-11 réservée au juge des libertés et de la détention. Avant même de décider ou non de la prolongation de la détention d’un grand gaillard accusé d’association de malfaiteur et de détention d’armes, c’est véritablement le procès du box de verre dans lequel il était enfermé, cerné de deux gendarmes, qui s’est déroulé.

 « C’est important que ce beau palais qui se veut être le plus grand d’Europe soit exemplaire », plaide en dehors de la salle d’audience Basile Ader, vice-bâtonnier de Paris. Maître Henri Leclerc, doyen des avocats avec 62 ans de métier, prend la parole. « Nous sommes ici pour défendre une certaine idée de la justice. La justice gagne à ce que les gens soient jugés dans des conditions dignes. Tout homme doit comparaître libre. Or, ce n’est pas le cas avec ces cages de verre », souligne-t-il.

La représentante du parquet a tenté de défendre sa cause, celle d’un cas précis, d’un homme déjà poursuivi pour évasion… Mais après délibération, la juge a invité le prévenu à « comparaître à la barre ». « C’est gagné, souligne maître Romain Boulet qui pourra ainsi défendre « dignement » son client. « Cette décision fera école », se réjouit maître Ader au nom de la profession.

Dans les faits, le TGI a déjà pris la mesure. Sur les 13 salles aménagées de box, seule la salle d’audience pour les affaires de terrorisme restera sous verre « avec des améliorations du système de sonorisation ». Huit autres salles auront un vitrage allégé avec une ouverture de 50 centimètres, permettant aux avocats de parler à leur client, au lieu des 15 centimètres actuellement. Et quatre salles auront les boxes « totalement retirés ».

 « Nous voulons le démontage pur et simple de tous les box » réagit Christian Saint-Palais, prêt à une nouvelle mobilisation

EN BREF : ZONE MILITAIRE

Un tel exercice n’est pas toujours aisé dans la mesure où certains pays, comme la Chine, ne sont pas aussi transparents que d’autres quand il s’agit de leur effort de défense.

Par ailleurs, il faut regarder ce que le Sipri entend par « dépenses militaires ». En effet, l’institut suédois englobe « toutes les dépenses publiques actuelles pour les forces et les activités militaires, y compris les salaires et les avantages sociaux, les frais de fonctionnement, les achats de matériel militaire et d’armes, les infrastructures militaires, la recherche et développement, l’administration centrale, le commandement et le soutien. »

Ainsi, en France, l’an passé, le budget de la mission Défense était annoncé à 32,4 milliards d’euros [hors pensions, hors gendarmerie] alors que le Sipri évalue les dépenses militaires françaises à 57,8 milliards de dollars [soit 48 milliards d’euros au cours actuel, ndlr], en baisse de 1,9% par rapport à 2016. Le périmètre retenu par le Sipri est même plus large que celui donné par l’Otan car ce montant serait dans les clous des fameux « 2% du PIB », en le dépassant de 0,3%.

Quoi qu’il en soit, selon le Sipri, les dépenses militaires mondiales ont progressé de 1,1% « en termes réels par rapport à 2016 », pour s’établir à 1.739 milliards de dollars, ce qui représente 2,2% du PIB mondial et 230 dollars par personne.

 « L’augmentation des dépenses militaires mondiales de ces dernières années est largement due à la croissance substantielle des dépenses des pays d’Asie et Océanie et du Moyen-Orient, tels que la Chine, l’Inde et l’Arabie Saoudite », relève le Dr Nan Tian, chercheur au programme Armes et Dépenses militaires (AMEX) du Sipri.

EN BREF : LE JOURNAL DE PARIS

Dix  parcs  ouverts  dès  7  heures,  le  bonheur  des  joggeurs

A partir  d'aujourd'hui,  dix  parcs  municipaux  avancent  d'une  heure  leurs  horaires  d'ouverture.  Notamment  pour  permettre  aux  lève-tôt  de  courir  dans  la  verdure  ...  avant  d'aller  au  travail.

Dix  espaces  verts  municipaux·  qui  adaptent  leurs  horaires  aux  lève-tôt.  Jusqu  à  présent  ouverts  au  public  à  partir  de  8  heures  en  semaine  et  9  heures  le  week-end.  ces  parcs  et  des  squares  seront  désormais  accessibles  une  heure  plus  tôt.  Ils  conserveront  en  revanche  les  mêmes  horaires  de  fermeture  (de  20  heures  à  22  heures.  selon les  sites  et  les  saisons)

Les Parcs

  Le jalon  Vilemin  (Xème),  la  promemade  Plantée René-Dunont (XJème).le parc Kellermann (XJI), Le square Père-le-Gal (XlIIt) jusqu'au 15septemb, Seulement   le  parc André-Citroën  {XVème).  le  Parc  Sainte-Périne(XVIème)  Le Parc Martin Luther King (XVIIème) Les jardins  d’Ede (XVIIIème) la Parc de la Butte-du-Chapeau-Rouge  (XIXème)  ,  le Parc  de  Belleville  (XXe)

LES CASSEURS SE TROMPENT DE CIBLE

Boulevard  de  l'H6pltal  CV,).  hier.  Les  commerçants.  qui  ont  reçu  la  Ylslte  r!  Anne  Hidalgo  (en  bas  ,  droitd.  ont  pu  constater  rttondue  des  dfgats.  convne  Olristlan  Noë~  le  patron  de  la  concessk>n  Renault  (cklessus).  «  Les  casseurs  se  trompent  de  cible  »  Les  commerçants  victimes  des  casseurs  sont  dépités  alors  qu'au  lendemain  des  violences  du  1er  mai,  le  déblayage  des  établissements  saccagés  a  commencé.

EN BREF : FIGARO

De  violents  heurts  entre  la  police  et  des  casseurs  de  l'ultragauche  ont  éclaté  en  marge  du  défilé  du  1er  Mai,  à  Paris.  Mis  en  cause,  le  gouvernement  se  défend  de  toute  faiblesse

1200  black  blocs,  militants  d'ultragauche,  s'en  sont  pris  aux  forces  de  l'ordre  et  se  sont  livrés  à  des  saccages. 

Cette fois Paris a brulé, Vitrines cassées, mobiliers urbains dégradés, Engins de chantiers Restaurants incendié policiers pris à parti. Interpellation en cascades. Des spectaculaires heurts tant redoutés depuis la veille par la Préfecture de Police, ont émaillé  le  défilé  du  1er mai. Dans la capitale. 

 

Un centre pour migrants dans l’Ouest Parisien

Un centre  pour  migrants  dans  l'Ouest  parisien  Le  projet,  qui  risque  d'être  adopté  par  la  majorité  municipale,  est  présenté  jeudi  par  les  élus  communistes  et  Front  de  gauche.  Le terrain  de  plus  de  3  hectares  se  situe  près  de  Longchamp. 

Face  à  l'urgence  d'héberger  les  migrants  qui  affluent  à  Paris, 3000  réfugiés  s'entassent  dans  trois  campements  de  fortune  au  nord  de  Paris-,  le  groupe  communiste-Front  de  gauche  propose  d'installer  un  camp  d'accueil  près  de  l'hippodrome  de  Longchamp.  Il  dépose  jeudi  un  vœu  en  ce  sens  au  Conseil  de  Paris.  Le  lieu  est  déjà  repéré.  Il  s'agit  d'un  terrain  de  3,5  hectares  situé  entre  la  Seine  et  le  champ  de  course  fraîchement  rénové  de  l'Ouest  parisien.  « Cette  aire  vient  d'être  aménagée  pour  recevoir  les  gens  du  voyage  avec  l'installation  de  l'électricité  et  de  sanitaires,  indique  Ian  Brossat,  adjoint  (PCF)  à  la  maire  de  Paris  chargé  du  logement  et  de  l'hébergement  d'urgence.  On  peut  très  bien  concevoir  de  destiner  ces  équipements  avec  des  aménagements  supplémentaires  pour  l'accueil  d'une  centaine  de  migrants.  Paris  Le  site  envisagé  serait  l'aire  d'accueil  des  gens  du  voyage,  au  bois  de  Boulogne.  Ils disposent  déjà  d'une  aire  pour  les  gens  du  voyage  et  leurs  caravanes  dans  le  XIème  arrondissement,  près  du  Bois  de  Vincennes.»  Inaugurée  mi-2017,  «cette  aire  est  loin  d'être  saturée,  explique  Nicolas  Bonnet,  conseiller  communiste  du  XIIe  arrondissement.  Dans  ce  contexte,  Longchamp  nous  est  apparu  être  la  solution  la  mieux  adaptée  pour  répondre  à  l'urgence  de  la  situation  et  rééquilibrer  les  centres  d'accueil  vers  l'ouest  parisien  alors  qu'ils  sont  trop  concentrés  dans  le  nord-est.  »

  «  Un  moindre  mal»    Cette  délibération  devrait  être  adoptée  z  puisque  ce  projet,  déjà  défendu  par  les  écologistes  et  le  PCF  il  y  a  deux  ans,  est  désormais  soutenu  par  la  maire  de  Paris  Anne  Hidalgo.  Toutefois, la majorité   municipale  devra  convaincre  l'État  du   bien-fondé  de  ce  projet.  Jusqu’à maintenant,  il  y  était  opposé,  arguant  que  ce lieu  est  trop  éloigné  des  transports  en  commun.  Par ailleurs,  le  gouvernement  veut  une  meilleure  répartition  des  migrants  sur  l'ensemble  du  territoire  national.  «  Madame  Hidalgo  fait  du  zèle.  Le  gouvernement  est  totalement  opposé  à  une  concentration  des  camps  de  migrants  dans  la  capitale.  Il  veut  au  contraire  que  les  camps  d'accueil  soient  mieux  répartis  dans  toute  la  France.  Nous venons  de  voter  une  loi  dans  ce  sens,  rappelle  Claude  Goasguen,  député  LR,  conseiller  de  Paris  du  XVIème  arrondissement.  Une  fois  de  plus,  le  Bois  de  Boulogne est visé.  Il s’agit  d'une  réserve  foncière  et  d'un  site  non  constructible.  Qu’elle trouve un  autre  terrain  ailleurs!»  L'Association  des  riverains  du  Bois  de  Boulogne  (ARBB)  attend  d'avoir  le  projet  entre  les  mains  avant  de  prendre  une  position  définitive.  «  Nous  sommes  en  charge  de  la  défense  du  Bois  de  Boulogne  en  l'état,  donc  sur  le  principe,  nous  ne  sommes pas  favorables  à  ce  projet,  remarque  Lionel  Lemaire,  président  de  I'  ARBB.  En revanche,  à  titre  personnel,  j'estime  qu'il  s'agit  déjà  d'un  lieu  affecté  juridiquement  à  l'accueil  de  personnes  :  cette  solution  apparaît  donc  comme  un  moindre  mal.  »  L’apaisement de  la  colère  des  riverains  de  la  porte  de  Passy,  deux  ans  après  l'installation  d'un  camp  d'accueil  de  SDF,  a  montré  qu'il  fallait  faire  preuve  de  dialogue  en  pareil  cas.  • 

EN BREF-L’OPINION

Santé : Patrick  Bouet,  président  de  l'Ordre  national  des  médecins,  regrette  que  le  gouvernement  ne  soit  pas  encore  entré«  dans  le  concret  des  solutions».  Pour  lui,  le  stade  de  la  concertation  n'a  que  trop  duré  Santé:  L'ELYSEE  ET  MATIGNON  N'ONT  PAS  CONSCIENCE  DE  L'URGENCE.

 Quels  sont  pour  vous  les  trois  chantiers  auxquels  doit  s'attaquer  de  toute  urgence  le  gouvernement?

 Il  faut  d’abord  agir  pour  décloisonner  l'ensemble  du  système  de  santé.  La  loi  dit  que  les  hôpitaux  publics  doivent  se  rassembler  entre  eux,  en  optimisant  leurs  moyens  et  en  partageant  leurs  équipes  au  sein  des groupements   hospitaliers  de  territoire  (GHT)Actuellement, on promeut ces GHT qui  ne sont,  hélas, ouverts  qu'à  l'hôpital  public.  A aucun moment  il  n'est  prévu  une  organisation territoriale  plus  large,  comprenant  les  cliniques  privées ou les médecins  libéraux environnant, soit tout ce qui fait le réseau de soins  sur  le  terrain.  Du coup, ceux qui imaginent des organisations territoriales différentes doivent faire des expérimentations dérogatoires, comme c’est le cas dans les Deux-Sèvres, pour pouvoir intégrer toutes les autres formes d’exercices de la médecine (comme les cliniques, les maisons de santé pluridisciplinaires, les médecins libéraux). C’est pourtant vers cela qu’il faut tendre pour créer une dynamique de territoire.

D’autres dossiers prioritaires

Il faut professionnaliser les jeunes médecins dans les territoires, ce qui n’est pas possible aujourd’hui. Pour cela il faut les sortir des centres hospitaliers (CHU) au sein desquels ils font leurs armes, et leurs premiers stages. Pour cela il faut réformer les CHU et les encourager à contracter avec les territoires pour la formation des internes. Troisième chantier prioritaire. Il faut favoriser les initiatives pour que les acteurs de santé locaux, puissent construire adapter à leur territoire.

Mais les trois chantiers ont été identifié depuis longtemps. Le gouvernement y travail ?

Le consensus existe autour des trois dossiers, en effet, maintenant, il faut agir.

 

EN BREF : LIBERATION

Dans  le  Cher,  Edouard  Philippe  fait  la  promo  à  reculons  des  80  km/h

Délocalisé pour trois jours dans le  département.  Le Premier ministre entend défendre  la  limitation  de  la  vitesse  sur  les  «petites  routes»,  mais  a  laissé  à  ses  conseillers les  rencontres  les  plus  rugueuses.

Le premier ministre et une partie de son cabinet ont entamé mercredi un déplacement de trois jours dans le département du cher. Le convoi roule, mais il roule sagement- un peu moins de 8Okm/h constate t’on au compteur. La loi sera effective en juillet. La baisse de la vitesse jouera à fond dans ce département rural. Selon Matignon, 99% du réseau local est concerné par la mesure. Elles visent les routes bidirectionnelles sans séparation médian. Le gouvernement espère sauver entre 350 et 400 vies chaque année au plan national.

Les agriculteurs et les passants croisés mercredi matin au marché aux bestiaux de Sancoins

L’idée ne fait pas recette dans le département, en tout cas pas auprès du Président du département Michel Autissier (LR) qui dénonce une aberration Ici le terrain est plat, vous pouvez faire jusqu’à 45 Km en ligne droite. « Moi j’ai essayé de rouler à 80km/h. Les camions représentent une part importante du trafic : comment pouvez vous rouler à 80km/h avec un poids lourd dans le dos ? Comment voulez-vous le doubler quand il est devant vous ?

Alors que ses détracteurs jugent l’exécutif éloigné de la ruralité, la tournée berrichonne doit mettre en scène un gouvernement branché   

EN BREF : LES ECHOS

VELIB'  UN  PLAN  DE  SORTIE  DE  '  CRISE  D'ICI  A  LA  FIN  DE  SEMAINE.

Un plan  détaillé  de  sortie  de  crise  sera  publié  d'ici  à  la  fin  de  la  semaine  par  l'opérateur  Smovengo,  en  charge  du  déploiement  du  Vélib',  ont  annoncé mercredi, Paris et la Métropole du Grand Paris(MGP). Le service Vélib est quasiment inexistant, en raison d’une grève des salariés, qui s’ajoute aux retards de déploiement, et à plusieurs bigs informatique, note le communiqué.

EN BREF : LA NOUVELLE REPUBLIQUE

Macron en Nouvelle-Calédonie pour célébrer "notre histoire commune »

Emmanuel Macron a atterri jeudi à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, à six mois du référendum sur l'indépendance de l'île, avec la volonté de "consacrer des moments importants de notre histoire commune", notamment "l'anniversaire des 30 ans d'Ouvéa".

Il doit rester jusqu'au 5 mai dans l'archipel pour une visite jalonnée d'actes symboliques qui s'annonce sensible, avec notamment un déplacement à Ouvéa, 30 ans tout juste après les sanglants événements.

Le chef de l'Etat, qui est accompagné notamment de la ministre des Outre-mer Annick Girardin, s'est dit à sa descente d'avion "très heureux dans ces derniers jours de la première année de (s)on mandat de fouler ce sol et cette île qui nous est chère et venir ici dans une année qui est importante pour la Nouvelle-Calédonie".

"Ce sera d'abord l'occasion (...) de consacrer des moments importants de notre histoire commune, des moments qui ont pu être parfois douloureux, comme ceux que nous aurons à commémorer", a souligné Emmanuel Macron, citant "l'anniversaire des 30 ans d'Ouvéa".

Le chef de l'Etat a mentionné aussi "des moments dont nous pouvons être fiers comme les 20 ans des accords de Nouméa et cette histoire partagée, faite d'ombre et de lumière, comme il est convenu aujourd'hui de dire".

"Ce temps mémoriel est important parce qu'on ne fait rien de bon en négligeant une part de son histoire, quels qu'en soient les contours", a-t-il affirmé. M. Macron a également indiqué que son déplacement serait "aussi l'occasion de parler de la Nouvelle-Calédonie d'aujourd'hui".

Avant son départ de Sydney, le président avait déjà évoqué son déplacement programmé à Ouvéa. Le 5 mai 1988, 19 militants kanaks avaient été tués, ainsi que deux militaires, lors de l'assaut contre la grotte où des indépendantistes retenaient des gendarmes en otages.

"Oui je vais sur l'île", avait-il dit, jugeant les conditions "réunies" et qu'"il y a un message très clair d'accueil", un "consensus sur notre venue". Selon lui, seules 2 familles sur les 19 familles de kanaks tués sont opposées à sa visite.

"Il n'est jamais bon d'être intimidé par une minorité, que je respecte", avait-il poursuivi, disant "reconnaître ces mémoires meurtries". "Je viens là pour regarder toutes nos mémoires en face de toutes nos plaies".

 

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