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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

l'Orthodoxie du mercredi du groupe U.J.C.

Info pour nos frères et sœurs orthodoxes
13 septembre (ancien calendrier) / 26 septembre (nouveau)

13 septembre (ancien calendrier) / 26 septembre (nouveau)

Jour de jeûne

Avant-fête de l’Exaltation de la sainte Croix ; Dédicace de la basilique de la Résurrection à Jérusalem (335) ; saint hiéromartyr Corneille le Centurion (I) ; saint hiéromartyr Cyprien, évêque de Carthage (258) ; saint Émilien, évêque de Valence (IV) ; saint Lidoire, évêque de Tours (371) ; saints martyrs Cronide, Léonce et Sérapion (vers 237) ; saints martyrs Séleuchos de Galatie et Straton de Bithynie (III) ; saints martyrs Macrobe et Gordien (320) ; saint hiéromartyr Julien, prêtre (IV) ; saints martyrs Élie, Zotique, Lucien et Valérien (320) ; saint Pierre d’Atroa (IX) ; sainte Khétévan, reine de Géorgie (1624) ; St Hiérothée le Jeune, du monastère d’Iviron ; saints néo-martyrs de Russie : Étienne (Kostogryz), Alexandre (Aksenov), prêtres et Nicolas (Vasioukovitch), diacre (1937).

LA DÉDICACE DE LA BASILIQUE DE LA RÉSURRECTION À JÉRUSALEM

Comme sainte Hélène venait de découvrir le saint Sépulcre ainsi que les instruments de la Passion [14 sept.], saint Constantin le Grand — qui désirait rendre grâce à Dieu de l’heureuse conclusion du Concile de Nicée — ordonna à l’évêque de Jérusalem, saint Macaire [16 août], d’élever sans retard et aux frais de l’État, sur les lieux de la Rédemption du monde, un édifice qui serait le plus splendide possible. Après avoir isolé le Saint-Sépulcre de la colline dans laquelle il avait été creusé, on orna richement la grotte, qui devait être recouverte, par la suite, d’un édifice en rotonde : l’Anastasis. On construisit ensuite, séparée du Tombeau par un atrium avec portiques et colonnades, une vaste basilique à cinq nefs, nommée le Martyrion, décorée somptueusement de colonnes de marbres, de mosaïques et de plafonds dorés, dans laquelle était conservée la relique de la sainte Croix. Entre l’Anastasis et le Martyrion, au sud-ouest, se dressait le rocher du Golgotha, sur lequel on avait planté une croix que l’on vénérait en accédant à la plate-forme par un escalier à rampe d’argent.

Lorsque, au bout de dix ans de travaux (325-335), l’église fut achevée, l’empereur envoya un représentant au Concile, réuni à Tyr, pour inviter tous les évêques qui s’y trouvaient à se rendre à Jérusalem, afin de procéder à la consécration. La dédicace de la basilique eut lieu à l’occasion du trentième anniversaire du règne de saint Constantin, le 13 septembre 335, au milieu de somptueuses manifestations et de grandes réjouissances populaires. Par la suite, on institua la commémoration annuelle de cet événement dans tout l’Empire, pour remplacer la fête païenne de Jupiter Capitolin. Ce temple élevé à la gloire de la Résurrection du Sauveur était si beau, ce lieu si vénérable, qu’il devint le symbole de la victoire du christianisme et le modèle de toute église. Comme le terme grec pour désigner la consécration d’une église signifie littéralement « renouvellement » (enkainia), les saints Pères ont profité de cette célébration pour célébrer, dans l’office de ce jour, le renouvellement de toute la création sensible, accompli par la résurrection du Christ.
TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de la dédicace, ton 4
Comme tu as orné de splendeur * le céleste firmament, * sur terre aussi tu pares de beauté * la sainte demeure de ta gloire, Seigneur. * Pour les siècles des siècles affermis-la * et par les prières de la Mère de Dieu * agrée les incessantes supplications * qu'en ce temple nous faisons monter jusqu'à toi, * Seigneur, notre vie et l'universelle résurrection.

Tropaire du saint hiéromartyr Corneille, ton 4
Des Apôtres ayant partagé le genre de vie * et sur leur trône devenu successeur, * tu as trouvé dans la pratique des vertus * la voie qui mène à la divine contemplation; * c'est pourquoi, dispensant fidèlement la parole de vérité, * tu luttas jusqu'au sang pour la défense de la foi; * Corneille, martyr et pontife inspiré, * intercède auprès du Christ notre Dieu, * pour qu'il sauve nos âmes.

Tropaire de l’avant-fête, ton 2
Nous Te présentons, Seigneur, en manière d’intercession, la vivifiante Croix que, dans Ta bonté, Tu nous as accordée, indignes que nous sommes. Sauve, nos gouvernants et Ta Cité qui Te supplient, par Ta Mère, ô seul Ami des hommes

Kondakion de la dédicace, ton 4
L'Église s'est montrée comme un ciel aux mille feux * illuminant l'ensemble des croyants; * nous y chantons: Seigneur, affermis ce temple saint.

Épitre du Jour

Éph V, 25-33

Les maris doivent aimer leur femme comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l'Église, parce que nous sommes membres de son corps. C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l'Église. Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.

ÉVANGILE DU JOUR

Matth. XXIII, 29-39

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les sépulcres des justes, et que vous dites: Si nous avions vécu du temps de nos pères, nous ne nous serions pas joints à eux pour répandre le sang des prophètes. Vous témoignez ainsi contre vous-mêmes que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes. Comblez donc la mesure de vos pères. Serpents, race de vipères! Comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne? C'est pourquoi, voici, je vous envoie des prophètes, des sages et des scribes. Vous tuerez et crucifierez les uns, vous battrez de verges les autres dans vos synagogues, et vous les persécuterez de ville en ville, afin que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre, depuis le sang d'Abel le juste jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l'autel. Je vous le dis en vérité, tout cela retombera sur cette génération. Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu! Voici, votre maison vous sera laissée déserte; car, je vous le dis, vous ne me verrez plus désormais, jusqu'à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!

L’évêque de Backa Irénée : « J’espère que le Patriarcat de Constantinople ne franchira pas le Rubicon fatal et qu’il placera l’unité de l’Église au-dessus des primautés de ce monde »

Nous publions ci-dessous in extenso l’interview accordée par l’évêque de Bačka Irénée (Église orthodoxe serbe) au quotidien belgradois « Politika » du 23.septembre 2018 :

- Le monde orthodoxe entier est-il en danger, selon la mise en garde du Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe, après la décision du Saint-Synode du Patriarcat œcuménique de nommer deux « exarques » à Kiev ? Ce danger, en fait, devient déjà réalité car, dans le même communiqué du Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe, on constate que « le processus [de l’autocéphalie], selon les déclarations du patriarche œcuménique, est irréversible et sera poursuivi » ?

- Dans votre question est donnée en partie la réponse. Réellement, pour la première fois dans l’histoire de l’Église orthodoxe, 

 

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