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12 Septembre 2018
Les juifs ashkénazes viennent d'Allemagne, de France et d'Europe de l'Est ainsi que leurs descendants.
Les juifs séfarades sont des juifs d'Espagne, du Portugal, d'Italie, de Grèce, de Turquie, d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, ainsi que leurs descendants.
Jusque dans les années 1400, la Péninsule Ibérique, L'Afrique du Nord et le Moyen-Orient étaient tous contrôlés par des musulmans, qui permettaient généralement aux juifs de se déplacer librement dans la région.
Lorsque les juifs furent expulsés d'Espagne par ses dirigeants chrétiens en 1492, nombre d'entre eux furent absorbés dans des communautés existantes en Hollande, en Italie, dans les Balkans, en Turquie, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
Le terme "Ashkénaze" vient du mot hébreu pour Allemagne et "Séfarade" du mot hébreu pour Espagne.
Les croyances du judaïsme séfarade sont alignées sur celles du judaïsme Orthodoxe, bien que les interprétations séfarades de la Loi juive- halakha - soient quelque peu différentes des interprétations ashkénazes.
L'une de ces différences concerne la fête de Pessah (Pâque juive) : les juifs séfarades mangent du riz, du maïs, des cacahuètes et des haricots pendant la fête tandis que les juifs ashkénazes évitent d'en manger.
Sur le plan historique, les juifs séfarades se sont mieux intégrés dans la culture locale non-juive que les juifs ashkénazes. En terre chrétienne, là où le judaïsme ashkénaze a été florissant, les tensions entre chrétiens et juifs étaient grandes et les juifs avaient tendance à être isolés de leurs voisins non-juifs.
Dans les terres islamiques où s'est développé le judaïsme séfarade, séparation et oppression étaient moindres. La pensée et la culture des juifs séfarades ont été fortement influencés par la science et la philosophie musulmane et grecque.
Les services de prière séfarades sont quelque peu différents des services ashkénazes et ils utilisent des mélodies différentes lors des services religieux.
Les Séfarades ont aussi des coutumes différentes pour les fêtes et leurs nourritures traditionnelles sont différentes.
La langue Yiddish, que beaucoup pensent être la langue internationale du judaïsme, est en réalité la langue des Ashkénazes
. Les juifs séfarades avaient leur propre langue internationale, le Ladino, basé sur Espagnol et Hébreu, tout comme le Yiddish est basé sur Allemand et Hébreu.
Christophe Colomb serait le pseudonyme de Cristobal Colon.
Quelques historiens prétendent qu’il serait le fils de Susanne Fontanarosa et de Domingo Colon, un nom reconnu comme juif, un nom qui n’était pas des plus faciles à porter face à une idéologie aux « brûlantes applications ».
C’est ainsi qu’il aurait modifié son patronyme en même temps qu’il aurait accepté une conversion publique forcée, seul moyen de rester vivant au temps de l’’inquisition.
Et encore, nombre de convertis continuaient à être fréquemment persécutés et contraints de quitter le pays sans autre forme de procès.
Simon Wiesenthal lui-même raconte comment Christophe Colomb aurait été un juif sépharade parti pour trouver au plus vite une terre-refuge à ses coreligionnaires persécutés.
Il ajoute qu’il aurait choisi sa route en fonction de certains écrits bibliques et en particulier en s’appuyant sur quelques versets du « Livre d’Isaïe » comme celui qui dit (65.17) « Car je vais créer de nouveaux cieux et une nouvelle terre », pour (60.9) « ramener de loin tes enfants avec leur argent et leur or ».
Même s’il est vrai que ces supputations, quant à la véracité des origines juives du célèbre navigateur soient sans cesse remises en cause, reste une certitude publiée dans tous les manuels scolaires quelques 521 années plus tard :
Les juifs ashkénazes