29 Septembre 2018
Les citation célèbres
Pour critiquer les gens il faut les connaître, et pour les connaître, il faut les aimer.
Coluche : Artiste, Comique (1944 - 1986)
L'homme veut être le premier amour de la femme, alors que la femme veut être le dernier amour de l'homme.
Oscar Wilde : Artiste, écrivain (1854 - 1900)
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.
Lamartine
Artiste, écrivain, Homme politique, Poète (1790 - 1869)
L'éducation, c'est la famille qui la donne ; l'instruction, c'est l'Etat qui la doit.
Victor Hugo Artiste, écrivain, Poète, Romancier (1802 – 1885
Les hommes naissent ignorants et non stupides. C'est l'éducation qui les rend stupides.
Bertrand Russell
Artiste, écrivain, Homme politique, Mathématicien, Moraliste, Philosophe, Scientifique (1872 - 1970)
La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit.
Oscar Wilde Artiste, écrivain (1854 - 1900)
Rien ne rend une femme aussi vieille que d'essayer désespérément de paraître jeune.
Coco Chanel Artiste, Couturière (1883 - 1971)
Un des moyens d'extirper la frustration est sans doute la dérision.
Youssef Chahine
Acteur, Artiste, Cinéaste, Producteur (1926 - 2008)
L'avenir, c'est la trahison des promesses.
Daniel Pennac (1944 - )
Celui qui n'est plus ton ami ne l'a jamais été.
Aristote Philosophe
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches.
Victor Hugo
Artiste, écrivain, Poète, Romancier (1802 - 1885)
Un chef est un homme qui a besoin des autres.
Paul Valéry Artiste, écrivain, Philosophe, Poète (1871 - 1945)
Je ne crains pas Dieu, je crains ses disciples.
Stephen Hawking Artiste, Astronome, Astrophysicien, Cosmologiste, écrivain, écrivain scientifique, Physicien, Scientifique (1942 - 2018)
La liberté de parole est la preuve de démocratie d’un pays. La parole demande du discernement, de la conscience, les journaux en premier puisque à leur suite, les réseaux sociaux s’expriment selon la perception des informations. D’où le problème, il est nécessaire de se rappeler l’importance du poids des mots.
La liberté de parole ne veut pas dire : dire tout et n’importe quoi. L’important est comment le dire.
La liberté de Parole est la plus belle des choses humaine de la démocratie.
Seulement cela demande du discernement dans les propos parlés, écrit ou même en photos et vidéo.
Cela veut dire également être responsable.
Se rappeler que chaque mot à une portée positive, négative et parfois sont responsable de massacre.
Peu importe si les mots sont sous forme de sagesse, sentencieuse, conseil, ordre, ou même l’arme suprême l’humour.
La forme importe peu, il faut toujours se souvenirs ; les mots sont responsables de la Paix, Mais sont souvent également l’implication des guerres locales ou mondiales.
Quand les journaleux assènent leurs mots répétitifs, car l’imagination n’est pas leur fort, ils le font selon le porte-monnaie leurs réflexions, ils ne vont pas plus loin. Ils n’ont pas conscience, du moins je l’espère, que leurs familles, leurs amis pourraient être victimes de leurs propos assénés toute la journée avec des détails à faire frémir d’horreur les âmes sensibles pour certains, et d’autres à enthousiasmer les assoiffer de sang, ils touchent les malades de la mort.
Oui il faut informer de tous les faits avec intelligence et cela demande du discernement, et ne rien dévoiler dans les détails tant que les évènements ou les enquêtes ne sont pas terminés.
Oui il faut dévoiler les faces cachées des choses de la vie du pays.
Oui il faut prendre part à des débats et donner son avis, qu’il soit d’accord ou pas peu importe. Ce qui compte c’est avec prendre part avec intelligence avec nos mots dans le respect de tous ceux qui nous lisent, nous écoutent, ou nous regardent.
Ainsi les enquêtes de la police ne pourront pas être caduques, puisque par de révélations intempestives. Pire, la vie de nos soldats sur le terrain est en jeu face à nos ennemis actuellement (E.I.). Savoir se taire quand il le faut et parler à un moment adéquat, ce n’est pas seulement de l’intelligence humaine un aussi un acte patriotique.
Ne pas confondre journaliste et journaleux.
Le journaliste, lui, on peut lui faire confiance, il est sur le terrain et a conscience du danger des mots et des images. L’argent est seulement l’accessoire nécessite pour vivre. Car son métier est le plus important dans la vie de chaque instant. Il sait qu’il peut faire tomber des politiciens, des gouvernements, il est en conséquence soucieux de la justesse de ses informations, et aussi de la présentation de ses articles. Par eux la démocratie existe ou en voie de le devenir. Un vrai journaliste ne se laisse pas compter, ou refuse de subir un rédacteur en chef n’ayant pas la déontologie du journalisme. Il préfère démissionner, et même être journaliste indépendant.
Malheureusement, quelques journalistes paient de leur vie pour ce droit de la liberté de paroles et d’information.
Le journaleux, sa conscience est au service de la perfidie, et surtout de son porte-monnaie, c’est un opportuniste. Ces soi-disant débats philosophiques, qui au reste qui n’en sont pas, mais en ont l’air, sont en définitif au service du plus offrant, souvent à celui du gouvernement en place peu importe le pays qui les paie, ou de leur opinions personnels, lorsqu’ils en ont.
Ceux-là sont un danger public. Les criminels en tout genre le savent. À cause d’eux, les enquêtes piétinent. Les larmes des victimes sont de plus en plus nombreuses
La paix ne peut arriver rapidement, ils ont le sang sur leurs mains à cause de leurs langues fourchues.
Ils sont pires que les espions, qui eux au moins servent leur pays, leurs idées.
Ces gens, d'une certaine manière ils trahissent leurs lecteurs, auditeurs ou spectateurs et provoquent des réactions incontrôlables.
Comment reconnaître le journaliste du journaleux ?
Les journaux sont le reflet de leurs rédacteurs en chef, puisque c’est lui qui choisit parmi les candidats, qui doivent faire partir de son équipe.
Ceux-ci sont le reflet du logo, de l’image du journal qui les emplois. C’est ce qui détermine le sérieux du grand foutoir des moulins à paroles.
En conclusions pour diffuser des informations il faut se servir des mots et des images au service de la vérité et de la démocratie, même dans le rire, pour garder le droit à la liberté de parole.
Monique Macalou