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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne nuit mes amis(es) lecteurs et lectrices

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Lorsque la nuit survient

 

Lorsque la nuit survient

Mes rêves de lilliputiens

Sous la lune des magiciens

Dansent au rythme des musiciens

Visite les batraciens

Ils courent chez le vénitien

Jouent aux mécaniciens

Avec les souvenirs anciens.

 

Quand la nuit survient

Que se couche l’ancien

Se lève le magicien.

Il  embarque sur le phénicien,

Pour  le royaume des lutéciens,

Les elfes tourbillonnent aériens

Dansent au rythme du musicien

Souffle dans l’esprit étésien.

 

Quand la nuit survient

Celui-ci n’est né de rien

Pas même pour un rien.

Doit  s’assurer du lien

Devenu cornélien

De  ce qui est sélacien

Frétillant en tragédien

Sur ces mots diluviens.

 

Quand la nuit survient.

Ce n’est que pour des riens

Pourtant il n’en est rien

Puisqu’ils sont soutient

Tout ça pour combien ?

Bien sûr pour rien.

Puisqu’il n’en est rien

Seulement se sont des riens.

 

Quand la nuit survient

Et que tout va bien

Ce n’est qu’un va-et-vient

Dans le charme diluvien

D’un sommeil aérien

D’un semblant lilliputien

D’anges comédiens

Souvent ils sont musiciens.

 

Quand la nuit survient

Avec nos justes moyens.

Ce ne sont pas  des acadiens

Pour une nuit d’indien,

Où apparaît l’ange gardien

Accompagné de son milicien

Pour la joie du paroissien,

Qui lui, n’est pas abbatien.

 

Quand la nuit survient

C’est pour le statisticien

Une  nuit de physicien

Car les mathématiciens

Comptent les astres en théoricien.

Partage avec les astrophysiciens

Leurs découvertes de théoriciens

Il en est ainsi au quotidien.

 

25 Octobre 2014

 

Les chants du vent

 

 

                                                                         Ceux qui nous, bouleversent,

                                                         

                Ceux qui nous, renversent,

                                                                         Ceux qui nous, font pleurer,

                                                                         Ceux qui nous, sont contés,

                                                                         Ceux qui nous, ont ravis,

                                                                         Les chants du vent, font la vie.

 

Les soupirs légers de l’amoureux,

Dénote sa vraie paralysie.

Tout  près d’elle, câlin bienheureux,

Un stress langoureux le saisit.

Tel le noroît à l’esprit aventureux

Sous le suroît transit, cramoisi,

Il bafouille timide, les mots chaleureux,

Quand galerne se lève tout en poésie.

L’alizée discret semble choisi,

Les caresses légères sans hypocrisie,

D’un souffle doux toujours aventureux

Parfois les alizées sont peureux,

Aux plaisirs discrets cherchant les fantaisies,

S’accompagnant également de frénésies.

Ils s’envolent en dansant comme les macareux

Du haut de leur rocher, ils semblent coléreux.

 

                                                                                     Ceux qui nous, bouleversent,

                                                                                     Ceux qui nous, renversent,

                                                                                     Ceux qui nous, font pleurer,

                                                                                     Ceux qui nous, sont contés,

                                                                                     Ceux qui nous, ont ravis,

                                                                                     Les chants du vent, font la vie.

 

L’hiver arrive et ses caprices,

L’aquilon appelle et carillonne,

Son élan lance sa motrice,

Il est le train qui s’aiguillonne.

La brume sauvage animatrice,

Dans la ville surplombe et sillonne,

Soudain telle une spéculatrice,

S’élance, danse et tourbillonne.

La bourrasque est l’accélératrice,

Rebelle son courroux bâillonne,

Sa force laisse des cicatrices.

Essoufflée, elle tatillonne.

Soudain les larmes arrivent médiatrices,

Leurs apaisement est brouillonne.

La joie est revenue libératrice,

Lumineuse la ville se réjouit et crayonne.

 

                                                                                     Ceux qui nous, bouleversent,

                                                                                     Ceux qui nous, renversent,

                                                                                     Ceux qui nous, font pleurer,

                                                                                     Ceux qui nous, sont contés,

                                                                                     Ceux qui nous, ont ravis,

                                                                                     Les chants du vent, font la vie.

1er février 2015

Alumacom

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