Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
19 Septembre 2018
Le Meilleur De La Musique Classique Connu - Bach - Belle Musique Classique Pour Etudier - Travailler
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Lorsque la nuit survient
Lorsque la nuit survient
Mes rêves de lilliputiens
Sous la lune des magiciens
Dansent au rythme des musiciens
Visite les batraciens
Ils courent chez le vénitien
Jouent aux mécaniciens
Avec les souvenirs anciens.
Quand la nuit survient
Que se couche l’ancien
Se lève le magicien.
Il embarque sur le phénicien,
Pour le royaume des lutéciens,
Les elfes tourbillonnent aériens
Dansent au rythme du musicien
Souffle dans l’esprit étésien.
Quand la nuit survient
Celui-ci n’est né de rien
Pas même pour un rien.
Doit s’assurer du lien
Devenu cornélien
De ce qui est sélacien
Frétillant en tragédien
Sur ces mots diluviens.
Quand la nuit survient.
Ce n’est que pour des riens
Pourtant il n’en est rien
Puisqu’ils sont soutient
Tout ça pour combien ?
Bien sûr pour rien.
Puisqu’il n’en est rien
Seulement se sont des riens.
Quand la nuit survient
Et que tout va bien
Ce n’est qu’un va-et-vient
Dans le charme diluvien
D’un sommeil aérien
D’un semblant lilliputien
D’anges comédiens
Souvent ils sont musiciens.
Quand la nuit survient
Avec nos justes moyens.
Ce ne sont pas des acadiens
Pour une nuit d’indien,
Où apparaît l’ange gardien
Accompagné de son milicien
Pour la joie du paroissien,
Qui lui, n’est pas abbatien.
Quand la nuit survient
C’est pour le statisticien
Une nuit de physicien
Car les mathématiciens
Comptent les astres en théoricien.
Partage avec les astrophysiciens
Leurs découvertes de théoriciens
Il en est ainsi au quotidien.
25 Octobre 2014
Les chants du vent
Ceux qui nous, bouleversent,
Ceux qui nous, renversent,
Ceux qui nous, font pleurer,
Ceux qui nous, sont contés,
Ceux qui nous, ont ravis,
Les chants du vent, font la vie.
Les soupirs légers de l’amoureux,
Dénote sa vraie paralysie.
Tout près d’elle, câlin bienheureux,
Un stress langoureux le saisit.
Tel le noroît à l’esprit aventureux
Sous le suroît transit, cramoisi,
Il bafouille timide, les mots chaleureux,
Quand galerne se lève tout en poésie.
L’alizée discret semble choisi,
Les caresses légères sans hypocrisie,
D’un souffle doux toujours aventureux
Parfois les alizées sont peureux,
Aux plaisirs discrets cherchant les fantaisies,
S’accompagnant également de frénésies.
Ils s’envolent en dansant comme les macareux
Du haut de leur rocher, ils semblent coléreux.
Ceux qui nous, bouleversent,
Ceux qui nous, renversent,
Ceux qui nous, font pleurer,
Ceux qui nous, sont contés,
Ceux qui nous, ont ravis,
Les chants du vent, font la vie.
L’hiver arrive et ses caprices,
L’aquilon appelle et carillonne,
Son élan lance sa motrice,
Il est le train qui s’aiguillonne.
La brume sauvage animatrice,
Dans la ville surplombe et sillonne,
Soudain telle une spéculatrice,
S’élance, danse et tourbillonne.
La bourrasque est l’accélératrice,
Rebelle son courroux bâillonne,
Sa force laisse des cicatrices.
Essoufflée, elle tatillonne.
Soudain les larmes arrivent médiatrices,
Leurs apaisement est brouillonne.
La joie est revenue libératrice,
Lumineuse la ville se réjouit et crayonne.
Ceux qui nous, bouleversent,
Ceux qui nous, renversent,
Ceux qui nous, font pleurer,
Ceux qui nous, sont contés,
Ceux qui nous, ont ravis,
Les chants du vent, font la vie.
1er février 2015
Alumacom