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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonsoir mes frères et sœurs, Le se termine sous le manteau de notre Mère La Vierge Marie

Chapelet du jour : Chapelet de Protection

Sur le Crucifix, réciter le Je crois en Dieu.

Sur le gros grain suivant, réciter le Notre Père.

Sur les trois petits grains suivants, réciter trois Je vous Salue Marie:

Le 1er est récité en prière à Dieu le Père, le 2nd est récité pour notre requête ou demande de grâce, et le 3ème en remerciement à la confiance que nous avons que notre demande soit accordée.

Sur le dernier gros grain, ou sur la médaille, réciter le Gloire au Père.

Ensuite, sur les gros grains, réciter l’invocation suivante:

«Dieu Saint, Dieu Fort, sauvez nous qui résidons sur cette terre»

Sur les petits grains des dizaines, réciter:

«Jésus Sauveur, Miséricordieux Sauveur, épargne ton peuple»

A la fin du chapelet, après les cinq dizaines, clore la récitation en répétant trois fois:

«Fils de Dieu, Fils Eternel, merci pour toutes les choses que vous avez accomplies

« Les épreuves de l'Oraison » du P. Pierre-Joseph de Clorivière

Voici une Méditation sur l’Oraison, les distractions et tentations dans la Prière « Les épreuves de l'Oraison » du Révérend Père Pierre-Joseph Picot de Clorivière (1735-1820), Prêtre Jésuite Fondateur en 1791 avec Adélaïde de Cicé à Saint-Malo de la Société des Filles du Cœur-de-Marie (pour les femmes) et à Paris de la Société du Cœur-de-Jésus (pour les hommes) disparue au milieu du XIX° siècle et reconstituée en 1918 par le P. Daniel Fontaine, curé de Saint-Antoine à Paris (1862-1920), sous le nom d'Institut des Prêtres du Cœur de Jésus. 
 


La Méditation du R. P. Pierre-Joseph Picot de Clorivière « Les épreuves de l'Oraison » : 

« Quelque désir qu'on ait de sa perfection, quelque soin qu'on apporte à l'exercice de la méditation, on ne doit pas s'attendre à y éprouver constamment la même facilité, la même dévotion. Il arrivera quelquefois, même aux plus fervents, que ce saint exercice sera pour eux sans goût, sans lumière, sans consolation ; qu'il leur paraîtra insipide, soit que cela provienne de leur disposition naturelle, soit que ce soit un effet de la malice du démon, ou une épreuve de Dieu. Leur imagination ne pourra se fixer à rien ; mille pensées se présenteront à leur esprit, leur cœur sera en proie à mille désirs, des tentations viendront en foule les assiéger ; mais qu'ils sachent que tout cela ne diminuera point devant Dieu le prix et le mérite de leur oraison ; moins ils seront contents d'eux-mêmes, plus le Seigneur sera content d'eux. Il est vrai que leur oraison ne sera pas proprement alors une méditation ; ils ne pourront former ni considérations, ni raisonnements, ni affections ; ce sera une oraison de travail et de combat ; mais leur constance à soutenir patiemment une si pénible situation, sans en vouloir abréger la durée un seul instant, profitera plus à leur âme que la meilleure méditation. Qu'ils ne soient pas non plus effrayés d'une pareille épreuve ; elle sera proportionnée à leurs forces et aux grâces que le Seigneur leur destine. Loin d'en être abattus, ils se réjouiront d'être dans un état où ils peuvent témoigner à Dieu leur fidélité d'une manière plus parfaite. Sans trop vouloir pénétrer la cause du changement qui s'est fait en eux, ils en prendront occasion de s'humilier, de se résigner entièrement au bon plaisir de Dieu, de mettre en Lui seul toute leur confiance, et d'implorer avec plus d'ardeur le secours de sa Grâce toute-puissante. S'ils se comportent de cette manière, ils connaîtront, par leur propre expérience, que ces aridités et ces épreuves de l'oraison ne leur seront pas moins utiles que les lumières et les consolations qu'on y reçoit. C'est un moyen dont Dieu se sert d'ordinaire pour détacher l'âme elle-même, pour la disposer à recevoir de plus grandes grâces, et la rendre capable de plus parfaites communications. Amen. » 

Révérend Père Pierre-Joseph de Clorivière (1735-1820)

Pierre-Joseph-de-Cloriviere.jpg

Prière de Mère Thérèse de Saint-Augustin

Voici une Prière qui paraphrase l’hymne des Laudes de la Fête du Saint-Nom de Jésus « Ô Jésus, que votre Nom forme un doux cantique à mon oreille » de Louise-Marie de France (1737-1787), fille de Louis XV, entrée en religion au Carmel de Saint-Denis sous le nom de Sœur Thérèse de Saint-Augustin comme Maîtresse de 13 jeunes Novices qu'elle doit diriger, guider et parfois modérer dans leur enthousiasme.
 


La Prière de Mère Thérèse de St Augustin « Ô Jésus, que votre Nom forme un doux cantique à mon oreille » : 

« Ô Jésus, la Félicité des esprits bienheureux, que votre Nom forme un doux cantique à mon oreille ! Qu’il laisse dans ma bouche un goût merveilleux, et qu’il répand dans mon cœur des impressions salutaires ! Ceux qui savent le goûter ce mets si précieux à l’âme, ne peuvent s’en rassasier. Ceux qui s’en nourrissent, sentent toujours une faim nouvelle qui les y attire. Ils n’ont plus d’autre ardeur, d’autre désir que d’aimer en tout, et au-dessus de tout, Jésus. Ô mon aimable Jésus ! qui faites toute l’espérance de l’âme que ses soupirs élèvent à Vous, mes larmes Vous recherchent, et les cris de mon cœur Vous appellent ; habitez toujours au milieu de moi, par les clartés de votre Nom lumineux ; dissipez toutes mes ténèbres, et suppléez à mes sécheresses par l’onction de votre Amour. Ô Jésus, la Gloire d’une Mère Vierge, Sauveur et Médiateur des hommes pécheurs, acceptez le tribut d’honneur que je rends à votre Nom ; qu’il soit mon soutien pendant la vie, et qu’à la mort, ma bouche et mon cœur ne cessent de l’invoquer avec la plus tendre confiance ». 

Ainsi soit-il. 


Louise-Marie de France (1737-1787)

Therese-de-Saint-Augustin.jpg

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