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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Prions pour les chrétiens d'Asie

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Le gouvernement sri-lankais met à l’honneurAu

Au Sri-Lanka l'espoir

Enfin un pays d'Asie où l'unité règne. Malheureusement d'autres pays d'Asie n'ont pas cette espérance. Voir les deux articles qui suit celui-ci.

Notre Dame de Madhu

Le gouvernement sri-lankais met à l’honneur Notre Dame de Madhu

30/08/2018

Le sanctuaire de Notre-Dame de Madhu, dans le nord du Sri Lanka, est devenu depuis la fin de la guerre civile (1983-2009) un symbole de réconciliation entre Cingalais et Tamouls. Durant le conflit qui a duré près de vingt-six ans, plus de trois mille personnes ont trouvé refuge dans le sanctuaire, comme Mariya, une mère tamoule blessée par un obus durant la guerre. Tous les catholiques du pays ont donc salué la décision du gouvernement sri-lankais de classer le sanctuaire parmi les sites sacrés du pays, reconnaissant l’importance du lieu non seulement pour les catholiques, mais aussi comme symbole d’unité pour le pays.

Chaque année, Jesica Rodrigo est toujours heureuse de participer à la fête du 15 août au sanctuaire de Notre-Dame de Madhu, situé dans le nord du Sri Lanka et qui a célébré cette année ses quatre cents ans. Pour l’occasion, Jesica et sa famille, aux côtés de milliers d’autres fidèles, s’installent pendant une semaine dans un camp à proximité du sanctuaire, où ils peuvent suivre la messe en tamoul, en cingalais et en anglais. Les catholiques, qu’ils soient cingalais ou tamouls, riches ou pauvres, se mêlent les uns aux autres librement tout au long de la fête de l’Assomption. Le sanctuaire a été transféré dans le district de Mannar au XVIe siècle, depuis Mantai dans la péninsule de Jaffna, afin de le protéger des colons néerlandais anticatholiques. La famille de Jesica est originaire de Negombo, une ville d’une riche variété culturelle de la côte ouest du pays.
Avec d’autres, au cours de leur visite à Notre-Dame de Madhu, ils ont pu écouter les hymnes et les prières jaillissant tout au long de la journée depuis les haut-parleurs disposés dans le camp installé au milieu de la jungle. Des prières qui demandent la réconciliation et la prospérité pour le Sri Lanka. En effet, les Tigres de libération de l'Îlam Tamoul, l’organisation indépendantiste tamoule qui a sévi durant la guerre civile (1983-2009) a planté des mines dans la région. Ceci malgré la pression des catholiques auprès des deux camps (Tamouls et Cingalais) pour que le site ne soit pas militarisé. Le 20 novembre 1999, des bombardements ont endommagé l’église, située à 220 kilomètres au nord de Colombo, et tué quarante Tamouls, dont des enfants. Le sanctuaire a abrité des milliers de déplacés internes durant le conflit.

Un symbole de réconciliation dans le pays

En 2008, une mine antipersonnel a explosé près de l’église, tuant vingt personnes dont onze enfants. La famille Rodrigo, comme beaucoup d’autres durant la guerre civile, n’a pas pu se rendre au sanctuaire tout au long du conflit à cause des combats et de la fermeture des routes. À la place, chaque année, ils ont célébré la fête de Notre Dame du Rosaire dans leur paroisse. Les catholiques sri-lankais ont salué la décision du président Maithripala Sirisena de classer le sanctuaire, qui est devenu un symbole de la réconciliation du pays après la guerre civile, parmi les sites sacrés sri-lankais. Le père Victor Soosay, vicaire général du diocèse de Mannar, affirme que des bouddhistes et des hindous, aux côtés des chrétiens et des musulmans, sont venus rendre hommage à l’église et au sanctuaire.
« Le gouvernement a déclaré sacrés beaucoup de sites bouddhistes et hindous, et nous sommes heureux du geste du gouvernement envers l’église de Madhu », se réjouit le père Soosay. Il ajoute que les ministres responsables des Affaires religieuses et du Tourisme, avec l’aide du gouvernement indien, projettent de construire deux cents maisons pour loger les fidèles. Il s’agit du sanctuaire catholique le plus important du pays. Il a été consacré durant la Deuxième Guerre mondiale. Mariya Jeyaratnam, une mère tamoule qui a été blessée par un obus durant la guerre civile, avait trouvé refuge dans l’église tout comme près de trois mille autres civils.
« Chaque fois que nous sommes devenus des réfugiés, avec nos enfants, nous avons accouru pour confier à Marie nos difficultés et notre souffrance », témoigne Mariya, 62 ans. « Nous nous sommes tous regroupés auprès de la statue miraculeuse pour prier jusqu’à minuit », ajoute-t-elle, précisant que les victimes continuent de rechercher la justice. Elle souligne l’importance d’accorder la même attention à toutes les religions. De son côté, Jesica Rodrigo est heureuse que le sanctuaire de Notre-Dame de Madhu jouisse désormais du même « statut » que les sites bouddhistes et hindous. Lors de sa visite au Sri Lanka, le pape François a visité l’église de Madhu où il a appelé les Tamouls et les Cingalais à se pardonner les uns les autres, se souvient Jesica.

(Avec Ucanews, Mannar)

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Une loi népalaise met les chrétiens à l’épreuve

Une loi népalaise met les chrétiens à l’épreuve

Prions pour nos frères et sœurs du Népal 

 

Prions pour nos frères et soeurs29/08/2018

Une nouvelle loi, entrée en vigueur le 17 août, cherche à pénaliser les conversions religieuses. Pour la minorité chrétienne népalaise, il s’agit d’une manœuvre visant principalement les chrétiens, alors que le Népal fait partie des pays au monde où la population chrétienne augmente le plus rapidement. Selon les chrétiens, ils seraient plus de trois millions dans le pays, sur une population de 29 millions d’habitants. Beaucoup de Népalais seraient attirés par le christianisme en raison de leur frustration contre le système de caste régressif et toujours profondément ancré dans le pays.

L’adoption d’une nouvelle loi pénalisant les conversions religieuses au Népal a provoqué une nouvelle vague d’inquiétude et un sentiment d’insécurité parmi les minorités chrétiennes. Les Codes Civil et Pénal, qui sont entrés en vigueur le 17 août afin de remplacer le Code Général qui était en place depuis 165 ans, comprennent une série de lois concernant les procédures civiles et juridiques, imposant notamment des restrictions sur les conversions religieuses dans le pays majoritairement hindou. Une nouvelle loi stipule que quiconque encourage ou participe à une conversion religieuse, quel que soit le moyen employé, est coupable d’une infraction pénale et risque une peine de cinq ans de prison et une amende de 50 000 roupies népalaises (383 euros). Tout étranger coupable d’encourager les conversions religieuses risque d’être expulsé dans un délai d’une semaine.
Les responsables des communautés chrétiennes népalaises estiment que la manœuvre du gouvernement vise les chrétiens en particulier, qui sont accusés de prosélytisme envers les Népalais, en particulier les castes inférieures et vulnérables. Les chrétiens craignent que cette nouvelle loi puisse être manipulée comme un moyen d’intimider et de persécuter les minorités chrétiennes qui pratiquent leur religion. « La communauté chrétienne est préoccupée par la nouvelle loi. C’est comme une lame qui se tiendrait au-dessus de nos têtes et qui pourrait être utilisée contre nous à tout moment », s’alarme le père Silas Bogati, vicaire général du vicariat apostolique du Népal. La liberté de pratiquer toute religion ou toute croyance est une liberté fondamentale pour tout individu, soutient le prêtre. « Avec l’application de la nouvelle loi, nous croyons que notre liberté religieuse a été entravée. Cela nous donne l’impression que nous ne pourrons même pas pratiquer notre propre foi d’une manière équitable », dénonce-t-il.
La fédération chrétienne népalaise (Federation of National Christian Nepal) dénonce la nouvelle loi comme un pas en arrière qui met à mal les sentiments des minorités chrétiennes, qui avaient pourtant approuvé en 2015 la décision du gouvernement d’affirmer le caractère laïc des institutions népalaises (la laïcité de l’État népalais a été adoptée en 2007). La loi s’en prend aux principes mêmes de la laïcité, de la démocratie et des Droits de l’Homme, et cherche à restreindre la liberté religieuse de plus de trois millions de chrétiens, fidèles de plus de 12 000 églises au Népal, affirme le président de la fédération, C. B. Gahatraj. Selon lui, les minorités chrétiennes sont déjà confrontées à divers problèmes à cause de la politique discriminatoire de l’État. Ainsi, des églises ont déjà subi des incendies criminels ou des attentats à la bombe, et des gens sont accusés à tort et persécutés pour avoir parlé de leur religion, distribué des Bibles ou tué des vaches, vénérées par les hindous.

Plus de 3 millions de chrétiens népalais

« C’est triste de constater le silence du gouvernement à notre encontre », regrette C. B. Gahatraj. « Parler de religion à quelqu’un ne doit pas être considéré comme mauvais ou comme un encouragement à se convertir. » Les appels demandant une loi nationale contre les conversions se sont fait entendre dès la promulgation de la Constitution népalaise en septembre 2015. L’anthropologue Dambar Chemjong soutient que même si le Népal se déclare comme un État laïc, sa Constitution n’est pas ouverte aux autres religions et favorise une identité fondamentaliste hindoue. « Elle approuve et reconnaît la primauté de l’identité hindoue. Et les lois civiles qui sont formulées en fonction de la Constitution contribuent elles aussi à l’institutionnalisation des valeurs et des normes de la religion hindoue », ajoute-t-il. Selon lui, plutôt que de mettre en place des normes modernes en reconnaissant la démocratie et la diversité culturelle et religieuse, la nouvelle loi a été écrite en fonction de la religion dominante et exclut les autres religions.
Les missionnaires chrétiens sont engagés dans des activités sociales, médicales ou éducatives dans le pays depuis longtemps, ce qui leur permet de rester en lien avec diverses communautés. Chemjong explique que les principaux partis politiques, qui sont essentiellement composés d’hindous de castes supérieures, se sentent menacés par l’influence croissante de la communauté chrétienne, une crainte qui les a poussés à réprimer les libertés fondamentales et la liberté religieuse. Il reconnaît que les groupes évangéliques sont actifs au Népal et ont attiré beaucoup de gens. L’une des principales raisons de cette tendance, selon lui, vient du fait que les communautés mises à l’écart socialement et économiquement se révoltent contre le système de caste régressif et toujours solidement ancré. Et le christianisme parle justement de libération contre ces injustices.
D’après le Word christian database (un ouvrage de référence publiant des statistiques mondiales sur le christianisme), le Népal fait partie des pays où la population chrétienne augmente le plus rapidement. Le dernier recensement de 2011 a enregistré environ 375 000 chrétiens, mais les communautés chrétiennes affirment que le véritable chiffre serait de plus de trois millions. Selon le recensement, la population népalaise comprend 81 % d’hindous, 9 % de bouddhistes, 4,4 % de musulmans, 3 % de kiratistes (Kirat Mundhum, religion des groupes ethniques kirantis) et 1,4 % de chrétiens. Des groupes hindous conservateurs, dont le Rastriya Prajatantra Party, ont appelé à une législation stricte contre les conversions religieuses, afin d’empêcher les hindous d’être « contraints, trompés ou attirés à l’écart de leur foi ancestrale ». Les groupes qui défendent la fondation d’un royaume hindou affirment que les missionnaires étrangers utilisent leurs fonds pour attirer les personnes vulnérables vers le christianisme.
Après le séisme dévastateur de 2015, les autorités ont accusé les ONG chrétiennes d’utiliser le terrain humanitaire pour répandre leurs croyances parmi les victimes de la catastrophe. Cela a entraîné des débats et à des interventions politiques, comme la suppression de l’enregistrement des ONG internationales impliquées dans des prédications religieuses. Le père Silas Bogati, toutefois, repousse ces accusations. Pour lui, les groupes, les organismes d’aide et les ONG chrétiens sont parmi les premiers à avoir répondu aux besoins d’urgence et aux efforts de réhabilitation, mais uniquement dans une perspective humanitaire. « Simplement parce que vous êtes un groupe chrétien, on vous accuse automatiquement de conversion », regrette-t-il.

(Avec Ucanews, Katmandou)

Au Pakistan rien ne change pour les chrétiens, surtout les catholiques! Même si certains disent qu'il y a un très léger mieux.

IL est vrai que lorsque nous souffrons à cause d'un cancer, le temps d'un instant, d'un jour, d'un mois, la souffrance s'atténue, nous redressons la tête plein d'espérance.

Or le Christ est mort pour nous, pour nous assurer la vie éternel, l'espoir est dans le cœur de nos frères et sœurs du Pakistan. Prions pour eux, qui courageusement reste dans leur pays, pour imiter notre Seigneur. 

Les catholiques pakistanais face aux discriminations

Les catholiques pakistanais face aux discriminations

24/08/2018

Les chrétiens représentent près de 3 % des 210 millions d’habitants de la république islamique, dont une moitié de catholiques. Aux côtés d’autres minorités marginalisées, ils subissent les discriminiation et la persécution quotidiennement, que ce soit à l’école, au travail ou encore par l’usage abusif des lois sur le blasphème. Malgré cette situation, certains catholiques assurent que la situation s’est améliorée, comme ce chroniqueur qui salue la présence de ses amis musulmans à la messe d’enterrement de son père, qui tombait le premier jour de la fête de l’Aïd. « C'est le Pakistan que j’ai appris à aimer », assure-t-il.

Tenter de défendre les valeurs catholiques dans une théocratie musulmane telle que le Pakistan peut être décourageant. Pourtant, la foi persévère. Les chrétiens représentent 3 % des 210 millions d’habitants du pays, dont une moitié de catholiques qui, aux côtés d’autres communautés marginalisées, subissent la persécution quotidiennement. Il y a dix ans, Faisal Mushtaq, catholique, a décidé de quitter sa ville natale de Sialkot, dans la province du Pendjab, pour aller chercher de meilleures opportunités professionnelles vers le sud, à Karachi. C’est là que ce père de famille de 32 ans travaille aujourd’hui, comme plombier et gardien. Il gagne 115 dollars par mois, soit moins que le salaire minimum officiel. Malgré tout, Faisal gagne 80 dollars supplémentaires par mois en lavant des voitures. Être catholique dans un pays comme le Pakistan n’a jamais été facile, mais il a appris à survivre et se faire accepter par les musulmans.
« Bien que la plupart des gens soient accueillants, certains de mes collègues musulmans ne voulaient pas manger ou boire avec moi », regrette-t-il. Au début, il était choqué, mais il a fini par comprendre que bien souvent, il n’était pas possible de changer la façon de penser des gens. Faisal Mushtaq commence ses journées en priant pour rendre grâce à Jésus. « Mes parents, qui vivent à Karachi aujourd’hui, viennent à la messe du dimanche dans notre paroisse, mais je ne peux pas y aller à cause de mon emploi du temps », explique-t-il. « À l’école, nos enfants sont souvent moqués et harcelés, mais ils ont fini par s’y habituer, et les choses s’améliorent dans les classes supérieures. »
L’État du Pakistan a d’abord été créé afin de devenir un refuge pour les minorités ethniques et religieuses du sous-continent indien, majoritairement hindou, mais les principes fondateurs de pluralisme et de tolérance religieuse sont attaqués. Malgré tout, beaucoup de catholiques et d’autres minorités religieuses au Pakistan demeurent fidèles à leur pays. Mais bien souvent, les musulmans ignorent les problèmes des minorités. Certains catholiques pakistanais ont pris la parole pour dénoncer les injustices du passé. Ils assurent pourtant qu’aujourd’hui, la situation s’est améliorée. D’autres affirment cependant que les abus continuent et que leurs difficultés sont toujours négligées.

« Le Pakistan que j’ai appris à aimer »

« En grandissant à Karachi, je subissais la discrimination de mes professeurs, simplement parce que j’étais catholique », raconte Jennifer Michael, une étudiante de 22 ans. Les professeurs d’études islamiques et d’ourdou lui disaient d’aller étudier dans une école chrétienne. La situation a persistée au point qu’elle commençait à mettre en doute sa propre identité et à voir le fait d’être chrétien comme quelque chose de mauvais. « Je voulais abandonner, mais ma famille m’a encouragé à aller de l’avant, à pratiquer ma foi sans avoir peur », explique-t-elle. « En grandissant, j’ai rencontré moins de difficultés. Les gens sont devenus plus tolérants. Les amis et les professeurs que je rencontre à l’université me traitent comme l’une des leurs. »
Steve Watson, qui travaille dans une célèbre pâtisserie de Karachi, remarque que la plupart des accusations de blasphème ont eu lieu au Pendjab. Il y a aussi eu des attaques terroristes contre des églises catholiques à Lahore, la capitale du Pendjab, ajoute-t-il. « La vie n’a jamais été facile, mais cela ne m’a pas empêché de vivre en tant que catholique », assure Steve, qui dénonce les discriminations dans l’emploi public et dans l’attribution des logements sociaux. Sunny Sameer, un développeur web de 30 ans vivant à Karachi, salue la liberté religieuse qui lui permet de pratiquer sa foi, mais il dénonce les menaces posées par les lois sur le blasphème. Ces lois ont été utilisées de manière abusive afin de servir des intérêts personnels. Il s’inquiète ainsi que quelqu’un qui lui en voudrait, et qui voudrait s’approprier ses biens comme sa maison, pourrait essayer de le faire tuer en faisant de fausses accusations de blasphème. Sunny précise que les jeunes chrétiens ne sont pas forcément catégoriquement opposés aux lois sur le blasphème, mais ils veulent que leur manipulation injuste soit contrôlée. Il y a toujours des musulmans qui refuseront de partager leur repas avec des non musulmans. Mais Sunny ajoute qu’il y a aussi des musulmans qui traitent correctement les pratiquants d’autres religions comme lui.
Quelques tweets de Norbert J. Almeida, chroniqueur et militant, ont attiré l’attention du public sur les aspects plus positifs des relations entre musulmans et non musulmans. Il a ainsi affirmé que l’immense majorité de ceux qui ont assisté à la messe d’enterrement de son père étaient des amis ou des collègues musulmans, alors qu’il s’agissait du premier jour de la fête de l’Aïd. « C’est le Pakistan que j’ai appris à aimer », témoigne-t-il, ajoutant qu’il espère que cet état d’esprit s’enracinera avec le temps.

(Avec Ucanews, Karachi)

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